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Dialogue Du Chapon Et De La Poularde. Voltaire

Publié le 15/09/2006

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voltaire

Voltaire, un des écrivains le plus célèbre du 18eme siècle, siècle des lumières écrit « dialogue du chapon et de la poularde « en 1763.il cherchait a blâmer les actes de l’hommes sans être censuré car a cette époque la censure était très présente. Puis sont deuxième objectif était de moraliser et par la suite de faire réaliser aux l’hommes leurs actions cruelles. Cet apologue, sous la forme d’un dialogue entre un chapon et une poularde à valeur démonstrative, met en scène deux poulets qui étalent au grand jour la sottise et l’absurdité du comportement des hommes
Dans un premier temps, on étudiera la perception de l’homme par les animaux, puis dans un deuxième temps le blâme de la religion et pour finir la morale de ce texte.
 
Pour débuter, les hommes sont décrits de différente manière mais de façons a blâmer leur espèce : par exemple « monstres « c’est une métaphore, « abominable «, « eternel ennemis « et « sanguinaire « .On trouve aussi le champs lexical de la cruauté pour définir leurs actes : « sang «, « chair «, « mort «, « crime «, « barbare «, « victimes «, « dévorent «, « abominable «, tous ces mots décrivent et donne une vision négative de l’homme. Les animaux par des hommes comme des être supérieurs, cruel mais de race animal. Elle ne fait pas de différence entre les animaux et les hommes « bipède comme nous «, ce qui rabaisse les hommes.
La vision de l’homme est encore négative quand les animaux les décrivent comme « abominable « car cela donne une vision de tueur et de monstres. Il rajoute par la suite que les hommes tus les espèces terrestre mais aussi marine lignes : :« cette loi…est très barbare ; elle ordonne que ces jours-là on mangera les habitants des eaux : ils vont chercher des victimes au fond des mers et des rivières «. Puis à la ligne 20 on décrit les actes que les hommes vont exercer sur les animaux pour pouvoir ce nourrir. : « c’est leur coutume : ils nous……finie pour jamais .«
Des figures de styles sont présentes aux lignes 80, 81,82 pour accentuer le problème avec les hommes. Les répétitions du mot « cent « ligne 80 exprime une anaphore pour donner encore un sens d’exagération.
« Ils ne se servent de la pensée que pour autoriser leurs injustices, « « et n’emploient les paroles que pour déguiser leurs pensées. « exprime encore une fois les cruels hommes et leurs intolérables actes de tricherie.
 
Un autre objectif des philosophes des lumières était la religion. En effet voltaire utilise ce dialogue pour blâmer et dévaloriser la religion. Pour commencez on observe la description paressant être religieux ligne 68 : « une espèce de grange« avec l’explication d’un prête et d’une messe : « un homme qui parlait devant d’autres hommes qui ne parlait point «. On comprend donc que la personne qui était en train de parler est un prêtre pourtant 2 personnes l’accompagnait mais ne disait pas un mot. Cela ressemble à un chef, avec le verbe « s’écriait «, donne des ordres à d’autres personnes, exécutant sans un mots les directions. « Qui ne parlait point «.Plus loin dans le texte on observe le mot « dieu « est repris plusieurs fois pour donner comme un espoir a la poularde de se sauver de ces monstres. Par exemple : « Dieu a fait un pacte avec nous et avec ces autres animaux appelés hommes «, « Dieu leur a défendu de se nourrir de notre sang et de notre chair «. Comme si la poularde essayait de prier et en même temps d’expliquer que les hommes n’ont pas suivi les lois et donc doivent être punis. Le champs lexical du sang ou de la mort nous rappel encore une fois le religion par rapport a la mort du christ et le vin a la messe qui représente le sang du christ : « veines «, « sang «, « mort « etc. durant le dialogue, il parle souvent « d’abbés, le divin, le grand homme «etc. pour parler encore une fois de dieu. Pour finir, pour encore critiquer les hommes la poularde poser une question sous la forme d’une question oratoire pour mieux faire réfléchir « n’est-ce pas un sacrilège de tuer et de dévorer des gens avec qui Dieu a fait un pacte ? « 
 Voltaire montre bien sa relation entre la religion et lui-même et donc son dégout pour elle. Donc dans ce dialogue il blâme la religion, les hommes mais aussi la société. C’est donc pour cela qu’il a crée une morale.
Ce dialogue ressemble fortement a une morale grâce au blâme et a certaines techniques pour persuader le lecteur. on observe tout d’abord les nombreux pronoms de première personne comme : « je «, « nous «, ce de deuxième personne « toi «, « te « et le « on « pour parler d’une généralité. Ce jeux de pronoms donne une sensation de dialogue entre l’écrivain et le lecteur. Puis les modalisateurs comme : (« nécessairement «, « ce serait «, « qui te parait «, « je ne crois pas «, « bien « exprime une opinion et des termes qui expriment l’opinion de voltaire ou du locuteur avec (« affreux «, « pis «, « barbare «, « ridicule «, « abominable «, « extravagante «, « sanguinaire « pour exprimer les aspects négatifs des hommes. Pour finir les marques d’exclamation fait ressentir chez le lecteur une sensation d’implication comme par exemple : « Que la gourmandise a d’affreux préjugés ! « avec le point d’exclamation ou aussi avec des questions indirectement poser par exemple : « Comment peuvent-ils ajouter à cette défense positive la permission de dévorer nos membres bouillis ou rôtis ? «, etc. comme si le lecteur devait lui-même se poser la question et donc réfléchir a ce sujet.
 
Pour conclure, ce dialogue entre un chapon et une poularde est un blâme de l’homme, la société et la religion. Voltaire exprime ses idées mais surtout les idées principales d’un philosophe des lumières comme la nouveauté et la religion. La fin de cette partie de texte nous laisse en attente de la conclusion et le destin de ces 2 animaux.

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