Les Dominicains

« prieurs (superieurs des communautes) par les religieux. Le pouvoir legislatif s'exerce par les chapitres generaux qui ,se reunissent tous les trois ans.

L'un d'eux Mit pour douze ans le chef de rexecutif : le maitre general (depuis 1974, un Francais, le pore de Couesnongle) qui gouverne avec un conseil.

A la difference du prepose general des jesuites, iI peut entrer en fonction sans voir son election confirmee par le pace.

Les 9 000 religieux de l'ordre sont repartis dans plus de 200 couvents regroupes en 41 pro- vinces.

La France en compte trois :Toulouse, Paris et Lyon. 4 Les branches ferninines de l'ordre rassemblent 6 000 moniales et plus de 50 000 scours qui se consacrent l'enseignement, au service des malades at aux missions.

La spiritualite dominicaine a egalement suscite un tiers- ordre laic (les deux premiers « ordres n, dans une termi- nologie depassee, distinguaient les padres des religieux non ordonnes) et une confrerie du rosaire de pros de six millions de fideles.

Les dominicains vivent en cellule dans des couvents urbains, sauf exception.

Ils prononcent les trois vceux d'obeissance, de pauvrete et de chastete. Leur formation comprend un postulat de six mois, une armee de noviciat, trois ans de philosophie et quatre ans de theologie.

L'ordre, qui cultive retude at ('action indi- viduelles attirede fortes personnalites dans tous les domaines, de Savonarole 8 Fra Angelico, et en France, les Chenu, Liege, Congar, Lelong et Cardonnel de notre (Vogue.

Predicateurs, ilsusent largement des moyens modernes d'intorrnation :presse, radio, television.

Pre- sents dans le groupe Malesherbes (a La Vie catholique *, a Les Informations catholiques internationales a Tele- rama *), ils animent les Editions du Cerf, remission du Jour du Seigneur, Foi et Developpement, la revue cecume- nique « Istina*. prieurs (supérieurs des communautés) par les religieux.

Le pouvoir législatif s'exerce par les chapitres généraux qui se réunissent tous les trois ans.

L'un d'eux élit pour douze ans le chef de l'exécutif : le maître général (depuis 1974, un Français, le père de Couesnongle) qui gouverne avec un conseil.

A la différence du préposé général dea jésuites, il peut entrer en fonction sans voir son élection confirmée par le pape.

Les 9 000 religieux de l'ordre sont répartis dans plus de 200 couvents regroupés en 41 pro­ vinces. La France en compte trois : Toulouse, Paris et Lyon.

4 Les branches féminines de l'ordre rassemblent 6 000 moniales et plus de 50 000 sœurs qui se consacrent à l'enseignement, au service des malades et aux missions.

La spiritualité dominicaine a également suscité un tiers- ordre laïc (les deux premiers « ordres », dans une termi­ nologie dépassée, distinguaient les prêtres des religieux non ordonnés) et une confrérie du rosaire de près de six millions de fidèles.

Les dominicains vivent en cellule dans des couvents urbains, sauf exception.

Ils prononcent les trois vœux d'obéissance, de pauvreté et de chasteté.

Leur formation comprend un postulat de six mois, une année de noviciat, trois ans de philosophie et quatre ans de théologie.

L'ordre, qui cultive l'étude et l'action indi­ viduelles attire de fortes personnalités dans tous les domaines, de Savonarole à Fra Angelico, et en France, les Chenu, Liégé, Congar, Lelong et Cardonnel de notre époque.

Prédicateurs, ils usent largement des moyens modernes d'information : presse, radio, télévision.

Pré­ sents dans le groupe Malesherbes (« La Vie catholique », « Les Informations catholiques internationales », « Télé­ rama »), ils animent les Editions du Cerf, l'émission du Jour du Seigneur, Foi et Développement, la revue œcumé­ nique « Istina ».. »