Citations avec très, adverbe

« pour le compte de l'admin is­ tration royale.

Ces prospec ­ teurs ont un statut privilégié, en rapport avec l'importance de leur métier.

Lorsqu'ils ren­ trent à Coptes, ils ramènent de leurs voyages dans les montagnes du Ouadi Ham­ mamat des sacs en cuir, tenus au bout d'un b â ton, conte ­ nant les échantillons qu'ils vont présenter aux respon­ sables de l'administration .

Ce sont ces derniers qui pren­ nent la décision d'e xploiter ou non le site.

De plus, leur connaissance du terrain et des tribus de bédouins, dont U NOM DU SOUVERAIN rouvées sur les 1 montrent :le travaux s pour le an 38 du (//" dynastie, nu vers ce rres (bekhen) e et Basse- ; ..

.).

Je suis reparti en paix le quatrième mois de l'inondation avec quatre -vingts pierres tirées par deux mille, mille cinq cents et mille hommes».

Une autre nous fait part , toujours sous le règne de Sésostris P', d'une expédition très préparée où un chef des travaux se targue d'avoir ramené à son roi soixante sphinx et cent cinquante statues de « bekhe­ nou, à /'état de pierre », chacune étant tirée par un nombre incroyable d'hommes.

ils parlent les dialectes , facili ­ te les ex péditions et év i te souvent des affrontements meurtriers.

L'exploitation de la pierre de bekhen S i l' or du Ouadi H amma ­ mat, plus connu sous le nom « d'or de Copte s », est le minerai le plus prisé des Coptites, un autre minera i suscite également l eu r inté ­ rêt : le bekhen.

Ce minerai vert dont on sépare les vei ­ nes donne plusieurs qualités de pierre : un schiste gré seu x présentant des veine s rou ­ geâtres destiné à la cons­ truction des monuments ; une autre pierre plus cla ire et au grain plus f in très appré ­ ciée des Egyptiens à la Basse Époque ; enfin, une autre va ­ riété plus foncée, presque. »