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Le Christ

Publié le 07/09/2025

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« I- Le Christ renvoie à l’immanence : quand dieu descend sur terre pour montrer l’exemple Le Nv Testament rétablit 1 certaine immanence à travers perso Jésus, à la fois h + D.

Pr 1ère fois, le divin, décrit //1 D transcendantal, séparé des hommes, lointain + tt puissant dans l’Ancien testament, vient s’installer ds M sensible alors que les hommes étaient séparés de D depuis péché originel commis par Adam + Eve. Il y a dc 1 intervent° personnelle + eschato de D lui-mm ds M à partir du mmt où il prd forme ds chair + tps.

On pt dès lors considérer 1 certaine horizontalité ds rapport de cet h-D avec les autres hommes sur terre, 1 certaine immanence, en somme, 1 principe qui habite le M. 1) Il apparaît ds 1 1er tps que l’exemple du bien inhérent à figure de Jésus sert faire émerger celui en l’homme a) Il s’agit ttefois avt, de souligner en quoi le christ se fait immanence, et ce, ds mesure où il partage vie hommes. point départ démonstrat° s’appuie sur principe kénose apparaissant ds épître Paul aux Philippiens, qui décrit fait que D, par intermédiaire Jésus, se soit dépouillé de sa condit° divine.

il s’est fait l’égal des hommes, “1 simple h” mm en le citant, allant jusqu’à s’humilier sur la croix, épousant souffrance terrestre.

-> acté ds évangile selon st matthieu qd dit “et le Verbe s’est fait chair” Dieu adopte dc condit° humaine, s’incarne en homme en ayant 1 corps humain : Jésus connaît faim, fatigue, souffrance physique, émot° humaines // compass°, vie en communauté : famille, relations humaines ordinaires. Il a vécu souffrance : morale (trahison, abandon), physique (Passion) ⇒ le rend solidaire de toute souffrance humaine, selon foi chrétienne. // tt h, a exercé sa liberté : il a fait des choix, a résisté à tentat° (désert), et a choisi d’aimer jusqu’au sacrifice et enfin, en mourant, Christ rejoint pleinemt la condit° humaine Paradoxalemt, cela ns amène dc à penser une P ds vulnérabilité Cette P se voit ds l’exemple de bien inhérent à 7 figure, qui ressort de sa vie sur terre. b) Jésus = marqué le bien ds discours + action (Evangiles) : conjugaison des 2 permet pleine réalisat° de cet idéal et en fait 1 modèle Il incarne 1 idéal de charité, d’amour universel visible ds -sermon sur la montagne ds Béatitudes où véhicule éthique de l’amour pour son prochain - ds l’action : à travers crucifix° apparaît idée sacrifice pr les autres, en acceptant souffrance, subissant cloutage pieds + mains sur croix en annihilant sa personne pr permettre aux reste des h atteindre salut en rachetant lr péché. c) Ansi, chez kant : Jésus fait figure de modèle >, à l’image d’1 idéal de bien vers lequel l'humanité doit tendre et s’accomplir -affirme que ce qui donne 1 sens moral à la création (le « décret divin ») n’est x simplemt existence du Mmatériel, ms l’humanité en tant qu’être raisonnable et moralemt parfait.

Ce n’est x bonheur qui =l’objectif en soi, ms moralité, et le bonheur en est seulemt 1 conséquence, ds la volté divine.´ Il est si moral que K va jusqu’à parler du “Fils de Dieu” nn // 1 pers réelle ou 1 créature, ms // idée morale idéale, l’image parfaite de l’humanité morale.

Cette idée est éternelle, elle sort directement de la raison divine. Dès lors, le C doit ê pris // modèle de l’élévat° morale en tant que devoir pr les h ns avons devoir de tendre vers 7 idéal moral.

7 idée de perfect° morale= inscrite en ns par la raison, L ne vient x de ns, ms L = présente en ns.

Et // ns ne comprenons x commt 1 tel idéal est en ns malgré notre nature imparfaite, ns en parlons comme s’il était “descendu du ciel”, càd // 1 don moral mystérieux. Et K distingue Christ de la condit° humaine classique, // ex particulier : l’homme, pécheur, mérite ses souffrances, tandis que l’idéal, l’h qu’est le Christ symbolique, souffre sans y être obligé, par pure moralité : accepte de descendre vers humanité imparfaite, de prdre sur lui souffrances du M, nn x pr racheter magiquemt nos fautes, ms // ex suprême de sacrifice + pureté morale Le C semble dc exister // 1 exemple devant servir à faire émerger bien chez h. 2) Si vie du Christ, dc de Dieu ss forme d’h, apparait ss le jour d’1 exemple faisant ressortir et permettant multiplier certains aspects de ses semblables // l’amour, la passion, elle révèle 1 caractère inhérent aux hommes : lr violence . En eff, grâce à 7 immanence, 7 violence se dessine selon 1 logique de bouc émissaire.

