le froid thomas bernhard

« Deuxièmement, nous pouvons remarquer une mise en doute généralisée puisqu’un logique du pire ensemble toute l’œuvre.

Effectivement, par ce goût à la citation, de l’insertion et de la reprise permet à cette œuvre fait par Thomas Bernhard de dépasser le principe de contradiction pour montrer du scepticisme.

C’est-à-dire, ces contradictions de cette réalité consciente du Moi se soustraient au contexte de l’histoire afin de permettre la parole des autres de prôner.

Donc ce doute ou scepticisme s’engouffre pour former la logique du pire.

Puisque Thomas Bernhard pour ainsi dire est un Moi qui refuse de s’enfermer dans le désespoir vient donc une progression vers une lutte logique. Troisièmement, l’auteur montre tout au long de l’histoire une progression vers une lutte logique et une réalité inconsciente.

En effet, ce Je se livre à un combat acharné contre les épreuves du destin.

Face à la perte des êtres proches ou à sa maladie (tuberculose) causé par plusieurs erreurs médicales, Bernhard ne s’abandonne jamais au désespoir.

Au contraire, il montre à travers son amour pour la musique et sa vocation pour l’écriture une nouvelle vigueur à sa vie.

C’est-à-dire, que cette vigueur devient surtout sensible dans la quête menée par l’auteur pour trouver son père.

Cela est dû par une pulsion-plaisir si grande recherchant de nouveaux objets d’investissements dans le concept d’objet et de représentation, car dans la situation de Bernhard, la logique du pire dominait et c’est sûr qu’étant un être humain nous voulons à tout prix rechercher le plaisir tout en évitant le contraire (déplaisir).

Le fait de vivre dans la pulsion, selon moi, conditionne l’être humain à se donner à cent pour cent pour n’importe quelle situation de survie pour combattre la mort, car le désir s’empare de soi et prône tout autre chose.

Donc, par cette lutte constante montre bien la réalité psychique de Thomas Bernhard. En conclusion, la réalité psychique de l’auteur a été déterminée par l’explication de la logique des contraires par le langage.

Ensuite, le doute généralisé créé par la logique du pire.

Pour finir une lutte logique par une pulsion-désir si grande que rien ne peut l’arrêter.. »