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Citations avec respiratoire

Publié le 14/09/2014

Extrait du document

Exemples de la cooccurrence voies respiratoires

 

  • La contagion se fait par contact direct (voie cutanée) ou indirect (voie respiratoireou digestive).
    CyberSciences
  • La diphtérie se caractérise par la formation de fausses membranes à l’entrée desvoies respiratoires.
  • Lié à un rétrécissement des voies respiratoires, le phénomène concerne près de 1 enfant sur 3 avant 4 ans.
  • Cette fameuse grippe est en outre une maladie infectieuse virale, caractérisée par une inflammation des voies respiratoires.
  • Sous nos latitudes nordiques, il n’est pas rare que des cas d’infection des voiesrespiratoires supérieures évoquent la coqueluche.
  • La chanteuse souffre d’« une sévère infection des voies respiratoires appelée bronchite à mycoplasmes «, indique-t-on dans un communiqué.
  • Par exemple, le formaldéhyde peut déclencher une irritation des yeux et des voiesrespiratoires supérieures, des allergies, des crises d’asthme.
Citations avec respiratoireadjectif

 

  • Ces trachées aquifères constituent l’organe respiratoire le plus imparfait, le moins actif, le premier que la nature a créé.
    Jean-Baptiste de Monet, chevalier de LamarckPhilosophie zoologiqueGallica
  • Il appliqua l’oreille à la poitrine : absence du bruit respiratoire.
    Alexandre Dumasla Dame de Monsoreau, vol. 3Projet Gutenberg
  • Or cet attrait manque absolument dans l’exercice de la gymnastique respiratoire.
    Charles Burlureauxla Lutte pour la santéProjet Gutenberg
  • Cette méthode de relaxation va aussi apprendre au sujet (training) à modifier progressivement lui-même (d’où le mot d’autogène) d’autres états physiologiques (comme le ralentissement respiratoire et cardiaque, la détente abdominale).
    Jean-Jacques Bourque et François Lelordl’Âme de l’organisationQuébec Amérique
  • Au même moment, le léger mouvement respiratoire qui agitait le drap cessa.
    Raphaël Korn-Adlerla Vie aux enchèresQuébec Amérique
Exemples de la cooccurrence syndrome respiratoire aigu sévère

 

  • L’Ontario continue d’accroître les mesures visant à endiguer la propagation dusyndrome respiratoire aigu sévère.
  • Le Québec est loin d’être prêt à faire face à une épidémie de grippe aviaire ou desyndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).
  • Les symptômes de ce « syndrome respiratoire aigu sévère « (SARS) — comme l’a dénommé l’OMS — ressemblent à ceux d’une grippe.
  • Tous deux sont membres du Réseau de collaboration multicentrique de l’OMS pour le diagnostic du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).
  • La panique suscitée en mars et avril 2003 par l’émergence, en Chine, du syndromerespiratoire aigu sévère (SRAS) n’a pas d’équivalent historique.
  • De fait, l’organisation se fonde notamment sur la récente épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) pour tirer les leçons des réussites, ainsi que des erreurs à ne pas commettre.
  • Cette synergie peut faire toute la différence quand les critères de temps deviennent cruciaux pour enrayer une épidémie, tel le syndrome respiratoire aigusévère, plus connu sous l’acronyme SRAS.

« actif durant toute la journée et même la nuit si la tempé­ rature est suffisamment éle­ vée.

De caractère plutôt sé­ dentaire, il règne sur un do­ maine de 100 à 500 hectares, dont il ne sort pas, mais dans lequel il se déplace beaucoup (4 ou 5 km par jour}, rega­ gnant son terrier toutes les nuits.

C'est un chasseur re­ doutable, qui se déplace très vite et capture ses proies à la course .

Il consomme de grands insectes (sauterelles}, des lé­ zards, des serpents (vipères à cornes}, des oiseaux, des pe­ tits mammifères et même ses propres congénères, s'ils sont de petite taille.

Malheureusement, cette es­ pèce de lézard est une des plus menacées .

Certains no ­ mades consomment les va­ rans , d'autres les empaillent pour les vendre aux touristes, ou vendent leur peau, utili­ sée en maroquinerie .

Vipères et Cobras D e nombreuses espèces de serpents peuplent aussi les déserts égyptiens .

Les plus remarquables et les plus dan­ gereux sont les cobras et les vipères.

Le cobra d'Égypte (Naja haje) est reconnaissable à son « capuchon » cervical.

Lorsqu'il est menacé, il se dresse, se met à siffler et dé­ ploie ce capuchon en écar­ tant ses côtes cervicales .

C'est le plus grand serpen t du nord de l'Afrique Uusqu'à 2,50 m) et l'un des plus venimeux du monde.

Son venin neurotoxi­ que provoque une paralysie progressive des centres ner­ veux, allant souvent jusqu'à l'asphyxie.

Néanmoins, le co­ bra attaque rarement l' hom­ me, même s'il n'en a pas peur et ne s'enfuit pas devant lui.

Son régime habituel se com­ pose de rongeurs, d'oiseaux, d'autres serpents et d'œufs .

En Égypte, on le trouve sur­ tout aux abords du Nil et dans le désert oriental.

Son cousin le cobra cracheur (Naja nigricollis) , qui projette son venin dans les yeux de ses victimes Uusqu 'à 2, 50 m de distance) vit dans le sud de l'Égypte, dans la région d'As­ souan, mais il s'aventure peu dans les zones les plus arides.

Parmi les autres grands ser­ pents des déserts égyptiens figurent les vipères .

La célèbre. »

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