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Hernani

Publié le 23/03/2015

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Envoyé par Lysie. Etude de Hernani - Victor Hugo. * Victor Hugo. * Deux héros antagonistes : Hernani et Don Carlos. * Le théâtre en 1830. * Bibliographie. VICTOR HUGO 1802-1885 Il est le fils d' un militaire, Léopold Hugo, de l' armée napoléonienne. Victor Hugo dans sa jeunesse est proche de l' Empire. Sa mère est proche de ses trois enfants (ses frères aînés s' appellent Abel et Eugène). Victor Hugo est né  à Besançon. Il va voyager dans ses premières années à cause de son père ; tout le monde va le suivre (île d' Elbe, Naples) ; c' est une vie qui peut lui laisser des images. En 1811, ils vont rejoindre Léopold en Espagne (guerre d' Espagne). A Bayonne, Hugo va pour la première fois au théâtre : c' était un mélodrame de Pixérécourt. A la fin de 1811, il traverse un petit village basque : Ernani où il y a une guerre très violente. Ses parents ne s' entendent plus, ils vont divorcer. Victor Hugo est partagé politiquement : entre son père (Napoléon) et sa mère (d' origine vendéenne donc de tendance royaliste). En 1812, il retourne à Paris. Son amant est Lahorie (royaliste caché). Sa vie privée se mêle à la vie politique. Il va écrire ses premiers textes : un mélodrame Le château du Diable. Il y avait déjà une pièce de ce nom par Loaisel de Tréogate. On leur achète un théâtre de marionnettes. C 'est une période de relatif bonheur. Ils vivent dans une maison nommée « Les Feuillantines » (quartier latin de Paris). En 1815, la garde est donnée au père, il est mis en pension chez une tante, Tante Goton, pendant trois ans. Il écrit une pièce Irtamène (1816) : tragédie classique. Son intérêt se porte sur le théâtre classique et le mélodrame (inspiration du Nord, mythe scandinave). Il écrit une comédie Aqcheb (A quelque chose hasard est bon). Il fait ses études de droit après le Bac. Eugène commence à donner des signes de folie. Il publie sa première poésie dans des revues, un mélodrame d' inspiration espagnole Inez de Castro. En 1819, il fonde une revue avec son frère Abel : Le conservateur littéraire. Il se montre en conservateur en politique. En 1821, il commence un roman Han d' Islande (inspiration nordique). Avec Alexandre Soumet, il écrit un mélodrame Amy Robsart, adapté par Walter Scott Kenilworth. Il le finira avec son beau-frère. Il faut que Victor Hugo gagne de l' argent pour pouvoir épouser A. foucher. En 1822, Odes et poésies diverses : c' est le premier volume. Il épouse Adèle Foucher. En 1823, Han d' Islande. Son premier fils vit quelques mois. En 1824, c' est la naissance de Léopoldine. En 1825, il débute un drame Corneille (jamais terminé). Hugo est invité au sacre de Charles X. Il fait un poème. Victor Hugo commence à faire sa cour. Il prend partie pour la monarchie, il obtient la légion d''honneur. En 1826, c 'est la naissance de Charles. Il commence Cromwell (drame en alexandrin dont il va écrire rapidement les quatre premiers actes). Ils pensent faire jouer la pièce. Le héros Cromwell est joué par Talma, mais il est mort entre temps. La préface est très importante (1827) : manifeste du théâtre romantique. En 1827, il écrit Les feuilles d' automne. Il publie Odes et ballades. Son père meurt et François-Victor naît. Il commence à s' intéresser à la condition de prisonnier, à la peine de mort. Il commence Notre Dame de Paris. En 1829, il publie Le dernier jour d' un condamné, Les Orientales (poèmes) et une pièce Marion de Lerme : cette pièce se situe sous Louis XIII, pose le problème du duel ; c' est un portrait assez négatif d' une monarchie faible. La pièce est refusée par la Censure, Hugo décide d' écrire une autre pièce : Hernani (29 août-24 septembre 1829 :le temps pour l' écrire). Hernani apparaît comme un produit de remplacement. En 1830, la représentation se passe le 25 février : il y a 36 représentations. C 'est un gros succès pour l' époque. C' est l' année des 3 glorieuses (27-28-29 juillet) : révolution politique. Adèle naît le 28 juillet. DEUX HEROS ANTAGONISTES  HERNANI ET DON CARLOS Le personnage