A-t-on le droit de se révolter ?
Publié le 30/10/2019
                             
                        
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                                                                                                En un certain  sens il n’y  a pas  de limites à la révolte  à partir  du moment  où elle respecte la liberté et la sureté des
autres individus qui  ne prennent  pas  part à ces révoltes, sauf si ces limites sont fixés par une  autorité  quelconque ;
ceux qui  décident de ce que  l’on a le droit  de faire  ou pas  sont ceux qui  représentent  une  forme d’autorité, qu’elle
soit
hiérarchique, comme  un patron, naturelle, tel que  les  parents,  ou que  l’on a choisi, ici  le chef d’état élu  par le
peuple.
                                                            
                                                                                 Ainsi les  règles qui  limitent nos  actions peuvent être juste dans le cas où l’autorité qui  dictent  les  dictent  est
lui -même juste et bienveillant,  dans le cas contraire, si l’autorité est  arbitraire  et si elle n’y  voit que  son  propre
intérêt, alors les  règles qui  limitent nos  actions ne sont pas  fondés  et deviennent injustes.
                                                            
                                                                                 La révolte  est  également
un mouvement qui  traduit d’une insatisfaction du peuple,  d’un contexte social ou économique difficile,  d’un non -
respect  de leurs droits, par exemple la révolte  de Lhassa ;  en 2008 au Tibet, des  moines bouddhistes
accompagnés de Tibétains ont entamés une  marche  de L’inde  vers Le Tibet pour  s’élever contre les  nombreuses
violations des  Droits  de l’Homme  perpétrer par la Chine  envers  les  Tibétains,  nous retrouvons à la tête  de ce
mouvement de protestation le Dalaï -Lama.
                                                            
                                                                                
Nous  pouvons donc affirmer que  la révolte  est  un droit  ou plus un devoir,  d’autant plus qu’il figure dans la
Déclaration des  Droits  de l’Homme  et du Citoyens « Quand  le gouvernement viole les  droits du peuple,
l’insurrection  est  pour  le peuple,  le plus sacré des  droits et le plus indispensable des  devoirs » - Article 35.
                                                            
                                                                                Ce
phénomène  de révolte,  d’insoumission de contestation revient  à se demander si l’Homme  sait vraiment ce dont  il a
besoin  ?.
                                                                                            »
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