Devoir de Philosophie

L’encyclopédie

Publié le 26/05/2015

Extrait du document

L'encyclopédie L'encyclopédie est un Ouvrage emblématique du siècle des Lumières, dont la parution (1751-1772). Inspirée par un ouvrage similaire de l'Anglais Chambers (1729), l'Encyclopédie a été dirigée par Diderot et rédigée par 150 savants, philosophes et spécialistes de toutes les disciplines (Voltaire, Montesquieu, Rousseau, Helvétius, Condillac, d'Holbach, Daubenton, Marmontel, Quesnay, Turgot, Jaucourt, etc.). « Le but d'une Encyclopédie est de rassembler les connaissances rependu sur la surface de la terre, d'en exposer le système général aux hommes, & de le transmettre aux générations futurs sert a l'éducation également. Cependant l'encyclopédie a été écrite à une époque ou la liberté d'expression n'existait pas l'encyclopédie des lumières a donc été censurée. A travers l'analyse du texte de Cordelier, Capuchon, pénitents et Flagellants nous allons faire un rapprochement avec le siècle des lumières. I/ etude du texte Etude analytique du texte Nous pouvons observer que les différents articles présents dans ce texte sont des articles de l'encyclopédie donc chaque nom commun entre guillemet seront traité a partir d'une réflexion dont les savants et philosophe expliquerons afin d'informer les hommes de l'importance des ses mots, les définir et également expliquer leur <...

« Les pénitents sont des d évots qui font profession de faire p énitence publique en allant en procession dans la rue en   se donnant des coups de b âtons ces p énitents on donn é lieu a la secte des flagellants qui ont pouss és d’avantages   cette p énitence publique   ; dans l’article Flagellant de Jaucourt  d énonce et lutte contre le fanatisme c'est­ à­dire que   les flagellants pratiquaient cette p énitence en disant que ‘ était pour d ésarmer la col ère des dieux et que leurs   flagellations unissaient leur sang a celui de j ésus christ  cependant Jaucourt critique ces faits en disant que c’ était   une pratique insens é notamment lorsqu’il dit    «   la fougue de ce z èle insens é   » montre qu’il est en total d ésaccord   avec ce genre de pratique et que le fait de s’infliger des barbarie sur leur corps pour rendre les dieux favorables est   une chose aberrante et il conclut sur le fait que l’esprit des philosophes donc les textes qu’ils ont  écrits et de la   raison qui est pr ésente dans le si ècle des lumi ère pourra d étruire le fanatisme car cela n’est pas une pratique   agr éable a dieu et qui d éshonore l’homme.    B) Mise en relation avec le si ècle des lumi ères.  Le mouvement des Lumi ères, ou le rationalisme, est un mouvement d'id ée europ éen qui se caract érise par un rejet   de la tradition au profit de la foi dans le progr ès et de la pens ée rationnelle. En 1784, le philosophe allemand Kant propose une devise qui peut d éfinir les Lumi ères   : «   Aie le courage de te   servir de ton propre endettement   !   ». En effet, les philosophes des Lumi ères se servent de leur raison librement,   tout en se d étachant des dogmes, des superstitions et des pr éjug és.  La relation entre ce texte et le si ècle des lumi ères est que les philosophes des lumi ères critiques les dieux et l’Eglise   car il refuse de lier la morale et la religion car il r éclame une religion simple et naturelle et plus de tol érance. Face  à l'intol érance religieuses, les Lumi ères vont lutter, quitte  à risquer la prison, l'exil, l'excommunions. Le plus   fervent de tous est Voltaire, qui fut enferm é à la Bastille en 1717,  à   l' âge de 23 ans.    Le but des Lumi ères est de lutter contre les superstitions attach ées  à la pratique religieuse. Certains philosophes s'interrogent sur l'existence de Dieu. Certains osent en douter comme Diderot et deviennent   ath ées, bien que l'ath éisme n’ai pas une grande place dans ce si ècle ou la majorit é sont des chr étiens. Pour eux, la   religion est coupable de l'intol érance D'autres, comme Voltaire se proclame d éiste mais anticl érical, c'est  à dire croyant en un Etre Supr ême organisant le   monde mais ils refusent les rites et dogmes attach és à la religion, ce qui, selon les philosophes, divisent les   hommes et favorisent le fanatisme religieux. Les sceptiques pensent que la religion est une occupation l égitime pour les hommes. Par exemple, Voltaire pensait   que la religion participe  à la bonne entente entre les hommes. II/ etude de la planche  Analyse de l’image  Dans cette planche du chapitre pap èterie louis jacques goussier figue dans la vignette sup érieur d’un atelier avec   ses ouvriers qui travaillent, louis jacques goussier fut l’artisan principal des volumes d’illustrations de l’encyclop édie,   il a fournit plus de 900 planches sur les 2885 qui composent l’ensemble. Sur la partie inf érieure de la planche on  . »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles