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Publié le 25/03/2015

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Français: Le récit policier Une pendue à Marseille Il est 9h30 ce matin là quand Marc, enquêteur à la gendarmerie de Marseille, est appelé sur les lieux d'un crime dans le quartier sud. Quelques heures auparavant... Comme tous les matins, Marie-Jeanne, venait prendre son café chez sa voisine. Elle sonna à la porte mais personne ne vint ouvrir... Elle passa par la porte de derrière en se disant que sa copine, a moitié sourde, n'avait pas entendu la sonnette. Elle monta les marches pour arriver sur la terrasse et découvrit Germaine pendue à un crochet... Marc arriva sur les lieux du crime vers 10h, il commença à inspecter la scène de crime en attendant que la scientifique n'arrive et, à l'aide de Marie-Jeanne nota la disparition de certains objets de valeurs comme la boite à bijoux et le chéquier de la victime. Il se demanda alors si c'était bel et bien un suicide comme le prouvait le corps de la victime ou une mise en scène pour cacher un cambriolage qui a mal tourné. Une fois tous les gendarmes arrivés il demanda à ses équipes de lancer une enquête de voisinage pour dresser un éventuel portrait robot du tueur. L'enquête de voisinage n'avait rien donné pour la nuit du meurtre mais un des voisins avait aperçu une dispute quelques jours avant le meurtre entre la vic...

« Camile Simonet 3 ème A L’enquête de Marc était dans une impasse jusqu’au moment où il décida de retourner sur la scène de crime et d’inspecter les poubelles des alentours pour trouver une éventuelle arme du crime.

Après quelques minutes seulement de recherche, dans la poubelle de la voisine, un drap plein de sang ! Il sortit son gant stérile de la poche et mit le drap avec précaution dans un sachet.

Il s’empressa de l’envoyer au labo.

Et quelques heures plus tard la sentence tomba c’était bel et bien du sang de la victime.

Le soir même il alla interroger la voisine, Marie-Jeanne.

Il se demandait comment est ce qu’un drap imprégné du sang de la victime pouvait se retrouver dans la poubelle de cette vielle femme.

Il entra chez elle et la questionna sur la présence de ce drap dans sa poubelle.

« Je n’ai jamais vu cette chose ! Le tueur l’a surement mit dans ma poubelle pour vous induire en erreur et puis je n’aurais jamais eu la force de la pendre ! ».

Marc se rendit rapidement compte que Marie-Jeanne ne pouvait pas être l’assassin.

Elle n’avait ni le mobile ni les capacités physiques pour le faire et en plus elle était rentrée à 2h du matin de sa soirée bingo alors que le légiste situait la mort vers minuit.

Malgré cette fausse piste il ne baissa pas les bras car le labo allait surement relever de l’ADN sur l’essuie retrouvé.

Le lendemain matin le labo appela, ils avaient trouvé de l’ADN et une correspondance pour un ex détenu, un certain Jacky, facteur dans le quartier.

Marc s’empressa de demander un mandat de perquisition pour fouiller l’appartement du suspect et retrouver les objets volés. « Votre dossier est trop mince, déclara le juge - Mais Mr le juge, il a des problèmes d’argent et son alibi ne tient pas la route sans oublier que nous avons son ADN sur l’arme du crime ! - Oui mais vous oubliez qu’il rentrait fréquemment chez la victime ce n est donc pas un hasard si vous retrouvez son ADN sur un essuie appartenant à la victime. - Si tant de preuves ne vous suffisent pas pour m’octroyer un mandat, je retourne au boulot.

Bonne journée Mr le juge ! » Marc revint très remonté de cet entretien avec le juge mais il avait une idée pour faire craquer le juge. Prêt à entrer ? On y va, police ! Go ! Go ! Go ! L’appartement du suspect était vide pas la moindre trace de Jacky, il avait pris la fuite !. »

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