3 résultats pour "rient"
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Figaro dit, dans « le Barbier de Séville » : « Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer. » Le rire de Figaro n'est-il pas celui de Beaumarchais ? En quoi diffère-t-il de celui de Molière? (De quoi l'un et l'autre rient-ils? Pourquoi et comment rient-ils ?)
sa pupille et se voit préférer un jeune homme beau et spirituel. Mais l'intrigue de Molière est enfantine auprès de la marche endiablée, sans cesse ·rebondissante de l'action chez son imitateur. Mêmes transformations dans les caractères. Arnolphe est, chez Molière, un vieux tuteur facile à duper; le Bartholo de Beam;narc?ais est le contraire d'une ganache : alerte_, rusé défiant, il est de taille a se mesurer avec cette fine mou...
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Figaro dit (dans le Barbier de Séville) : « Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer. » Le rire de Figaro n est-il pas le rire de Beaumarchais? En quoi celui-ci diffère-t-il du rire de Molière? (De quoi l'un et l'autre rient-ils? Pourquoi et comment rient-ils?)
288 / RIRE • 38 38. Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer. ' Beaumarchais ► Cette phrase est extraite de la comédie de Beaumar chais (1732-1799), Le Barbier de Séville (acte I, scène 2). Cette pièce a d'abord été conçue comme un opéra comique; mais, refusée par les Comédiens-Italiens en 1772, elle sera remaniée, pour être acceptée en 1773 par les Comédiens-Français. Elle ne sera jouée, toutefois, qu'en 1775, en rais...
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La Mort De Gavroche de Victor HUGO
les gardes nationaux qui s'amusent à son jeu, qui "rient en l'ajustant". Le couplet qu'il lance aux soldats est un symbole de savolonté de narguer. Gavroche apparaît ainsi comme un enfant facétieux, "il taquine la fusillade", "joue un jeu de cache-cache avecla mort". Cette accumulation d'expressions enfantines ("pied de nez, pichenette...") expriment le caractère malicieux de l'enfant, etsa volonté de continuer à jouer. On voit donc que cette scène est dramatique, tragique, mais qu'elle est trai...