Dissertation de Philosophie : peut-on connaitre autrui

« D’autres événement ou actions sont liés au fait qu’autrui est un autre moi, c'est pourquoi nous avons spontanément à son égard une forme de respect,de sympathie ou au contraire de violence,de mépris que je ne manifeste pas pour les objets que j’utilise ou que je possède. Mais,je ne connais pas les pensées d'autrui,je ne connait que ce que mes sens peuvent percevoir de lui.

Son apparence,son odeur,le douceur de sa peau,le son de sa voix.

Je ne peux voir que son corps et son comportement envers moi-même ou envers les autres,c'est à dire l'expression de son visage,les geste qu'il fait,sa démarche aussi.

Mais aucune des ces caractéristiques ne me font dire que autrui est semblable à moi,je suis un être intelligent,qui agit de manière à réaliser ses désirs,et l'image que j'ai d'autrui est juste un corps,je ne connais autrui qu'indirectement en imaginant qu'autrui possède les même capacité que moi.Et ce fait se vérifie de la façon suivante,je sais par exemple que quand je pleurs c'est que je suis malheureuse alors quand je vois quelqu'un pleurer j'en déduis qu'il possède le même instinct que moi,et que lui aussi pleurs lors qu'il est triste.

Ce qui me montre que Autrui m'ai semblable. Il est alors nécessaire de distinguer la connaissance d'autrui et le fait d'éprouver parfois ce qu’il vit.

Je peux connaître ce que vit l’autre sans être ému de la même émotion.Prenons l'exemple des gens qui pleure devant les films ou en lisant,si ils sont ému par cela alors que d'autres non,c'est aussi et surtout à cause de leurs passé,qui est ici propres à chacun.

Cela nous montre donc qu'autrui reste toujours un peu flou. Mais dans l'autrui on peut voir beaucoup de choses,on peut tout à fait connaître les caractéristiques physique d'une personne que l'on voit regulièrement sans pour autant pouvoir dire son prénom,la connaissance,a,je crois une partie très animale,en effet l'odeur de quelqu'un que l'on fréquente on s'en souvient,même parfois sans s'en rendre compte,et on peut reconnaître cette personne grâce à cela.

Mais pour reconnaître,il faut connaître ? La connaissance d'autrui passe tout d'abord je crois par la connaissance de soit même,on cherche toujours dans l'autre des choses qui nous rapprochent ou nous éloignent de cette personne.

Il faut aussi se précoccuper du fait que même quand on fréquente quelqu'un depuis très longtemps,quand on vit avec ou non,on ne le connait que partiellement et sur moment présent.

En effet,si l'on prends l'exemple de nos parents,on ne les connait que en temps qu'un papa ou une maman,on les connait aussi parfois comme les personnes qu'ils sont avec leurs amis,ou au travail mais on ne les connais pas en entier.

En effet leurs passé reste un genre de secret,même si on sait des choses sur leurs enfances,sur les bêtises qu'ils ont pu faire,sur leurs rencontre on ne sait que très peu de choses sur leurs précédente relation amoureuse,sur la relation qu'ils avaient avec leurs parents,les personnes qu'ils étaient à l'école,ou encore comment ils sont lorsque nous ne sommes pas là,je me suis toujours questionné sur leurs relation avant nos naissances.

Peut être qu'on pense les connaître,j'ai longtemps pensé que c’était eux que je connaissait le mieux,mais les parents cachent toujours une certaines partie d'eux même à leurs enfants. On peut tout à fait connaître très bien une personne étant enfant ou adolescent et puis en grandissant on se rends compte que notre jugement sur cette même personne était influencé par des choses qui ne sont plus,ou alors que cette personne à changé et que la personne que l'on pensait connaître n'était un fait qu'un tout petit morceau de l'ice-berg que nous somme tous.

Par exemple le roman autobiographique de Marguerite Duras,L'amant illustre bien ce souci des apriori dans le jugement de l'autre et donc dans la connaissance qu'on en a,ce roman met en place un couple,Marguerite Duras elle même et un homme,un chinois.

L'amour que va porter Marguerite au Chinois éveille la critique de ses semblables.

Par conséquent elle ne se reconnaît plus car il y a un trop grand écart entre sa propre identité et le regard d'autrui.

Mais au fur et à mesure du roman, elle naît à. »