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Le terme "Hardy" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 10/07/2010

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hardy

Correspondance, année 1629, Au R. P. MERSENNE, 20 novembre 1629.

et je m’assure, que vous donniez à Monsieur Hardy un bon dictionnaire en chinois, ou en quelque autre langue que ce soit, et un livre écrit en la même langue, il entreprendra d’en tirer le sens.

  Correspondance, année 1638, AU R. P. MERSENNE, 27 mai 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 17 mai 1638).

Comme j’étais prêt à fermer cette lettre, j’ai reçu votre dernière du 10 mai, et, pour réponse, j’ai écrit à Monsieur de Zuytlichem touchant l’affaire de Monsieur Hardy, et sitôt que j’en aurai réponse je lui manderai.

  Correspondance, année 1638, Au R. P. MERSENNE, 8 octobre 1638. (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 11 octobre 1638).

La corde IFK, dont je parle à la fin de mon écrit de statique, ne se doit point replier au milieu, comme vous mandez que tient Monsieur Hardy, si ce n’est lorsque ses deux bouts s’entretouchent.

  Correspondance, année 1638, AU R. P. MERSENNE, 24 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 1er mars 1638).

Je viens à votre dernière que je n’ai reçue qu’aujourd’hui, et il est minuit, car depuis l’avoir reçue j’ai écrit à Monsieur Mydorge, à Monsieur Hardy, et la réponse à la dernière de Monsieur de Fermat.

  Correspondance, année 1638, A MONSIEUR ***, 25 Août 1638.

et parce que toutes les muses de France auront part à la faveur que vous m’avez faite, d’intercéder pour elles envers celles de Leyde, touchant les livres arabes que Monsieur Hardy désire voir, je leur veux laisser le soin des paroles pour vous en rendre grâces, et me contenter de ressentir en effet que c’est moi qui vous en ai l’obligation.

  Correspondance, année 1639, Au R. P. MERSENNE, 20 février 1639.

et puisque vous lui avez fait voir toute notre dispute de Monsieur Fermat et de moi, touchant sa règle pour les tangentes, je serais bien aise qu’il vît aussi ce que j’en ai une fois écrit à Monsieur Hardy, où j’ai mis la démonstration de cette règle, laquelle Monsieur Fermat n’a jamais donnée, quoiqu’il l’eût promise, et que nous l’en ayons assez pressé, vous et moi.

Vous en aurez aisément une copie de Monsieur Hardy, et je serai bien aise que Monsieur de Beaune juge par là, qui c’est qui a le plus contribué à l’invention de cette règle.

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