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Faut-il limiter les nouvelle technologies ?

Publié le 13/10/2019

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Un autre danger lié à l’usage des nouvelles technologies est le fait que nos habitudes et modes de consommation seront décortiqués. Nous citrons l’exemple

de la puce de nos cartes bancaires qui livre aux entreprises notre profil précis de consommateur, ce

qui leur permettra à terme, en agissant sur notre conscience, de susciter de nouvelles habitudes de comportement et de dicter ainsi notre choix.

Dernièrement l’omniprésence et la complexité des nouvelles technologies peuvent être une source de frustration. Les meilleurs exemples sont les robots au

Japon. Au Japon « le naturel et l’artifice ne s’opposent pas ». Pour les Japonais les robots sons des machines et les hommes sont des hommes, mais les

Occidentaux ont peur d’une substitution possible de l’homme par le robot. L’arrivée de robots et ordinateurs dans les usines provoque cette vive crainte.

Frédéric Kaplan trouve une explication à cette distinction aux différentes religieuses entre les Japons et les Occidentaux.

En résumé, l’usage des nouvelles technologies facilite et améliore la vie des hommes, leur offre du choix, des possibilités nombreuses et donne de nouvelles

libertés communes ou individuelles. Mais en même temps il apparaît comme un moyen d’espionnage, une contrainte qui réduit la liberté personnelle ou une

substitution éventuelle de l’homme par le robot. Il serait tout impensable de remettre en question l’existence des nouvelles technologies. Mais la question de

limiter leur usage et très actuelle. En effet, l’Etat a pris quelques mesures pour garder la liberté personnelle pour qu’il reste seulement des avantages de

l’usage des nouvelles technologies.

« contrôle qui cache certains dangers.

Comme exemples concrets nous citerons la balise de repérage installée sous le capot de nos voitures qui renseigne sur leur itinéraire et leur vitesse.

Cela est bien utilisé par les patrons qui possèdent de camions et voitures à louer. Deuxièmement le téléphone portable n’échappe non plus à la surveillance du signal émis par le satellite.

D’ailleurs, tout signe ou signal qui est transmis par un satellite de communication peut être suivi.

Ça permet déjà de nous localiser à quelques mètres près.

L’utilisation du courriel dans le Net est aussi loin d’être intime.

Le message, une fois émise par le courriel, quoique supprimé de la boîte, reste quelque part dans l’espace virtuel. A ceci s’ajoute aussi le fait que l’homme est complètement surveillé sur le Web.

Quoi qu’on fasse sur le Web, on laisse toujours sa trace unique, son adresse IP, qui peut être également suivi.

En créant des comptes sur n’importe quel site, on inscrit des données personnelles tout comme son adresse électronique qui peuvent être utilisées, comme dans le cas du courriel, pour la publicité et la propagande.

Les célèbres blogs, eux aussi n’en échappent pas.

Par exemple les patrons ou les fournisseurs d’accès peuvent grâce à des outils d’espionnage surveiller nos mails et échanges de données et stoker ainsi une mine d’information sur les faits et gestes de chacun. Un autre danger lié à l’usage des nouvelles technologies est le fait que nos habitudes et modes de consommation seront décortiqués.

Nous citrons l’exemple de la puce de nos cartes bancaires qui livre aux entreprises notre profil précis de consommateur, ce qui leur permettra à terme, en agissant sur notre conscience, de susciter de nouvelles habitudes de comportement et de dicter ainsi notre choix. Dernièrement l’omniprésence et la complexité des nouvelles technologies peuvent être une source de frustration.

Les meilleurs exemples sont les robots au Japon.

Au Japon « le naturel et l’artifice ne s’opposent pas ».

Pour les Japonais les robots sons des machines et les hommes sont des hommes, mais les Occidentaux ont peur d’une substitution possible de l’homme par le robot.

L’arrivée de robots et ordinateurs dans les usines provoque cette vive crainte. Frédéric Kaplan trouve une explication à cette distinction aux différentes religieuses entre les Japons et les Occidentaux. En résumé, l’usage des nouvelles technologies facilite et améliore la vie des hommes, leur offre du choix, des possibilités nombreuses et donne de nouvelles libertés communes ou individuelles.

Mais en même temps il apparaît comme un moyen d’espionnage, une contrainte qui réduit la liberté personnelle ou une substitution éventuelle de l’homme par le robot.

Il serait tout impensable de remettre en question l’existence des nouvelles technologies.

Mais la question de limiter leur usage et très actuelle.

En effet, l’Etat a pris quelques mesures pour garder la liberté personnelle pour qu’il reste seulement des avantages de l’usage des nouvelles technologies.. »

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