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Faire un commentaire sur le docteur Pascal, qui est-il, quel place a-t-il, ses relations, avec Félicité ? (Zola)

Publié le 06/03/2012

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Le Docteur Pascal

1/Faire un commentaire sur le docteur Pascal, qui est-il, quel place a-t-il, ses relations, avec félicité

Introduction :

Emile Zola (1840-1902) est un romancier qui s’inscrit dans le courant littéraire du naturalisme qui tend à étudier de manière scientifique  « les tempéraments et les modifications profondes de l’organisme  sous la pression des milieux et des circonstances «.Le Docteur Pascal vingtième et dernier roman de la série romanesques des Rougon-Macquart, l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire dont les successions d’accidents nerveux vont illustrer la transmission de la tare héréditaire. Le Docteur Pascal est illustré par une dimension à la fois scientifique et philosophique. Pascal Rougon, scientifique et médecin, étudie chaque membres de la famille depuis une trentaine d’années en recueillant une accumulation de dossiers, manuscrits et notes que sa mère Félicité songe à détruire par le feu pour ne pas salir cette famille respecté depuis tant d’année. Tout d’abord étant donné que Pascal est le personnage majeur étudiant l’hérédité de sa famille, il est symboliquement représentatif d’une vérité absolue : La science.

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« Le Docteur Pascal 1/Faire un commentaire sur le docteur Pascal, qui est-il, quel place a-t-il, ses relations, avec félicité Introduction : Emile Zola (1840-1902) est un romancier qui s’inscrit dans le courant littéraire du naturalisme qui tend à étudier de manière scientifique « les tempéraments et les modifications profondes de l’organisme sous la pression des milieux et des circonstances ».Le Docteur Pascal vingtième et dernier roman de la série romanesques des Rougon-Macquart, l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire dont les successions d’accidents nerveux vont illustrer la transmission de la tare héréditaire.

Le Docteur Pascal est illustré par une dimension à la fois scientifique et philosophique.

Pascal Rougon, scientifique et médecin, étudie chaque membres de la famille depuis une trentaine d’années en recueillant une accumulation de dossiers, manuscrits et notes que sa mère Félicité songe à détruire par le feu pour ne pas salir cette famille respecté depuis tant d’année.

Tout d’abord étant donné que Pascal est le personnage majeur étudiant l’hérédité de sa famille, il est symboliquement représentatif d’une vérité absolue : La science. I) Le personnage de Pascal 1/Identité Tout d’abord le personnage de Pascal est important car toute l’intrigue des Rougon-Macquart, gravite autour de lui.

Etant donné que Pascal Rougon est née en 1813, il est décrit comme un vieillard « barbe blanche », après de brillantes études de médecine à Paris, Pascal revient à Plassans pour se consacrer à ses recherches personnelles dont l’hérédité au sein même de sa famille.

Il vit à la « Souleïade aux portes de la ville, sur un plateau qui dominait la plaine… », Il est désireux de se « …mettre à l’écart, et aussi de donner plus d’espace et de joie à la fillette que son frère venait de lui envoyer de Paris ».

Le docteur Pascal s’occupe de soigner quelque malade qui ne lui rapporte peu d’argent et vivant de ses rentes avec un ménage à trois au côté de sa nièce et de sa bonne qui lui apporte l’amour qu’il a tant désiré. 2/Milieu Social D’autre part le milieu social influe sur ce personnage et les études qu’il porte.

En tant que médecin Pascal est un homme connu de ses patients et ami, ses rentes lui permettent de vivre aisément « …des cents et quelque mille francs qu’il avait gagnés et placés sagement, […]ne refusant pas d’aller au chevet d’un malade sans jamais envoyer sa note » ; « quand on le payait, il jetait l’argent au fond de son secrétaire,[…] pour ses expériences et ses caprices, en dehors de ses rentes dont le chiffre lui suffisait ».

Ces phrases montrent très explicitement que Pascal ne cherche pas à s’enrichir plus qu’il ne l’est maintenant sais un homme qui fait preuve de modestie, d’intégrité et d’altruisme.

Mais Pascal est reconnu comme un savant grâce aux mémoires qu’il fait parvenir à l’Académie des Science, sa mère Félicité dis au chapitre un : «Je sais bien que Pascal n’est pas bête, qu’il a fait des travaux remarquables que ses envois à l’Académie de médecine lui ont acquis une réputation parmi les savant.

» Mais aussi les piqures hypodermiques à base de cerveau d’agneau et plus tard d’eau distillée. Il pensé que « Puisqu’il voulait régénérer les héréditaires affaiblis, à qui la substance nerveuse manquait, il n’avait qu’à leur fournir de la substance nerveuse, normale et saine.

[…]il inventa de piler dans un mortier de la cervelle et du cervelet de mouton en mouillant avec de l’eau distillée, puis de décanter et de filtrer la liqueur ainsi obtenue ».Cette découverte lui vaudra une grande reconnaissance car il est le pionnier et cette liqueur sera indispensable pour soigner la plupart des malades hormis Lafouasse qui a la suite une injection mal faite du docteur Pascal, meurt d’une embolie ce qui plonge Pascal dans un doute profond de sa science. 3/Les relations avec le Docteur. En effet, les relations autours du docteur explique son point de vue, mais surtout voir si l’objet de ses études est influencer par toutes ces relations .On sait que Pascal a recueilli sa nièce et vie avec Martine sa servante depuis plusieurs années, elles le considèrent comme leur propre maître.

Pascal est le mentor de Clotilde, il l’éduque tandis que Martine s’occupe de son catéchisme au début elle se révolte contre lui puis elle s’abandonne à ce maître qu’elle aime au chapitre sept, elle donne « toute sa jeunesse » à Pascal, un amour platonique et plus tard déchirant .Serge Mouret héros du 5 e roman de la série des Rougond-Macquart, déchiré entre le choix d’un amour avec Albine et la religion, celui-ci la délaisseras ce qui suffira pour Albine qu’elle périsse.

Cet amour déchiré est la symétrie de la rupture censée être provisoire entre Pascal et Clotilde, elle sera mortifère pour ce personnage qui vit grâce à la jeunesse et à l’amour de sa nièce Clotilde.

Zola compare bibliquement Pascal-Clotilde au roi David et une fille promise jeune et belle : Abisaïg, «Et, la fille des routes, la pèlerine d’amour que son rêve lui amenait, n’était-elle pas Abisaïg dévotieuse et docile, la sujette passionnée se donnant toute à son maître, pour son unique bien ? Cette question de rhétorique montre la métaphore biblique entre un maître et roi âgée et une fille aimante et jeune qui donne sa jeunesse pour que son maître puisse vivre plus longtemps de cet amour.

Malgré cette amour, des tensions subsistes entre la mère de Pascal qui renie par l’intermédiaire de son fils au chapitre un, elle dit : «…c’est de cela que je me plains : il n’est pas, il n’a pas voulu en être, de la famille ».

Cette phrase de par son amorce d’anaphore insiste sur le fait que c’est lui et non elle qui le renie, elle met la faute sur lui pour mieux convaincre Clotilde et Martine de se joindre à sa cause et ne pas attiser les foudres divines.

Mais Pascal rapporte les paroles de Mme Rougon au chapitre cinq : « Ma mère me l’a répété assez souvent, que je n’en étais pas, qu’elle ne savait pas d’où je pouvais bien venir ! ». Malgré cela il essaye de croire qu’il n’appartient pas à cette famille dont les accidents nerveux et les tares les ont ravagés d’une génération à l’autre : « C’est que je suis à part …Et ce n’est guère tendre peut-être, mais j’en suis ravi, car il y a vraiment des hérédités trop lourdes à porter.

».

On ressent bien son envie de n’être pas de la famille, être à part; le fait de l’appeler « Pascal » ou « docteur Pascal » sans le rattacher à son nom de famille Rougon montre un paradoxe car il étudie sa famille sans vouloir en faire partie.

Mais aussi lors de sa lente. »

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