Devoir de Philosophie

Synthèse sur le tesson de Job

Publié le 23/06/2014

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Devoir philosophique : synthèse du tesson de Job L'intérêt de cette écriture est le sens de la souffre. L'auteur, Henri Pena-Ruiz, se pose la question suivante : pourquoi souffrons-nous ? Y' a-t-il un sens, quelque chose à concevoir ? Peut-on accepter la souffrance d'un enfant sans défense ? Si une personne est agressive et qu'elle reçoit de la souffrance en retour, cela est compréhensible. Mais lorsque rien n'explique la souffrance, cela est incompréhensible. A présent, prenant l'histoire du tesson de job dans l'ancien testament. Concentrons nous sur la réflexion qu'il y'a à faire sur le sens de la souffrance et non par apport à la religion. En haut, dans le ciel, il y'a Dieu ou la Nature qui est tout-puissant et infiniment bon. Avec Dieu, il y'a Satan, l'ange déchu. Les deux regardent Job et ce dernier, sur terre, a une grande foie imperturbable en Dieu. Job a une belle famille, il est heureux. Cependant, Satan est sûr que Job a foi en Dieu car il est heureux. Dieu laisse donc Satan enlever tout ce que Job a de bien mais la foi de Job ne change pas, il est dévoué. Puis, Dieu dit à Satan que la foi de Job a été prouvée. Satan lui répond que si la vie de job était en péril, il maudirait Dieu. Yahvé dit a Satan qu'il peut le tester, à condition de lui laisser la vie sauve. Satan frappe Job d'un ulcère et sa femme maudit dieu. Job lui dit qu'il ne faut pas douter de la foi en Dieu, qu'il donne du bien mais qu'il faut aussi accepter son mal. Cette épreuve finit comme les autres. Job garde toujours la même foi, foi qui reste toujours la même, même avec différents contextes. Il 'y'a des choses qui dépendent de nous et d'autres pas mais il faut toujours garder la foi en Dieu. La pensée religieuse nous dit que Dieu va récompenser ou punir selon nos actes, proportionnellement à notre conduite. Une vie menée vertueusement est récompensée par une vie heureuse sur terre accompagné d'une belle descendance et d'une mort paisible. Mais il reste cependant un problème : comment un enfant qui n'a encore rien vécu, commis aucun péché, peut-il souffrir ? Ceci est insoutenable. En plus de la souffrance, l'histoire de Job nous permet aussi de se questionner sur le sens de la vie. Nous pouvons nous demander si la vie doit être acceptée que lorsqu'elle est bonne. La réponse est que tout va dépendre de notre capacité de désintéressement qui nous permet d'aimer Dieu ou la vie sans condition ( en excluant la religion). Camus se questionne sur le mal et nous propose son alternative sur laquelle il y'a à méditer : soit dieu veut le bien mais il n'arrive pas, soit il le peut mais ne le veut pas. Dans les deux cas, Dieu n'est pas représenté comme tout bon et tout puissant. C'est contraire à sa nature. Le questionnement sur le sens de la souffrance reste en suspend : il n'y a pas de réponses. Il y'a des événements qui restent incompréhensible, comme les catastrophes naturelles, un tsunami par exemple. La souffrance n'a pas de sens: c'est un non-sens.

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