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Abstention et la démocratie

Publié le 05/11/2012

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Les

conséquences de cette abstention peuvent être une montée des extrêmes. Les français n’ont alors plus le

choix et ce n’est plus le principe d’une démocratie, à partir du moment où ceux-ci sont contraints dans leurs

choix, mais bien par leurs fautes.

Il est clair que depuis quelques années, les français délaissent leurs droits que leur donne la constitution des

droits de l’Hommes. Alors que dans d’autres pays certains se battent pour obtenir des droits, les français

s’en désintéressent.

En effet, d’après Stéphane Hessel, un philosophe d’origine allemande qui participa à la commission

chargée d’élaborée la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, nous exprime clairement son

mécontentement de l’utilisation de ces droits. Dans son oeuvre Indignez-vous, il met chaque lecteur face à la

réalité de leur responsabilité en tant qu’individu, en s’inspirant de Sartre.

« interpréter le fait de l’abstention présidentielle I.

LA MONTEE DE L’ABSTENTION AUX PRESIDENTIELLES A.

L'ORIGINE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DANS LA Vème REPUBLIQUE Le suffrage universel est un suffrage où le droit de vote est accordé à tous les citoyens qui ont la nationalité française, sont majeurs, qui ont la capacité morale et sont inscrit sur les listes électorales. Ce pouvoir politique que possèdent les individus français est l’une des caractéristiques principales de la Ve République, et donc de la démocratie.

Tout a commencé avec la Révolution de 1789 qui a établit l’égalité civile, et d’après Tocqueville, un sociologue français, « a formé, au dessus de toutes nationalités particulières, une patrie intellectuelle commune dont les hommes de toutes les nations ont pu devenir citoyens.

» Mais ce fut que bien plus tard que le suffrage universel sera ouvert a tous : elle fut obtenue pour la première fois le 28 octobre 1962, lors d’un référendum organisé par le Président de la Ve République, Charles De. »

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