12 hommes en colère analyse philosophique

DOUZE HOMMES EN COLÈRE Philosophie et rationalité - 340-101 MQ gr. 00010 Partie A Appel à la majorité « Souvenez-vous que nous devons avoir 12 vois sur 12, quelque soit le vote et que c'est la loi. Que ceux qui vote coupable lève la main». Le sophisme est utilisé comme principal argument pour pouvoir justifier si l'accusé est coupable ou non. Cela crée une ambiance où les personnes indécises sont influencées par les autres qui lève la main. « On est 11onzes à le croire coupable, aucun de nous discute de la chose si ce n'est vous ». Dans la situation présente tout le monde vote coupable sauf une personne, donc l'accusé est certainement coupable. « Nous sommes ici entre grande personne. Nous connaissons les fait n'est-ce pas ? » Le personnage va donner son avis, même s'il n'est pas expert car il met les adultes d'un certain âge un rang plus élevé. Généralisation hâtive « Vous n'allez tout de même pas me dire qu'il faut croire le gosse quand nous savons ce qu'il est. Écoutez, j'ai vécu parmi eux bien des années on ne peut croire un mot ce que raconte ces gosses là ce sont des menteurs nées.» Premièrement, ce juré affirme clairement qu'il croit l'accusé coupable puisqu'il déclare : nous savons ce qu'il est. En prenant cette position, il tente de convaincre ces compatriotes du fait qu'un enfant sont tous des menteurs et donc, qu'il ne faudrait pas le croire, ce qu'il n'est pas toujours le cas. &l...