Ds Les choses cachées depuis la fondation du monde, René Girard. Avt de parler du bouc émissaire, Girard commence par une analyse du désir humain : il n’est pas autonome mais mimétique.

Nous désirons ce que les autres désirent, en les imitant. Cela crée inévitablement de la rivalité, car plusieurs individus désirent la même chose.

Ce désir mimétique engendre des conflits au sein du groupe.

Lorsque tout le groupe est pris ds rivalités croissantes, violence devient incontrôlable.

Pr mettre fin violence collective, la sté primitive désigne 1 coupable unique, svt innocent, sur qui elle projette toutes les tensions. ●​ En tuant ou en excluant ce bouc émissaire, la sté retrouve forme de paix. ●​ Ce processus = inconscient : commu croit réellemt que mort ou l’expulsion de cet individu a résolu le problème. ●​ Ce mécanisme est à la base de nombreuses mythologies anciennes, où la victime est divinisée après coup (le roi sacrifié, le héros martyr, etc.) et où la violence collective reste invisible, dissimulée par 1 récit mensonger. Ms, contrairemt aux mythes qui cachent innocence victime, Évangiles révèlent qu’il est innocent + masquent x lynchage ●​ récit Passion montre processus d’exclus° : Jésus est rejeté par foule, jugé injustement, tué. ●​ 7 fois, texte prd parti victime en montrant que Jésus = scandaleusemt sacrifié ss raison. Christ = ainsi l’ex qui permet révéler mécanisme bouc émissaire qu’on retrouve de manière systémique ds stés humaines. La valeur d’ex, de modèle que recouvre Christ + qui justifie en partie descente D sur terre, en demeurant ds champs immanence = marquée par le (3) carac éphémère de D en Jésus.

Et l’ex pt dès lors ê critiqué par sa valeur unique et ephémère.

De fait ce n’est qu’un ex, il échappe à la loi commune et par son caractère d’immanence laisse les hommes seuls sur terre, sans guide, par opposition à l’étoile qui guide le berger. Jésus en ce qu’il se caractérise par immanence constitue 1 ex particulier pcq il ne se manifeste qu’1 seule foi, il est 1 temporalité limité à 1 30taine d’années qui ensuite s’évanouit du M matériel.

C’est ce qu’illustre légende grd inquisiteur ds les frères Karamazov.

Ds roman, passage = raconté par Ivan Karamazov, fr intellectuel, sceptique et tourmenté.

Il l’adresse à Aliocha, son fr moine, profondémt croyant.

Ivan imagine que Jésus ressent désir visiter les hommes, notammt au lieu où hérétiques viennent d’être brûlés vifs, symbolisant violence exercée au nom foi.

Malgré 7 cruauté, Jésus apparaît avc compass°, ressuscite 1 fille morte.

Le cardinal, représentant de l’Église, = sévère, et profondémt inquiet face Jésus.

Il sait que, s’il laisse Christ libre agir, cela bouleverserait totalement son pvr + ordre établi.

Le Grd Inquisiteur incarne ici une forme d’autorité rigide, qui préfère maintenir contrôle sur consciences plutôt que de laisser liberté radicale du message du Christ.

Il se justifie en reprochant à Jésus d’avoir voulu donner à l’h 1 amour libre càd que l’h puisse choisir par lui-mm de suivre ou non D, ss contrainte ni miracle pour le forcer.

Ce libre arbitre est vu comme un fardeau trop lourd, qui conduit au doute, à la révolte, et mm au rejet de D. Il semble ainsi avoir abandonné hommes par son carac éphémère, et en laissant dominer ce choix apr lui.

Le Grd Inquisiteur explique que l’Église a « corrigé » l’œ du Christ qui n’aurait x saisi le tragique de condit° humaine, en supprimant 7 liberté trop difficile à porter, en imposant 1 soumission aveugle basée sur le miracle, le mystère et l’autorité.

L’étoile qui guide le berger apparaît ainsi à travers l’institut° de l’Eglise. ⇒ Ainsi, christ apparaît // figure de l’immanence, attachée au M sensible + marquée par traversée condit° humaine.

Il surgit ds le M en ayant 1 valeur d’ex, révélant chez l’h tantôt tt le bien qu’il pt faire aux autres, tantôt tte la violence dt il est capable.

Sa valeur d’immanence se révèle de manière paroxystique ds son simple carac d’ex qui fait de lui 1 homme qui quitte vie à un mmt donné, abandonnant de la sorte les h face à lr existence.

Toutefois, si ds l’imaginaire collectif, et + svt en-dehors du cadre religieux, on garde en tête le caractère immanent du dieu homme, par l’image de sa chair mm qu’on a en tête,.... »

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