10 résultats pour "livresque"
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Education purement livresque
Un tel apprentissage pose également le problème de l’absence de rapports humains et de contacts sociaux , ce qui peut entraîner un risque d’isolement et d’enfermement de l’élève . La transmission de l’éducation est assurée par l’institution qu’est l’école, et pas seulement par les livres qui y sont utilisés. La sphère sociale joue également un rôle important, voire primordial, dans le développement de sa culture propre. Ainsi, l’ê...
- Education purement livresque
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Montaigne a dit: «Fâcheuse éducation qu'une éducation purement livresque. »
2 l'instruction ; ne manquez pas d'en profiter. ». Avec cette approche l'élève ne développe pas son aptitude à s'approprier les connaissances, ni son esprit, il est tel un âne savant, telle une éponge remplie de connaissances mais sans raisonnement. L'image du professeur tout puissant avec qui tout échange est impossible va de pair avec l'éducation livresque critiquée par Montaigne et prisée à l'époque, presque exclusivement passéiste. Cependant il appar...
- Montaigne a dit : « Fâcheuse éducation qu'une éducation purement livresque ». Exposez les dangers d'une telle éducation et montrez que l'on peut apprendre ailleurs que dans les livres. Comment situez-vous l'éducation par internet dans ce cadre ?
- Fâcheuse éducation qu'une éducation purement livresque
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Germinal, grand roman du XIXe siècle, met en scène la vie quotidienne des mineurs dans la mine d'Anzin. Dans un passage qui se trouve au cinquième chapitre de la première partie, l'auteur parle surtout des chevaux de la mine. En comparant ce passage à un passage du livre de Simonin, nous étudierons la manière dont Zola utilise la documentation livresque ? Quel sens entend-il donner à ce passage ? Pour quelles raisons intègre-t-il cet épisode dans son oeuvre ?
niveau de la subjectivité : l'un est subjectif, l'autre est objectif. Le texte de Simonin est uniquement objectif puisqu'il est explicatif.Son seul but est d'informer le lecteur en donnant par exemple les différentes manières de procéder pour descendre le cheval. Ilest « attachés aux câbles, soit dans des filets, soit par des courroies ». Le texte de Zola est lui subjectif. D'une part, il s'attarde surla peur des chevaux et on le voit au termes comme « cauchemar » (ligne 16), « sanglot » (ligne...
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Sur le chemin des hommes
La culture n'est pas un fatras livresque dont il faille encombrer l'âme.
Un esprit est,...
Sur le chemin des hommes La culture n'est pas un fatras livresque dont il faille encombrer l'âme. Un esprit est, dès l'abord, tout un esprit, et la culture ne peut avoir d'autre objet que de lui donner toute son activité. Elle n'est pas enfermée dans les livres. Elle est une manière d'être , une certaine fièvre . Elle n'est rien, si elle ne crée le désir et ne nourrit l'espérance. Nos yeux sont, non pas der rière notre tête, mais sous notre front, au-devant de notre visage, pour que nous regard...
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Chaque année, plusieurs millions de Français lisent des romans d'aventure, montrant
combien la recherche de l'aventure, réelle ou livresque, fait...
Chaque année, plusieurs millions de Français lisent des romans d'aventure, montrant combien la recherche de l'aventure, réelle ou livresque, fait partie intégrante de notre imaginaire contemporain. On peut se demander à quelles motivations elle obéit : goût du risque ou force de l'imaginaire, Les deux sans soute, dans un mouvement de liberté individuelle. Nous verrons donc d'abord comment, dans une société trop bien policée, le goût du risque motive l'attrait de l'aventure. Mais l'aventure n'est...
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Montesquieu, Charles de Secondat de - philosophie.
despotisme oriental et la monarchie française, est chargée par Montesquieu d’une intention satirique et critique. 3.1. 3 Une satire politique et sociale Tous les travers et le ridicule de la société française de l’époque sont ainsi épinglés. Mais Montesquieu va plus loin : les grandes questions qui seront celles des philosophes tout au long du siècle des Lumières se trouvent déjà amorcées dans les Lettres persanes : la réflexion sur le bonheur, présenté comme une revendication légitime, le com...
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Montesquieu, Charles de Secondat de - littérature.
despotisme oriental et la monarchie française, est chargée par Montesquieu d’une intention satirique et critique. 3.1. 3 Une satire politique et sociale Tous les travers et le ridicule de la société française de l’époque sont ainsi épinglés. Mais Montesquieu va plus loin : les grandes questions qui seront celles des philosophes tout au long du siècle des Lumières se trouvent déjà amorcées dans les Lettres persanes : la réflexion sur le bonheur, présenté comme une revendication légitime, le com...