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Supprimer le naturel, est-ce le but de l'éducation?

Publié le 22/02/2014

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3) Pression, gravité, pesanteur b) Mal de l'espace et solution (conséquence de l'apesanteur et pression) Mal de l'espace L'exposition à l'apesanteur ne se fait pas sans désagrément, en effet l'organisme des spationautes souffrent de ce qu'on appelle le mal de l'espace, c'est à dire un ensemble de symptôme que présente les astronautes lorsqu'ils sont exposé à l'impesanteur (vertige, nausées) surtout au cours des premiers jours de vol. Du fait de l'absence de verticalité, l'organisme perd de ses repères, ces troubles sont dues à une confusion au niveau de du système vestibulaire. Le systeme vestibulaire est un système sensoriel permettant la perception du mouvement (si nous sommes immobile ou en mouvement) et de l'orientation (si nous avons la tete en haut ou en bas) par rapport à la verticale SCHEMAS Dans ces deux proches, il y'a 2 crystaux qui repose sur des cils sensitif symbolisé par cette sorte de peigne. Sur Terre lorsque nous somme droit le peigne est droit. Lorsque nous sommes penché, cils et cristaux forment un angle qui indique notre degrés d'inclination. En apesanteur, les cristaux n'ont plus de poids, ils n'exercent plus aucune pression sur les cils quelque soit la position, le peigne restre droit. L'apesanteur représente également une difficulté pour les astronautes de juger des perspective. En effet, en absence d'élément de décor ou horizon, il ne peut déterminer ni la taille, ni la distance, ni la vitesse d'un corps. Voilà pourquoi l'amarrage entre 2 vaisseaux est toujours réalisé en mode automatique. En mode manuel, une erreur d'identification (distance ou vitesse) pourrait avoir de grave conséquence sur 28 000 km/h. Sur Terre, pour un effectuer un mouvement souple et précis (ex : éviter un obstacle ou saisir un objet), le cerveau intègre plusieurs informations qui lui proviennent des yeux, des capteurs nerveux situé dans les muscles et les articulations et de l'oreille interne. Dans l'espace, verticale et horizontale sont des notions très relatives. Les nerfs et les articulations ne ressentent plus le mouvement de membre sans poids et la vision semble devenir un facteur prépodérant en l'absence d'information provenant de l'oreille interne. Il existe un moyen simple de comparer sur Terre et dans l'espace comment le cerveau interprete la gravité à partir des informations qui proviennent de l'oreille interne. Pour cela on observe les réactions d'un sujet plongé dans le noir sur une centrifugeuse. Sur Terre, il va d'abord ressentir une acceleration traduite par le mouvement rapide de ses yeux. Au bout d'une minute, cette sensation disparaît et le sujet ne ressent plus que les 2 forces qui s'exercent sur lui : la gravit&e...

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