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Qu'indique le quotient intellectuel (QI) ?

Publié le 05/03/2020

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QI est l'abréviation de quotient intellectuel. Au début, les résultats des tests qui correspondaient à un stade de développement ou plus exactement à un âge intellectuel étaient recalculés en fonction de l'âge, d'où le terme de quotient. Désormais le QI est calculé selon une courbe de Gauss[le:Intquot.txt], de sorte que la moyenne se situe à 100. 68 % des individus ont un QI compris entre 85 et 115. Mais il est moins difficile d'expliquer la méthode d'évaluation du QI que de définir les aptitudes exactes qu'il mesure. Il existe déjà de nombreuses définitions très divergentes de la notion d'\"intelligence\". Voici par exemple celle d'Atkinson : \"L'intelligence est la capacité à découvrir un contexte nouveau, à le comprendre et à réagir à cette nouvelle situation de façon adaptée.\" Wechsler a avancé, entre autres, la définition suivante : \"L'intelligence correspond à ce que les tests d'intelligence mesurent.\" Supplément d'informations et autres définitions de Wechsler Mais que mesurent réellement les tests d'intelligence et que révèlent les questions au sujet de ceux qui parviennent à les résoudre ? Les tests de QI font partie des tests classiques d'aptitude scolaire et l'on observe à ce sujet des corrélations tout à fait intéressantes : un enfant qui a un QI élevé a de bons résultats à l'école ou s'y ennuie même parce que ce qu'on lui demande lui paraît trop facile. Les QI ne doivent en principe pas tester les connaissances scolaires et il est d'ailleurs à noter que la majorité ne le fait pas. Selon les différents types de questions, ils ont pour but de tester les capacités d'abstraction, de mémoire à court terme, de raisonnement logique, le vocabulaire et l'aptitude à la représentation dans l'espace. Même lorsque plusieurs tests sont réalisés par des milliers de personnes dans le respect de la répartition par âge et des procédures statistiques normalisées, les résultats obtenus sont toujours relatifs dans la mesure où il existe bien d'autres aptitudes humaines que celles évaluées par les tests, ne serait-ce que parmi les aptitudes intellectuelles ou même dans ce qui est considéré comme \"l'intelligence\" si on prend comme référence la définition d'Atkinson citée plus haut. Définir l'intelligence est d'autant plus difficile que les facteurs d'intelligence[le:Guilford.txt]ne dépendent pas seulement des capacités reconnues comme importantes par l'ensemble de la population, mais également des aptitudes pragmatiques d'un individu (peu exploitées dans la majorité des tests). Aucun des tests de QI actuels ne va au-delà d'exigences rudimentaires dans la mise en pratique des capacités sociales. Les tests permettant d'évaluer une intelligence différenciée et une intelligence synthétique ne sont possibles que depuis l'avènement de l'informatique et n'en sont actuellement qu'au stade expérimental. Les capacités musicales ou artistiques ne sont absolument pas prises en compte, peut-être parce qu'elles ne jouent pas un grand rôle dans la réussite scolaire et professionnelle. Pourtant, toutes les capacités que nous avons citées sont mises sur un pied d'égalité dans les modèles théoriques d'intelligence. Pour résumer, le QI tel qu'il est évalué actuellement mesure avant tout, selon ses détracteurs, la capacité à réfléchir de façon hiérarchisée, monocausale et dualiste, associée à la capacité de calculer et de retrouver des mots rapidement. Tous ces reproches ne font pas du QI un instrument inutile. Mais il faut les prendre en compte lors de l'interprétation des résultats. Le QI n'est qu'un des nombreux facteurs déterminants d'un individu. Un psychologue ne saurait considérer le test de QI comme seul outil de diagnostic. Malheureusement, les personnes chargées de recruter ne sont généralement pas aussi prudentes.

