rien
Publié le 25/03/2015
Extrait du document
«
Camile Simonet
3 ème
A
L’enquête de Marc était dans une impasse jusqu’au moment où il
décida de retourner sur la scène de crime et d’inspecter les poubelles
des alentours pour trouver une éventuelle arme du crime.
Après
quelques minutes seulement de recherche, dans la poubelle de la
voisine, un drap plein de sang ! Il sortit son gant stérile de la poche et
mit le drap avec précaution dans un sachet.
Il s’empressa de l’envoyer
au labo.
Et quelques heures plus tard la sentence tomba c’était bel et
bien du sang de la victime.
Le soir même il alla interroger la voisine,
Marie-Jeanne.
Il se demandait comment est ce qu’un drap imprégné du
sang de la victime pouvait se retrouver dans la poubelle de cette vielle
femme.
Il entra chez elle et la questionna sur la présence de ce drap
dans sa poubelle.
« Je n’ai jamais vu cette chose ! Le tueur l’a
surement mit dans ma poubelle pour vous induire en erreur et puis je
n’aurais jamais eu la force de la pendre ! ».
Marc se rendit rapidement
compte que Marie-Jeanne ne pouvait pas être l’assassin.
Elle n’avait ni
le mobile ni les capacités physiques pour le faire et en plus elle était
rentrée à 2h du matin de sa soirée bingo alors que le légiste situait la
mort vers minuit.
Malgré cette fausse piste il ne baissa pas les bras car
le labo allait surement relever de l’ADN sur l’essuie retrouvé.
Le
lendemain matin le labo appela, ils avaient trouvé de l’ADN et une
correspondance pour un ex détenu, un certain Jacky, facteur dans le
quartier.
Marc s’empressa de demander un mandat de perquisition pour
fouiller l’appartement du suspect et retrouver les objets volés.
« Votre dossier est trop mince, déclara le juge
- Mais Mr le juge, il a des problèmes d’argent et son alibi ne tient
pas la route sans oublier que nous avons son ADN sur l’arme du
crime !
- Oui mais vous oubliez qu’il rentrait fréquemment chez la victime
ce n est donc pas un hasard si vous retrouvez son ADN sur un
essuie appartenant à la victime.
- Si tant de preuves ne vous suffisent pas pour m’octroyer un
mandat, je retourne au boulot.
Bonne journée Mr le juge ! »
Marc revint très remonté de cet entretien avec le juge mais il avait une
idée pour faire craquer le juge.
Prêt à entrer ?
On y va, police ! Go ! Go ! Go ! L’appartement du suspect était vide pas
la moindre trace de Jacky, il avait pris la fuite !.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