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Schopenhaeur,

Publié le 18/11/2012

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Le monde comme volonté et comme représentation Arthur Schopenhauer Première partie : Texte : « Tout vouloir procède d'un besoin, c'est-à-dire d'une privation, c'est-à-dire d'une souffrance. La satisfaction y met fin; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés; de plus, le désir est long, et ses exigences tendent à l'infini; la satisfaction est courte, et elle est parcimonieusement mesurée..... « La satisfaction ne vient pas seule, il y a une idée du bonheur selon la façon de Schopenhauer qui est mit en place ici, il n'y a satisfaction que parce qu'il y a désir et manque d'abord donc une certaine souffrance. Le plaisir n'est que la fin d'une souffrance. Deuxième partie : Texte : « La satisfaction d'aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C'est comme l'aumône qu'on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd'hui la vie pour prolonger sa misère jusqu'à demain...... « Le plaisir est aussi le début d'une autre souffrance car on peut dire que le plaisir est égale au manque comme le démontre la comparaison avec l'aumône sur le mendiant. Il y a aussi une certaine satisfaction car ici le désir est le « vouloir-vivre « qui nous dévore q...

« qu’on a été moins mal, donc, qu’on a eu du plaisir.   Bilan :  On peut mettre en place que la souffrance est constante  avant, pendant et  apr ès. Donc   ici     l’id ée est que la seule voie est d’ éradiquer le mal  à la racine, on parle donc   d'asc étisme inspir é des sto ïciens et des  épicuriens qui sont deux grandes  écoles   philosophiques fond é à Ath énes par  épicure et par Z énon de Cition.  Introduction : Dans ce texte  Schopenhauer envisage la question du bonheur qui est con çu comme une   r éalit é positive de notre existence et dont le malheur serait le simple n égatif. Selon cette   conception , notre existence serait le bonheur et la souffrance ne serait qu'accident. Mais   le malheur et la souffrance peuvent­ils vraiment  être envisag és comme la privation du   bonheur ? Et si c' était le cas, alors, pourquoi sommes­nous plus aptes  à percevoir la   souffrance que le bonheur ? Pourquoi les choses agr éables nous sont­elles si peu   sensibles, quand les choses douloureuses le sont tellement ? D évellopement :  Tout d'abord Schopenhauer  énonce son id ée principale qui est que  la r éalit é premi ère et   imm édiate dans notre existence c'est la souffrance. Plus nous nous habituons au plaisir   plus nous en sommes d épendants et plus la perte de celui­ci nous sera  douloureuse.   Ce   que nous percevons avec la capacit é visuelle c'est ce qui nous fait souffrir alors que le   bonheur lui est une r éalit é peu sensible, qui n'a pour effet que de nous rendre plus   malheureux encore quand nous l'avons perdu. Conclusion :  Pour conclure  nous sommes par distinctions  incapables d' éprouver le bonheur  à part   sous la forme d'un souvenir ou d'un regret. Le fond de notre existence c'est la souffrance,   le malheur, seules choses auxquelles nous soyons r éellement sensibles puisque nous ne   pouvons nous y habituer ni consid érer que c'est notre  état normal. Les choses sont faites   que nous ne nous sentons exister que quand nous souffrons :  comme l'indique  . »

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