8 résultats pour "étretat"
- Étretat.
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- Gustave COURBET: LA FALAISE D'ÉTRETAT APRÈS L'ORAGE.
- Claude MONET: PLAGE D'ÉTRETAT (Analyse du tableau)
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Claude MONET: LES FALAISES A ÉTRETAT
sa jeunesse, de Jongkind en 1864, de Courbet en 1865, de Manet au cours des années 1863-1865, ont façonné enlui une extraordinaire acuité de vision, un sens profond de l'analyse il avait de rares dispositions , etl'ont aidé à se débarrasser de tout préjugé. Notablement soutenu par l'intelligence perspicace de Bazille, ilabandonne en 1867 ses derniers scrupules et réalise au milieu des railleries amicales de ses confrères ou d'aînés, telCourbet, ce chef-d'oeuvre qui inaugure le destin trio...
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1883
IMPRESSIONNISME
France
LA MER
Claude MONET
PLAGE D'ÉTRETAT
Monet se sent chez lui sur la côte norma,nde, haut lieu...
1883 IMPRESSIONNISME France LA MER Claude MONET PLAGE D'ÉTRETAT Monet se sent chez lui sur la côte norma,nde, haut lieu de l 'im pressionnisme. En janvier 1883, il revient à Etretat, imprégné du sou venir des toiles que Courbet y a peintes, mais avec la volonté de « faire autre chose». Comme l'indique Wildenstein, Monet a plan té son chevalet sur la falaise d'Aval, qui fait face à celle d'Amont. Le peintre, qui ne crai gnait pas l'escalade, s'est installé sur un sen tier dangereux. Ceu...
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Seine-Maritime (76).
une main-d'œuvre abondante (automobile, construction électrique). Certaines activités ont reculé depuis la crise, comme l'automobile. Toutefois, on note une certaine progression des activités de pointe (pharmacie, électronique, moteurs), qui bénéficient des progrès de la recherche menée notamment dans les deux pôles universitaires de Rouen et du Havre. Complétez votre recherche en consultant : Les livres Antifer (cap d'), page 275, volume 1 Havre (Le), page 2326, volume 5 Seine-Maritime (76...
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Une vie
Il arriva comme on essayait un banc rustique posé le matin même sous le grand platane en face des fenêtres
du salon.
Il prit congé ; et son dernier regard fut pour Jeanne, comme s'il lui eût adressé un adieu particulier, plus cordial et plus doux. La baronne le trouva charmant et surtout très comme il faut. Petit père répondit : " Oui, certes, c'est un garçon très bien élevé. " On l'invita à dîner la semaine suivante. Il vint alors régulièrement. Il arrivait le plus souvent vers quatre heures de l'après-midi, rejoignait petite mère dans " son allée " et lui offrait le bras pour faire " son exercice "....