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En vous inspirant du texte du nègre de Surinam vous organiserez un dialogue entre un européen et une prostituée.

Publié le 27/12/2016

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En vous inspirant du texte du nègre de Surinam vous organiserez un dialogue entre un européen et une prostituée. Votre objectif est de dénoncer la traite des blanches. De retour de vacances dans l'Ouest de l'Italie, notre jeune Gustave se rappelai combien sa ville natale parisienne lui avait manqué. La première chose qu'il eu fait en arrivant était d'aller rendre visite aux jeunes prostituées de la rue d'en face. Gustave aimait la compagnie de tous le monde et était encouragé par l'idée d'habiter un univers parfait où tout problème avait solution. Notre jeune parisien avait obtenu un emploi grâce à son père et vivait dans la grande maison que lui avait légué sa mère. Il l'avait avait lui même baptisé « Le palais Lumière » en référence aux pierres de cristaux d'Italie qui ornaient les murs de cette maison. Malgré les différentes richesses qu'il possédait, Gustave avait un faible succès auprès des femmes... C'est ainsi que pour satisfaire ses désirs sexuels il allait rendre visites chaque semaine aux prostitués de la rue d'en face. Le soir de son arrivée, il aperçu une jeune demoiselle de race blanche qui semblait perdue et arpentais la rue dans l'espoir de voir enfin un client s'arrêter. Ses cheveu...

« chez nous, de venir en France, de manière illégale.

En effet je ne dispose pas des documents nécessaires pour pouvoir entrer régulièrement.

C'est ainsi que j'ai contacter une agence polonaise de placement.

Un homme appartenant à un réseau de trafic de femmes, qui m'a permit de traverser les frontières dans un camion en direction de la France.

Arrivé à Paris, on nous confisque nos papiers et toutes nos affaires.

Ensuite les trafiquants nous emmènent dans un hôtel dans lequel nous nous retrouvons à dix filles par chambres.

Sans permis de séjour ni documents d'identité, nous sommes toutes dépendantes de ces trafiquants et nous ne pouvons que leur obéir pour survivre.

Ils nous obligent alors à travailler en tant que prostituées pour payer et rembourser le voyage ainsi que les frais de l'agence de placement.

Il nous promettent de nous rendre nos affaires et papier une fois la dette remboursée mais cela fait bien deux semaines que j'ai acquittée ma dette sans que les trafiquants ne me donnent ma liberté.

Ils nous disent que nous leur devons bien plus que ça et que nous ne seront libres que lorsque nous auront travaillé cinq années entières pour eux.

Voilà Monsieur ce que vous appelez un métier honorable.

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