5 résultats pour "étriller"
-
Définition:
ÉTRILLE, substantif féminin.
enjambait la rampe, et rossait le public, qui assistait bouche bée à ces exécutions. ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, La Révolte, 1907, page 439. · Étriller la peau. Toutes les lois de la terre ne m'empêcheront pas de vous étriller la peau, si vous levez encore la patte sur votre femme (MAXENCE VAN DER MEERSCH, L'Empreinte du dieu, 1936, page 100 ). a) Vaincre, écraser (un adversaire). Sévèrement étrillés par le P.U.C. à Paris, les Cadets de Toulouse attendent les étudiants de pied ferme (Le F...
-
Définition:
ÉTRILLER, verbe transitif.
2. Faire payer trop cher. On l'a étrillé dans cet hôtel (Dictionnaire de la langue française (ÉMILE LITTRÉ) ). Ce marchand étrille ses clients (Dictionnaire de l'Académie française. 1932). Remarque : On rencontre dans la documentation a) Étrillé, ée, participe passé en emploi adjectival [En parlant d'un gros animal domestique et surtout d'un cheval] Dont le poil a été nettoyé avec l'étrille. Tout était bien tenu, les bêtes étrillées, luisantes (HENRI POURRAT, Gaspard, 1922, page 170). Emploi sub...
- ÉTRILLE, n.
- ÉTRILLER, v.
-
Dictionnaire en ligne:
époussette
ÉPOUSSETTE, substantif féminin.
étrillé. Il se lève, époussette la jument avec une branche (ROGER MARTIN DU GARD, Devenir, 1909, page 178 ). b) Par analogie. Le vent de nuit époussetait les aires (JEAN GIONO, Le Grand troupeau, 1931, page 28 ). 2. Au figuré, familier, vieilli. [L'objet désigne une personne] Battre, rosser. Je vais t'épousseter le nez avec des chiquenaudes (VICTOR HUGO, Notre-Dame de Paris, 1832, page 462 ). Moi, les miens, je les ai [les enfants] toujours époussetés avec une baguette (...) : ma soeur aussi, le...