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Pourquoi désirer l'impossible ?

Publié le 19/08/2012

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Le contrôle actif du désir est source de sagesse et de bonheur : désirer l'impossible est à la fois insensé et source certaine de malheur. C'est empoisonner sa vie réelle au nom d'une aspiration dont on sait d'avance qu'elle ne sera pas satisfaite. Selon DESCARTES il est toujours plus sensé de travailler à « changer mes désirs que l'ordre du monde «.  Par défi contre la résignation et au nom du progrès, on peut désirer l'impossible et tenter d'atteindre un autre objectif. EPICTETE lui pense qu'il vaut mieux se résigner et s'adapter sans se tourner vers le progrès. Les sociétés primitives sont l'exemple même e se mode de vie. Les hommes de ces sociétés, s'adaptent et se contentent de vivre avec ce que la nature leur donne. Toutes les sociétés humaines ne sont donc pas forcement poussées vers le progrès. Au contraire, la quête du possible serait donc source de bonheur et de sagesse. La sagesse consiste ainsi à maîtriser nos désirs, en poursuivant seulement des désirs possibles, qui peuvent être effectivement réalisés, et en renonçant à tous les désirs impossibles, qui sont irréalisables. Pour Epictète, c'est la seule manière d'atteindre le bonheur.

« nous rend irresponsables.

C'est pourquoi la morale, faute de pouvoir supprimer tout désir car se serait être dans un état proche de l'inertie, s'efforce de soumettre lesdésirs et les passions au contrôle de la raison, appuyée par la volonté.

Car les désirs sont nécessaires à la vie, mais ils ne doivent pas gouverner notre âme, commePLATON nous met en garde dans La République.La passion est un désir excessif, déraisonnable : soit par l'objet impossible à atteindre, soit par sa force et sa violence qui fait perdre la maitrise de soi.

Le désir devientdonc passion lorsqu'il est sans limite.

Ainsi pour les Stoïciens, les passions sont mauvaises car elles troublent notre esprit et nous rendent esclaves de chosesextérieures.

Désirer ce qui « ne dépend pas de nous » nous rend forcement malheureux ; pour être heureux, le sage ne doit vouloir que ce qui dépends de nous.

Fuir etcombattre les passions et donc la condition du bonheur.Le contrôle actif du désir est source de sagesse et de bonheur : désirer l'impossible est à la fois insensé et source certaine de malheur.

C'est empoisonner sa vie réelleau nom d'une aspiration dont on sait d'avance qu'elle ne sera pas satisfaite.

Selon DESCARTES il est toujours plus sensé de travailler à « changer mes désirs quel'ordre du monde ».Par défi contre la résignation et au nom du progrès, on peut désirer l'impossible et tenter d'atteindre un autre objectif.

EPICTETE lui pense qu'il vaut mieux serésigner et s'adapter sans se tourner vers le progrès.

Les sociétés primitives sont l'exemple même e se mode de vie.

Les hommes de ces sociétés, s'adaptent et secontentent de vivre avec ce que la nature leur donne.

Toutes les sociétés humaines ne sont donc pas forcement poussées vers le progrès.

Au contraire, la quête dupossible serait donc source de bonheur et de sagesse.

La sagesse consiste ainsi à maîtriser nos désirs, en poursuivant seulement des désirs possibles, qui peuvent êtreeffectivement réalisés, et en renonçant à tous les désirs impossibles, qui sont irréalisables.

Pour Epictète, c'est la seule manière d'atteindre le bonheur.EPICURE, pense également que si l'on désir l'irréalisable, l'illusoire, on ne peut pas être satisfait Et que si l'on ne peut pas être raisonnable et maitriser ses désirs, onne peut pas être heureux.

Il faut donc faire preuve de sagesse.

Pour lui le bonheur consiste à ne plus avoir de désir.

Désirer l'impossible est un fantasme.

On peut enperdre la santé du corps et la tranquillité l'âme.

Il faut donc limiter les désirs sur lesquels on n'a pas de pouvoir, rester stoïque. ConclusionVouloir l'impossible est la logique même du désir : Le désir est insatiable, pour ne pas désirer l'impossible, il faudrait ne pas désirer.

C'est une sorte de jeu stimulantqui illumine la vie.

L'homme désir l'impossible car il sait que c'est cela qui pousse ses motivations.

Cependant il désire en restant lucide et en maitrisant ses passions.De là on peut parler de la Sagesse de l'homme qui ne choisit pas de tuer le désir mais qui reste conscient de celui-ci.

L'homme peut alors utiliser le désir comme unaiguillon.. »

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