d' Hernani n' a pas forcément le pouvoir. On a affaire à un système qui oppose deux personnages. I/ Les forces en présence : Ici, le conflit est organisé autour de quatre personnages : Dona Sol, do Carlos, Hernani et Don ruy Gomez (lui-même à l' écart à cause de son âge). «  C' est donc à dire Que je ne suis qu' un vieux dont les jeunes vont rire ? » Il y a un autre enjeu qui aurait pu être donné par Victor Hugo : ils sont trois pour une. l' honneur castillan. A/ Hernani = Don Juan d' Aragon : Hernani est un grand d' Espagne et il porte une grande haine à Don Carlos car son père a fait tuer le père d' Hernani. « Le roi ! le roi ! mon père Est mort sur l' échafaud, condamné par le sien. » On appellerait cela une vendetta en Corse. Pour arriver à sa vengeance, Don Juan s' est fait appeler Hernani et il est considéré comme un brigand ou un bandit, un homme proscrit loin de la cour. Le topos du bandit sympathique est très prisé à la période romantique ( Schiller Les brigands, Byron Le corsaire). On remarquera, dès le deuxième acte, qu' il y a autour des brigands un mystère : il n' a pas l' air d' un hors-la-loi comme les autres. « Qu' il en soit le major ou le bien le capitaine, Jamais roi couronné n' eut mine plus hautaine. » Le bandit a autant de prestance que le roi. Il peut être comparé au roi lui-même. Ce bandit est plus heureux que le roi. « Qu' il fait bien d' être pauvre et proscrit, puisqu' on l' aime ! » B/ Don Carlos : D' après le rapport de censure, il est un tyran et un débauché. Dès la première scène, il est obligé de se cacher dans un placard. Dans la deuxième scène, il piétine au balcon de sa belle. «  Le juste et digne effroi ! Ce n' est pas ton bandit qui te tient, c' est le roi ! Non. Le bandit, c' est vous. » Le roi est vraiment malmené dans le premier acte. Dona Sol intervertit les rôles. Lui-même attache de l' importance à Hernani à cause de sa rivalité amoureuse. « J' en veux à sa maîtresse et non point à sa tête. » II/ L' affrontement des deux personnages : A/ Un problème de structure : Ils vont s' opposer comme deux rivaux, non comme un roi et un bandit. D' où le duel à l' acte I, scèneII. L' arrivéé de Don Ruy Gomez amène les deux rivaux à faire cause commune contre lui : opposition des jeunes contre le plus âgé. A l' acte II, on va retrouver l' affrontement des personnages, mais de façon beaucoup plus explicite car ils se connaissent. De plus, Dona sol s' est prononcé sur Hernani. A l' acte III, il y a une autre combinaison des personnages : Ruy Gomez a donné asile à Hernani et le protège du roi. Le roi va essayer de faire pression sur Don Ruy gomez en prenant Dona Sol en otage. A l' acte III, scène VII, Ruy Gomez va s' associer avec Hernani pour récupérer Dona sol. « Il a fallu Dona sol ou toi-même. » Ruy Gomez se rend compte de sa propre naïveté : « vieillard stupide ». A l' acte IV, l' enjeu devient plus politique, le rapport change entre les deux hommes. Le roi devient empereur et on apprend le nom d' Hernani. Il disparaît dans cet acte et l' action est presque terminée. Victor Hugo aurait pu ne pas continuer. B/ La question du nom : A l' acte I, scène II, dans la scène du duel, Don Carlos appelle Hernani « monsieur » et peu après Dona Sol lance « Hernani ». Ce nom Hernani d' artifice va être délivré au roi beaucoup plus loin qui ne lui dit rien, mais est connu de son entourage. A l' acte II, scène III, on pourrait croire à une scène identique, mais ce n' est pas vrai. Ce duel ne peut plus se faire car Hernani est un bandit pour Don Carlos, donc il n' en est pas digne. A l' acte IV, scèneIV, Hernani se découvre dans une grande tirade. « Je suis Jean d' Aragon, grand maître d' Avis, né Dans l' exil, fils proscrit d' un père assassiné » Victor Hugo, dans cette libération du langage, donne de l' importance au nom propre. Le fait de ne pas savoir à qui on a affaire relève plus du mélodrame. Mais cette méconnaissance est portée à un niveau plus dramatique pour Hernani et cache la force de l' adversaire. C/ L' expression : Hernani est irrévérencieux envers Don carlos, il le tutoie, alors qu' il vouvoie Hernani. Hernani exprime son mépris