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L'invention du paysage dans le romantisme

Publié le 12/06/2015

Extrait du document

L'invention du paysage

 

Caspar David Friedrich, Paysage de la Suisse saxonne,

près de Dresde (1823)

Francisco de Goya, Les Caprices (I) (1799)

4 Jean-Jacques Rousseau, Julie ou La Nouvelle Héloïse (1761)

4 François-René de Chateaubriand, René (1802)

s Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788)

Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée (1835)

· William Blake, «Chanson de folie« (1789) Gérard de Nerval, Aurélia (1855)

LE PROJET PÉDAGOGIQUE

Intérêt du projet

Parce que son étude ne nécessite ni savoirs spécifiques, ni connais¬sance extensive des oeuvres, le paysage permet l'appropriation rapide (mais non superficielle) du fait littéraire.

Choix du corpus

Le corpus présente une évolution de près d'un siècle, qui va du paysage — miroir de l'âme — au paysage mental, en passant par divers types de correspondances affectives ou spirituelles. Dans l'optique

 

d'une séquence de début d'année, ce corpus permet la consolidation des acquis du collège et l'acquisition des bases nécessaires à l'étude en ire du « biographique « et de « l'épistolaire «.

Objectif de la séquence

La perspective dominante de la séquence est l'histoire littéraire, mais d'autres perspectives complémentaires se superposent à la pre¬mière : celles des genres et des motifs thématiques.

Organisation de ta séquence

On pourrait partir du résultat d'une recherche de « paysages « (cartes postales, photos, reproductions de tableaux) sans restriction d'époque. On sélectionnera les images correspondant à la définition du lexique (cf p. 174 du livre élève) et on retiendra les images ne comportant que des éléments naturels. L'étude du corpus peut alors commencer.

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