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Exposé Oral

Publié le 03/01/2013

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Valeria Terenzi Exposé Oral LM2 1° anno Les structures sociales de soutien a la maternité Bonjour à tout le monde. Aujourd'hui je suis ici pour vous donner des renseignements sur les structures sociale et services de soutien à la maternité en France en Italie, structures qui sont basées sur le même principe, mais qui offrent des services et tutelle différentes pour les mères françaises et italiennes. Nous analyserons quelles sont les structures et les politiques qui aident les mères pendant et après la naissance des fils et les services et les avantages que les mères italiennes et françaises peuvent en tirer. La reconnaissance du droit à la maternité pour les femmes qui travaillent remonte aux années 70 dans presque tous les pays européens, mais la situation de la femme qui travaille et décide d'aller en congé, n'est pas toujours la même, il y a des pays qu'on a développé beaucoup plus de service de soutien aux mères, c'est le cas de la France qui par rapport à l'Italie est plus avancée. Nous pouvons commencer tout d'abord en analysant la situation italienne. L'Italie est le pays plus anti-famille de l'Europe: les politiques de soutien et d'encouragement à la maternité sont presque inexistantes, tout cela se traduit en Italie avec des données sur le taux de natalité parmi les plus bas entre le pays européennes. Il n'y a pas des structures sociales, des facilités et des déductions, sans parler du fait que pour une femme qui a un contrat de travail à durée déterminée avoir un enfant signifie de perdre son emploi, sans possibilité de reprendre une fois terminé le congé de maternité. Cela conduit au fait que, souvent, pour nous femmes, le choix entre carrière et vie de famille devient mutuellement exclusif: la carrière sans enfants ou les enfants sans carrière. Ce n'est pas juste. Le seul compromis est inévitable, à laquelle nous sommes obligés d'avoir recours, consiste à renvoyer autant que possible la grossesse dans le temps, avec tous les risques et les difficultés que ce changement implique nécessairement. La maternité est, dans la pratique, à tous égards, un droi...

« Cela conduit au fait que, souvent , pour nous femmes , le choix entre carrière et vie de famille devient mutuellement exclusif : la carrière sans enfants ou les enfants sans carrière.

Ce n'est pas juste .

Le seul compromis est inévitable , à laquelle nous sommes obligés d'avoir recours , consiste à renvoyer autant que possible la grossesse dans le temps, avec tous les risques et les difficultés que ce changement implique nécessairement . La maternité est, dans la pratique, à tous égards, un droit que les femmes italiennes voient presque se refuser, il n’y a pas des structures de soutien pour les mères qui travaillent, les pouponnières sont rares et à paiement.

Les crèches publiques ont des listes d’attente très longues qui ne permettent pas l’accès direct est souvent les familles n’ont pas la possibilité d’accéder aux crèches privées, à cause de hauts frais.

Les données Istat, publiées récemment, montrent que seulement 12% des enfants avec moins de trois ans ont accès aux crèches publiques ( Istat 2012 ), Les données publiées sur le journal ‘Il sole 24 ore’ du 24 octobre 2010 confirment la situation que nous avons illustré jusqu’à ici, notre pays n’affecte que peu plus de 4% aux dépenses totales pour les politiques de protection sociale en faveur des familles rapport aux autres pays européens qui en affectent en moyenne plus de 8%, cela se traduit donc en pauvreté de services et structures sociales et bas taux de natalité.

Alors quel type d es politiques peuvent améliorer la situation des mères et des familles italiennes ? Il faut intervenir sur les politiques sociales en mesure d’assurer aux familles, indépendamment de leur conditions économiques et sociales, la capacité de concevoir, construire, élever des enfants avec des soins appropriés et des perspectives pour l’avenir, sans payer des frais excessifs.

Il est nécessaire d'intervenir à travers de politiques directes et indirectes, dont les effets ont un impact direct sur les mères et les enfants.

Il s'agit de : 2. »

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