Jean-François Millet en quelques dates

1814 Naissance de Jean-François Millet près de Cherbourg. 1833 Jean-François Millet entame des études de peinture à Cherbourg avec Mouchel et Langlois puis en 1837, grâce à une bourse minicipale, départ pour Paris et fréquentation de l'atelier de Paul Delaroche. 1843 Début de la période de réalisation des meilleurs portraits de Millet : Pauline Ono, Armand Ono, Deleuze, Antoinette Hébert, Officiers de Marine. 1845 Début de la métamorphose des sujets et du style de Millet. Admiration nouvelle pour Poussin et Michel-Ange et toujours pour Delacroix. Peu de commande de portraits durant la Révolution de Juillet. Principaux thèmes traités : Saint-Jérôme, Agar, Oedipe détaché de l'arbre ainsi que des nus et des tableaux de genre. 1850 Exposition au Salon du Semeur de Millet et notoriété immédiate ; envois au Salon et à l'Exposition universelle : le Repas des moissonneurs, les Glaneuses, la Mort et le bûcheron... 1860 Nouveau tournant dans la carrière de Millet : de plus en plus de paysages en partie grâce à son long compagnonnage avec Théodore Rousseau, chef de file avec lui de l'école de Barbizon. De cette période : L'Hiver aux corbeaux, Hameau cousin, l'Église de Gréville. De plus production dans les années 1860 de grands pastels. 1868 Consécration de Millet par la remise de la Légion d'honneur. Période de la guerre franco-prussienne passée à Cherbourg et réalisation de très beaux paysages. Retour ensuite à Barbizon et réalisation de paysages d'un violent lyrisme : Coup de vent, Chasse aux oiseaux, L'Eté, l'Automne, l'Hiver, les bûcheronnes. 1875 Mort de Jean-François Millet à Barbizon.