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Philosophie et Alchimie

Publié le 18/02/2016

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philosophie

L alchimie, si elle n'est pas une philosophie, s’en approche, dans la mesure où son origine est un questionnement. Elle s'apparente également à la philosophie en tant qu'elle est une incessante réflexion visant la connaissance du vrai. Les alchimistes,

 

1 comme bon nombre de 1 penseurs mystiques cherchant à définir l'essence de Dieu, ont déployé des trésors d'ingéniosité, ont fait preuve d'une intense activité intellectuelle pour entrer en possession de la pierre philosophale.

Cela dit, ce qui distingue radicalement l'alchimie de la philosophie, c'est qu'elle ne tient nullement compte de l'expérience, fait fi des règles qui gouvernent la raison et lui permettent d'accéder à une connaissance objective du réel. On peut dire que les alchimistes sont initialement des philosophes, mais des philosophes qui, tout en gardant leur âme de penseur, ont préféré à l'aridité du concept, les rêveries du poète, plus riches en espérances.

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« Principales œuvres On peut distinguer, dans l'œuvre de Cournot, trois types d'écrits: les ouvrages mathématiques, les ouvrages d'économie et ceux qui constituent une réflexion philosophique et historique sur les mathématiques et l'économie.

R~herche sur les prlndpes mathématiques de la théorie des richesses (1838} Première tentative rigou­ reuse d'appliquer les mathé­ matiques â l' êconomie poli­ tique, l'œuvre comporte une théorie de la formation des prix, une première for­ mulation de la fonction de demande et l'esquisse de ce que l'on appelle aujour­ d'hui la macro-économie.

A la fin du siècle, l'œuvre est traduite en anglais, alle­ mand et italien: elle est devenue une référence.

Exposition de la théorie des chances et des probabilités (1843} Première incursion de Cour­ not dans la philosophie, l'ou­ vrage annonce l'intention de l'auteur de cfaire bien comprendre la valeur phi­ losophique des idées de chance, de hasard, de pro­ babilité».

La première par­ tie présente un caractère méthodologique; la seconde partie étudie la probabilité d'erreur d'un résultat numé­ rique pour le physicien, le chimiste, l'astronome, etc.

Essai sur les fon­ dements de nos connaissances et les caractères de la critique philo­ sophique (1851} C'est l'œuvre philosophique majeure d'Antoine Augus­ tin Cournot.

œlle qui contient l'analyse cêlèbre du hasard.

Aucun événement n'est un commencement absolu, ainsi que l'a très bien démontré le déterminisme classique.

Mais les sêries causales, c'est­ à-dire les enchaînements prévisibles de causes et d' ef­ fets, sont le plus souvent indépendantes les unes des autres, et leurs rencontres sont aléatoires.

Le hasard est donc une notion posi­ tive qui désigne «. »

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