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César Cui

Publié le 22/02/2012

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1835-1918 Il enseigna à l'Académie des ingénieurs de Saint-Pétersbourg l'art des fortifications, art qui lui doit plusieurs ouvrages théoriques ; en musique, il avait été dès ses jeunes années l'élève de Moniuszko et de Balakirev ; il fut le porte-parole du groupe des Cinq ; Cui écrivit plu-sieurs opéras (Le Prisonnier du Caucase, 1857, Le Fils du Mandarin 1859, William Radeliff, 1868, Le Flibustier, 1889, sur un poème de Richepin), deux cents lieder et de la musique de salon.

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