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Commentaire de texte : Alain, « Libres propos »

Publié le 20/05/2012

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alain

 

 

 

 

Dans nos sociétés actuelles la croyance religieuse est présente mais beaucoup moins qu’à d’autres périodes de l’histoire, on peut se demande où était la liberté dans ces périodes, et l’on peut se poser cette question avec la croyance en général: la croyance est-elle un obstacle à la liberté ? A cela Alain répond dans ce texte que pour être libre, on ne doit pas se contenter de croire aveuglement mais sans cesse remettre en question mes propres connaissances. Pour cela il s’exprime en trois points distincts, il commence par définir le doute, puis par la suite regarde les différences entre se laisser à croire et toujours remettre tous en doute, il finira en rassemblant tout cela et en se demandant qu’est ce qu’il faut toujours remettre en cause et de quel façon.

alain

« de façon perpétuel, la seconde façon permettant de voir le doute comme permettant la connaissance, indirectement la liberté.

Grâce à cette distinction on va maintenant voir pourquoi toujours douter. En effet, comme le dit Alain le contraire du doute perpétuel, soit la croyance simple est une chose facile, il est effectivement facile de croire quelqu’un nous disant quelque chose sur des choses dont on a pas l’exact certitude, comme par exemple un calcul mathématique, on peut nous dire qu’il fait un ce rtain résultat, on peut alors faire le choix simple de croire.

Alain dit qu’il faut se priver de croire sous peine de ne plus être libre, on peut se demander pourquoi ? Par la suite pour répondre à cela il va essayer de nous prouver que la croyance aveugl e sans doute est mauvais, en effet il dit une chose réelle, nous voulons tous croire dans un système, chacun pense au sien selon ses idées, où il serait simple de se laissé guidé par la confiance que l’on a en quelqu’un, cependant dans presque tous les sy stèmes, il y a des représentants, or ces représentants reste des humains avec leurs propres idées, sentiments et auront toujours une tendance à se privilégier, laissant les idéalistes qui y croit « dormir les yeux ouverts comme fond les bêtes ».

Il utilis e cette comparaison ici surement pour faire penser à certains animaux tel des moutons qui suivent leurs congénères sans savoir où ils vont, ce qu’il font.

Par la suite Alain parle du retour des rois dès que le peuple dit oui, on peut faire l’hypothèse qu’i l fasse allusion au retour de l’impérialisme avec Napoléon === élu tout d’abord président, puis qui s’est proclamé empereur.

=l prend par la suite la métaphore d’un homme qui s’endort et d’un autre qui se réveille, effectivement un homme s’endormant pique du nez vers le bas comme un OUI or le non est ce lui qui bouge la tête de gauche à droite pour se réveiller et penser.

=l utilise ceci pour dire que penser c’est ne pas croire, dire «non », contrairement aux idéalistes qui ne veulent pas être libre et qu i dise « oui ».

On peut par la sui te voir le lien entre doute, croire et la liberté. Alain pose dans la fin de sa réflexion une question intéressante « Non à quoi ? », pour y répondre il regarde grâce à des exemples, ici de tyran, pour amener à la réelle chose l’apparence du monde connu.

=ci seulement connu car Alain parle seulement de chose matériel or dans certaines pensées le monde est plus vaste et la liberté ne s’arrête pas au moins dit « limité » du matérialisme.

Alain dit que la pensée dit non, à elle-même, soit que l’on se bloque seul lorsque l’on cherche à dépasser la passivité du oui.

En effet l’on est trompé lorsque l’on croit que par des « perspectives », des « brouillards » et que l’on ne cherche pas, pour l’exemple du brouillard, on peut. »

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