envers ce tyran débauché. « Crois-tu donc que les rois à moi me sont sacrés ? » Cette pièce a été jouée quelques mois avant la révolution de Juillet, sous la restauration. Il y a donc eu un changement dans cette phrase. « Crois-tu donc que pour nous ils soient des noms sacrés ? » « pour nous » sont les bandits, Hernani n' est plus isolé, il fait partie d' un groupe qui ne respecte rien. Le vouvoiement de Don Carlos montre une certaine distance. III/ La résolution du conflit: En général, l' histoire doit être complète dans le théâtre ( c' est vrai jusqu' au XX ième siècle). Ce conflit va être résolu par le pardon de Don Carlos. Cela peut paraître un coup de théâtre, mais cela a été soigneusement préparé. A/ La grandeur d' âme: Les deux personnages, même s'ils s' affrontent, ont beaucoup de points communs. On peut le constater à l' acte I, scène III. Dans le deuxième acte, le roi est en danger, or Hernani le laisse partir à la fin de l' acte. "Pars tranquille à présent! Ma vengeance altérée Pour tout autre que moi fait ta tête sacrée." Il s' agit de l' exact retournement de situation: on a affaire à deux hommes de même niveau, de même valeur. B/ La clémence et le pardon: Non seulement il change de fonction, mais il change aussi de nom: Don Carlos devient Charles Quint. Il va marquer une rupture avec sa vie antérieure. Le personnage se transforme entièrement. "Je n' ai plus que de l' amour dans l' âme." "Ah! Tu vas être heureux; - moi, je suis empereur." L' empereur doit renoncer à sa vie privée. Nous avons d' ailleurs un beau vers ternaire: "C' est l' Allemagne, c' est la Flandres, c' est l' Espagne." De la même façon, Hernani va subir un changement en donnant son nom. "Oh! Ma haine s' en va!" Victor Hugo, qui aime les antithèses, va jouer sur ces retournements de situation, va changer de haine en amour. C/ La philosophie de Don Carlos: Elle a pu nous sembler celle d' un Don Juan, mais c' est aussi celle d' un homme préoccuppé par l' honneur de son rang. Il va se montrer différent à l' acte I, scèneIII. On va remarquer son autorité "vous me questionnez?" . Il y a chez lui une opposition entre ce qui est grand et ce qui est petit. "Dieu seul et l' empereur sont grands! - et le Saint Père! Le reste!... rois et ducs! Qu' est cela?" Il exprime beaucoup son mépris. C' est dans la très longue tirade de 169 vers qu' il adresse à Charlemagne à l' acte IV qu' il exprime le mieux ses ambitions. Il s' agit d' une méditation politique. Victor Hugo (grand admirateur de Corneille) s' est peut-être inspiré de Cinna, sous-titré La clémence d Auguste (Napoléon Ier croyait que le pardon d' Auguste était un piège). LE THEATRE EN 1830 Il y a trois tendances : Survivance de la tragédie classique : C' est son âge d' or au XVII-XVIIIième siècles ; le plus grand auteur de tragédie est voltaire. La Comédie française soutient la tragédie : théâtre des traditionalistes. Au début du XIXième siècle, on commence à s' intéresser à Shakespeare, traduction et adaptation par Ducis (en alexandrin). En 1822, une troupe anglaise est venue jouer Shakespeare : cela fait un scandale. La tragédie classique est encore vivante. Le drame bourgeois : Avec Diderot et Beaumarchais. Diderot, vers 1757, commence à réfléchir sur ce genre : comédie sérieuse ( intermédiaire entre comédie et tragédie) jouée par des bourgeois. Le but est de faire émouvoir et faire réfléchir. Beaumarchais : Essai sur le genre dramatique sérieux en 1767. Le mélodrame : C' est une allusion à des pièces accompagnées de musique. A partir de revues françaises, on a vu proliférer ce genre : présentation de personnages conventionnels (personnage persécuté, un traître?, « des bons et des méchants »). Auteur : Pixérécourt? C' est un genre assez violent. La pièce modèle du genre est L' Auberge des Adrets (1823) : le héros est Robert Macaire. L' acteur est Frédérick Lemaître : bandit sympathique. On joue les mélodrames au Boulevard du Temple, et surtout au théâtre de la Porte-Saint Martin. Hugo doit se situer ou créer un genre nouveau. BIBLIOGRAPHIE CRITIQUE Avant 1900 Nisard (D.), M. 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