Le bien et le mal chez Rousseau
Publié le 13/08/2012
Extrait du document
Par son sentiment de grandeur et son désir de pouvoir, Lady Macbeth incite son mari à commettre le meurtre de Duncan et va même jusqu’à y participer puisque c’est elle qui enivre les gardes du roi afin que Macbeth puisse le tuer.
Nous avons vu que l’homme est le seul responsable du mal moral mais quand est il du mal physique ?
Dans « La profession de foi du vicaire savoyard « de Rousseau, le mal physique signifie la souffrance. Et celle-ci est une bonne chose car elle a une finalité corporelle. C'est-à-dire qu’elle prévient de ce qui peut mettre en danger. En effet, si on était malade sans souffrir, on ne se soignerait pas et on pourrait mourir. Mais ce n’est qu’une partie de ce que Rousseau appelle le mal physique. En effet, une part de la souffrance corporelle est due à l’homme. Corrompue par la vie en société ou nait les abus et le luxe. Le luxe rend le corps vulnérable aux maladies.
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