FRANÇOIS MAURIAC : THERESE DESQUEYROUX - UNE SOUTUDE SANS ISSUE
Publié le 25/09/2011
Extrait du document
Extrait : De "Non rien à dire pour sa défense." à "... nul ne peut rien contre moi."
I. - SITUATION DU PASSAGE :
Thérèse regagne la maison familiale à l'issue du procès - pour tentative d'empoisonnement sur son mari - qui s'est terminé par un non-lieu, prononcé surtout pour sauvegarder l'honorabilité de la famille.
«
- Jean Azevedo : un jeune ami, plein de sympathie .
De «Ah! le seul geste ...
jusqu'à ...
rien contre moi».
Dernière lueur d'espoir vite éteinte : l'amour, la chaleur
humaine; d'où la condamnation, sans doute sans recours, de
cet
espoir, sorte de mal incurable : « solitude ...
le lépreux -nul ne peut
rien pour moi, nul ne peut rien contre
moi.
»
III.
- LA DIMENSION NOUVELLE DU ROMAN:
Avec Mauriac, l'œuvre romanesque prend valeur de témoignage
d'une pensée et d'une éthique < 1 l modernes, plongeant leurs racines
dans la tradition d'une civilisation, qui, en se renouvelant, garde toute
sa valeur pour notre temps :
Mauriac et
le jansénisme: Pascal, Racine;
Thérèse (cf.
Phèdre) : exigence morale -l'homme
face au
drame du monde moderne : Dostoïevski .
< 1 l Ethique : ensemble des règles qui constituent une morale ..
»
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