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Lumière

Publié le 19/02/2014

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Exposition sur les lumiéres   Les Lumières : l’esprit des lumières 1) La dénomination « Lumière « évoquent le passage de l’obscurantisme à une pensée et une action libres, éclairées par la raison. 2) La devise des lumières est : Il faut secouer le joug de l’autorité et "oser penser par soi-même" (Diderot). "Aie le courage de te servir de ton propre entendement Ce sont Diderot et Kant qui ont produit cette devise. 3) Le mouvement des lumières existe que en Europe d’où la phrase de Rousseau : il n’y a que des Européens. Ce mouvement a aidé a la création de l’Europe. De plus les lumière permettent la libre circulation des idées. 4) Les valeurs des lumières sont : -Les hommes, appartenant à la même espèce, possèdent des droits inaliénables -Liberté de l’individu et la souveraineté du peuple 5) Rousseau et Mozart ont incarné l’innovation des lumières. Rousseau renouvelle la réflexion politique comme la pédagogie, s’illustre dans le roman et invente l’autobiographie moderne Mozart participe des Lumières par les thèmes de ses opéras comme par l’éloge du bonheur qui émane de sa musique. Synthèse : Les principaux objectifs des Lumières étaient d'avoir le meilleure des mondes en proposant des idées différentes sur le peuple et sur la société.Elle devait aussi permette la libre circulation des idées. Rousseau et Mozart imposent une grande influence concernant leurs philosophie. II. La religion : l’ordre religieux contesté 1) Les lumières mettent en question la religion car pour les philosophes il faut d’abord disposer d’une entière liberté d’examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute or lorsqu on est croyant on peux pas avoir ces principes. De plus les philosophes disent que les religions essayent de prendre en main l’humanité. 2) La critique porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : on attaque l’Église, non la foi. Les critiques n'épargnent pas certains représentants de l’église chrétienne, que ce soit les jansénistes ou les jésuites, les anglicans ou les protestants 3) Le grand courant des Lumières se réclame, non de l’athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d’une de leurs nombreuses variantes. 4) Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances : des religions proches, comme le judaïsme et l’islam, ou des religions plus lointaines, celles de l’Inde et de la Chine, mais celles aussi des païens en Océanie, en Afrique noire ou en Amérique 5) Non seulement les peuples ne prient pas les mêmes dieux, mais certains, selon les récits des explorateurs tel Bougainville, vivent libres et heureux sans lois ni Église : seule une morale naturelle organise leurs sociétés. 6) Ce recensement universel n’a pas pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience qu’illustrent Lessing ou Voltaire, notamment au moment de l’affaire Calas.   Synthèse :   Les philoso...

« liberté d'examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute or lorsqu on est croyant on peux pas avoir ces principes.

De plus les philosophes disent que les religions essayent de prendre en main l'humanité. 2) La critique porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : on attaque l'Église, non la foi.

Les critiques n'épargnent pas certains représentants de l'église chrétienne, que ce soit les jansénistes ou les jésuites, les anglicans ou les protestants 3) Le grand courant des Lumières se réclame, non de l'athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d'une de leurs nombreuses variantes. 4) Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances : des religions proches, comme le judaïsme et l'islam, ou des religions plus lointaines, celles de l'Inde et de la Chine, mais celles aussi des païens en Océanie, en Afrique noire ou en Amérique 5) Non seulement les peuples ne prient pas les mêmes dieux, mais certains, selon les récits des explorateurs tel Bougainville, vivent libres et heureux sans lois ni Église : seule une morale naturelle organise leurs sociétés. 6) Ce recensement universel n'a pas pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience qu'illustrent Lessing ou Voltaire, notamment au moment de l'affaire Calas.   Synthèse :   Les philosophes s'en prennent à la religion parce qu'elle définit la société, elle emprisonne les consciences et la liberté critique, et elle entraîne des conflits.

Elle s'oppose donc aux idéaux de tolérance et de liberté individuelle.

Cela a pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience.. »

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