« nouvel essor a la recherche experimentale sur les tests aux Etats-Unis, en particulier dans l'armee de l'Air 'DU les neces- sites quantitatives de selection massive etaient doublees d'exigences qualitatives accrues par rapport aux besoins militaires connus dans le passe.

Le groupe de recherches psychologiques de l'United States Air Force developpe con- siderablement l'analyse* factorielle.

Aujourd'hui, les tests sont a peine pelvis comme faisant partie de notre histoire culturelle, mais plutot de notre environnement.

Chaque semaine, la presse hebdomadaire propose aux curieux et aux curieuses de connaissance de soi quelques...

tests.

Du moins est-ce le vocable qui annonce ces jeux de societe.

Si de choisir entre un pommier en fleur et un saule pleureur n'est pas vraiment un test, qu'est-ce qu'un test ? Le test est une epreuve qui permet, a partir d'un comporte- ment observe d'un individu, la determination de comporte- ments habituels ou futurs significatifs.

Donc : - Le test est une epreuve (definie, standardisee, reproductible) qui va provoquer et enregistrer un comportement. - Le comportement observe au test a une relation constants et demontree avec d'autres comportements significatifs.

Cette liaison peut etre exprimee sous differentes formes : qualitative (clinique) : le comportement au test est le signe » d'une realite psychologique ; quantitative (experimentale) : la Liaison entre les deux comportements (au test et dans la situation reelle) a un degre exprime par un coefficient de correlation*.

Ce degre est aussi celui de la probabilite de realisation du pronostic ; quantitative (statistique) : le comportement au test est un echantillon de l'univers des comportements qu'il permet d'inferer. - Le test manifeste des comportements et pronostique des comportements.

Or tout est comportement et tout comporte- ment permet virtuellement d'en prevoir d'autres.

L'homme qui voit des tests partout n'a donc pas tort : n'importe quoi n'est pas un test, mais on peut faire un test avec n'importe quoi.

Comment ? En faisant des propositions enoncees plus nouvel essor à la recherche expérimentale sur les tests aux Etats-Unis, en particulier dans l'armée de l'Air où les néces­ sités quantitatives de sélection massive étaient doublée~ d'exigences qualitatives accrues par rapport aux besoins militaires connus dans le passé.

Le groupe de recherches psychologiques de l'United States Air Force développe con­ sidérablement l'analyse factorielle.

Aujourd'hui, les tests sont à peine perçus comme faisant partie de notre histoire culturelle, mais plutôt de notre environnement.

Chaque semaine, la presse hebdomadaire propose aux curieux et aux curieuses de connaissance de soi quelques...

tests.

Du moins est-ce le vocable qui annonce ces leux de société.

Si de choisir entre un pommier en fleur et un saule pleureur n'est pas vraiment un test, qu'est-ce qu'un test? Le test est une épreuve qui permet, à partir d'un comporte­ ment observé d'un individu, la détermination de comporte­ ments habituels ou futurs significatifs.

Donc : -Le test est une épreuve (définie, standardisée, reproductible) qui va provoquer et enregistrer un comportement.

-Le comportement observé au test a une relation constante et démontrée avec d'autres comportements significatifs.

Cette liaison .peut être exprimée sous différentes formes: qualitative (clinique) : le comportement au test est le « signe » d'une réalité psychologique ; quantitative (expérimentale) : la Liaison entre les deux comportements (au test et dans la situation réelle) a 'ln degré exprimé par un coefficient de corrélation.

Ce degré est aussi celui de la probabilité de réalisation du pronostic ; quantitative (statistique) : le comportement au test est un échantillon de l'univers des comportements qu'il permet d'inférer.

-Le test manifeste des comportements et pronostique des comportements.

Or tout est comportement et tout comporte­ ment permet virtuellement d'en prévoir d'autres.

L'homme qui voit des tests partout n'a donc pas tort: n'importe quoi n'est pas un test, mais on peut faire un test avec n'importe quoi.

Comment ? En faisant des propositions énoncées plus. »

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