6 résultats pour "mussy"
- Lenoir Étienne , 1822-1900, né à Mussy-la-Ville (Luxembourg), ingénieur et inventeur français.
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La Curée
Il faut attendre, monsieur, répondit avec colère le domestique effaré, perdant la tête, oubliant qu'il n'était
pas à l'office.
\24 M. de Mussy ne veut pas, disait une dame. Il jure qu'il ne le conduit plus... Voyons, une fois encore, monsieur de Mussy, rien qu'une petite fois. Faites cela pour nous. Mais le jeune attaché d'ambassade restait gourmé dans son col cassé. C'était vraiment impossible, il avait juré. Il y eut un désappointement. Maxime refusa aussi, disant qu'il ne le pourrait, qu'il était brisé. M. Hupel de la Noue n'osa s'offrir; il ne descendait que jusqu'à la poésie. Une dame ayant parlé de M. Simps...
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La Curée
courte veste collante, rameau de chêne dans les cheveux.
\24 Dites! on aurait dû lui confier le rôle de Narcisse. Il serait délicieux en maillot vert pomme. La vue de Vénus, de ce coin voluptueux de l'Olympe, avait en effet, ranimé le vieux sénateur. Il roulait des yeux charmés, se tournait à demi pour complimenter Saccard. Dans le brouhaha qui emplissait le salon, le groupe des hommes graves continuait à causer affaires, politique. M. Haffner dit qu'il venait d'être nommé président d'un jury chargé de régler des questions d'indemnités. Alors...
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La Curée
Il y eut quelques rires étouffés.
Monceau, ces pensées se noyaient, à cette heure, dans l'excitation des mets, des vins, des lumières, de ce milieu troublant où passaient des haleines et des gaietés chaudes. Elle n'échangeait plus de tranquilles sourires avec sa soeur Christine et sa tante Elisabeth, modestes toutes deux, s'effaçant, parlant à peine. Elle avait, d'un regard dur, fait baisser les yeux du pauvre M. de Mussy. Dans son apparente distraction, bien qu'elle évitât maintenant de se tourner, appuyée contre le doss...
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...