Dissertation: Suis-je responsable de mes actes?

« conscient fait preuve de mauvaise foi puisqu’il prend l’inconscience pour excuser ses mauvaises actions.

Le cas de l’homme fou est différent : il n’assume pas sa liberté et perd donc sa nature.

Alors, l’homme est responsable de ses actions.

Mes agissements ne sont pas tous ou entièrement le fruit d’un choix volontaire et réfléchi.

En effet, mon inconscient peut prendre le dessus sur ma façon d’agir.

Qu’est-ce que l’inconscience ? C’est quand nous ne comprenons pas nos actes et leurs possibles conséquences.

Par exemple, il s’agit d’inconscience lorsque quelqu’un de fou ou influencé par des facteurs externes comme de la colère, de la panique, de la haine et des évènements récents ou anciens, comment un crime.

Cela relève de la psychiatrie.

Dans se cas la, l’homme ne maitrise pas du tout ses actions.

D’autres cas d’inconscience existent également mais ne relève pas d’une inconscience totale de l’individu, c’est-à-dire que la personne peut avoir été inconsciente pendant un court instant ou concernant une action particulière.

On peut prendre l’exemple de l’enfant qui en se penchant sur un mur sans faire attention, appuie sur un bouton et déclenche l’alarme incendie dans son école.

Cet agissement n’est pas volontaire mais inconscient. L’enfant ne savait pas en s’appuyant contre le mur qu’un bouton s’y trouvait. De plus, la société exerce en plus une pression sur l’homme qui le pousse à agir parfois inconsciemment.

En effet, nos actions et nos comportements sont influencés par un déterminisme social.

Comme le dit Rousseau, la société relève du paraître.

Elle nous pousse à être ce que nous ne sommes pas et à respecter des coutumes différentes de notre être et de nos manières d’agir.

Autre exemple, mais celui-ci de notre époque : la publicité.

La publicité que l’on voit que ce soit à la télévision et sur internet et même qu’on entend à la radio a pour seul but : nous pousser à consommer tel ou tel produit pour diverses raisons valables ou non.

Cette pratique tente de contrôler notre conscience pour l’achat d’un bien.

Alors, on n’est plus maitre de sa propre conscience mais inconscient de ce qu’on fait.

Nous le faisons mais nous ne savons pas pourquoi nous le faisons.

Cet état d’inconscience nous prive de notre liberté, comme l’explique Rousseau : la société s’apparente à la prison.

Nous pouvons alors prétendre qu’un individu peut est influençable par des aspects externes. On a pu voir que nous agissons selon en fonction de nos vœux, ce qui prouve une responsabilité quant à nos actes.

Suis-je maitre de toutes les actions que j’entreprends ? De certaines ? On peut classer les actes dans deux catégories : ceux issus directement de notre volonté et ceux qui sont le résultat d’une influence par de multiples facteurs provenant de l’extérieur.

On peut relier la première catégorie avec cet exemple : j’ai tué cet homme car je ne suis pas d’accord avec sa religion.

C’est un acte. »