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Qui suis-je, moi qui dit "je"?

Publié le 21/02/2021

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DM 2: Qui suis je, moi qui dit “je”? “Je peux douter de tout, mais je ne peux douter de la condition inhérente à l'acte même de douter; il faut bien que moi qui me persuade que je rêve ou que je suis fou, moi qui veux douter, je pense et que je sois ou j'existe, justement pour pouvoir penser” (extrait d’un discours de Descartes). J'acquiers ainsi mon propre sens de l’existence et de la connaissance de moi en tant que pur capacité de réflexion. Et il me semble que je suis maître de mes pensées et, par conséquent, de mes discours. J'ai aussi la capacité de dire «je», c'est-à-dire en retour de me saisir, en tant que sujet conscient, malgré ma riche expérience, le sujet est toujours le même que moi. Par conséquent, il me semble que la personne que je dis «moi» est une conscience souveraine, une personne autonome, totalement différente des autres et du monde. Mais suis-je vraiment ce que je sais? Ma conscience est-elle la cause profonde de mes pensées et de mes actions? Dans un premier temps, nous verrons si l’homme se connaît-il vraiment sois-même. Puis, nous analyserons si un être humain est conscient pour dire “je”. Dernièrement, nous étudierons les différentes sortes de “je” selon Freud et Hume. Tout d'abord, par définition, une personne acquerra des connaissances et des connaissances tout au long de son processus évolutif. D'un autre côté, il ne douterait jamais que le principal problème est de se connaître. En effet, de nombreuses personnes prétendent se connaître. Cependant, cette quête de connaissances est la nature humaine. En outre, le stade du miroir de Lacan nous apprendra quel âge nous avons l’air d’avoir mais aussi de savoir qui nous sommes pour la premiè...

« commencera par dire “il”, et vers ses 7 ans, il pourra dire “je”, le fameux “Ich” de Kant.

L'utilisation de ce pronom simple est de réaliser la capacité du sujet à s'exprimer en tant que sujet unifié.

Par exemple, quand quelqu’un a eu une mauvaise note dans une certaine matière, il sera déçue pour lui-même.

C’est la déception.

Ainsi, sa capacité à dire “je” lui permet d'exprimer sa déception à des personnes comme ses parents ou ses amis .

C'est parce qu'il fait un “retour sur soi” qu'il comprend ses émotions.

Il existe plusieurs formes d'auto-réflexion.

En effet, selon Sartres, la honte est aussi une autre forme de retour sur soi, qui inspire les pensées que vous stimulez lorsque vous pensez à “Cogita”.

Ensuite, il y a aussi l'embarras et la fierté, qui sont des sentiments ou l’on se juge un peu soi-même.

Ces sentiments sont souvent ressenti dû à la présence d’autres personnes qui vont se donner un avis sur nous.

De plus, en addition au fait que les gens peuvent dire “je”, l'existence de thèmes qui peuvent être compris comme l'existence de pensées peut également être déterminée.

La certitude de l'existence en tant que sujet vient de la capacité à maîtriser la pensée.

René Descartes a mis en évidence cette capacité humaine à travers l'expérience de pensée du cogito.

En quête de certitude, Descartes a questionné tout ce qui existe, même l'existence du monde extérieur.

Il doutait de tout.

C'est dans ce soupçon universel que Descartes découvrit la première certitude: même s'il doutait même de son existence, il savait qu'il doutait.

En effet, lorsqu'une personne doute de son existence, elle peut toujours dire “je doute”, ce qui prouve son idée et donc son existence.

Le raisonnement de Descartes prouve que la première certitude est la conscience de soi, d'où le “je pense donc je suis”.

Dans "Traité de la nature humaine" de Hume, il critique la philosophie classique du sujet.

Avant lui, la philosophie idéaliste avait attribué l'identité stable, évidente et continue au sujet conscient et au moi.

Le cogito chez Descartes et la «conscience» chez Locke constituent une identité stable de soi.

Mais Hume s'est opposé à cette philosophie.

Dans cet article, il a démontré avec précision l'illusion de soi.

Selon lui, les humains n'ont pas de soi stable, continu et saisissable.

Au contraire, il donne la perception du changement, de la multiplicité et de l'instabilité.

Nous sommes la somme de ces perceptions spécifiques, à part ces perceptions, nous n'avons pas d'autre identité.

Rien ne peut nous définir et constituer notre identité.

La preuve en est que lorsque ces sentiments disparaissent instantanément pendant le sommeil, on ne ressent rien.

Quand ils disparaîtront à jamais et seront détruits par la mort, nous deviendrons un “néant” absolu en théorie.

Nous n'aurons plus rien pour nous ou pour notre identité.

Plus tard, chez Freud, nous avons distingué le moi du ca et du surmoi, et ils sont tous apparus à la fois, comme dans de nombreuses versions du “je”.

Dans son deuxième thème, Freud a décrit le moi comme la partie défensive de notre personnalité, et il est considéré comme le plus conscient.

Il a tenté de répondre aux intérêts respectifs du ça,. »

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