La lutte contre les catastrophes dans le Tiers monde

On peut difficilement freiner la cruauté systématique de certains gouvernements, ainsi que de certains individus pris séparément. Il existe des lois nationales et des traités internationaux. Ils ne sont pas toujours appliqués à temps. Nos possibilités sont également très limitées vis-à-vis des catastrophes naturelles. Cependant, malgré notre impuissance, il existe toujours la possibilité de limiter le nombre des victimes. Les pays industrialisés, tant à l'ouest qu'à l'est, possèdent leurs propres organisations de secours pour agir immédiatement en cas de désastre. Lorsque les typhons ravagent la côte de Floride, ou lorsqu'un tremblement de terre détruit le centre de Bucarest, les secours arrivent immédiatement et la reconstruction commence rapidement après les événements. Ce n'est pas le cas dans ce que l'on appelle le Tiers monde, où se produisent, malheureusement, les catastrophes naturelles les plus importantes. Lors de pareilles détresses, les pays en voie de développement ont besoin de notre aide. Il a été constaté dans le passé que cette aide arrive souvent trop tard. Dans les cas semblables, existe-t-il un moyen d'aider le Tiers monde, mieux et plus rapidement?