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[Perspective historique de la croissance de la Chine]

Publié le 15/09/2012

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  1. Introduction Dans ce travail, nous décrirons la croissance de la Chine passée, et sur cette base nous tenterons de définir ce que sera sa croissance future, ou du moins les évènements considérés comme les plus probables à venir. Nous regarderons si il est possible d'attribuer à la croissance de la Chine un modèle, le modèle de Solow, et nous sortirons de ce modèle théorique pour constater ses limites dans l'interprétation réelle de la croissance. Dans un premier temps, nous mettrons en avant les points importants relatifs à l'économie chinoise nécessaires pour notre analyse, et d'une manière générale la position économique de la Chine dans le monde. Puis, dans un second temps, nous préciserons les facteurs importants liés à la croissance de la Chine et leurs importances au niveau économique, et essaierons de faire correspondre ces facteurs au modèle de Solow.   2. Mise en perspective du sujet Dans cette première partie, nous mettrons en avant les points importants relatifs à l'économie chinoise nécessaires pour notre analyse, et d'une manière générale la position économique de la Chine dans le monde. Tout d'abord, il est nécessaire de définir ce qu'est la croissance économique. La croissance économique est, selon François Perroux[1], économiste français du 20e siècle, « l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues, d’un indicateur de dimension : pour une nation, le produit global net en termes réels; la croissance a un caractère durable, elle s’oppose aux phases d’expansion, récession
ou dépression qui sont plus conjoncturelles et de durée plus limitée[2] «.  La croissance est donc un phénomène de long terme. C'est pourquoi nous étudierons dans ce travail la croissance économique de la Chine sur les quarante dernières années, pour mieux cerner son schéma global. Ensuite, pour mieux analyser la croissance en Chine, il est important de prendre connaissance très brièvement de son histoire économique. La Chine était au départ un empire-monde, avec un état très centralisé, allié à une classe dominante aristocratique. Il existait une structure d'obéissance traditionnelle, de reconnaissance envers l'état qui représentait un symbole fort, et qui a permis à la Chine de développer sa base industrielle[3]. La Chine va rester très fermée au reste du monde jusqu'au 19ème siècle, durant lequel des sociétés européennes, américaines et japonaises vont commencer à s'implanter, principalement dans le sud-est à Shanghai et Hong-Kong. Après la seconde guerre mondiale, à partir de 1949, la Chine se ferme totalement aux investisseurs étrangers et continue son développement en autarcie[4]. Enfin, depuis 1980, l'économie chinoise s'est ré-ouverte aux investisseurs étrangers et a axé son développement principalement sur l'exportation de biens manufacturés à faible intensité capitalistique, tels que le textile ou l'électronique bas de gamme. Cependant on observe une remontée des filières technologiques et la Chine est de plus en plus à même de produire des biens requérants une technologie supérieure, comme l'industrie automobile, et cette remontée devrait se prolonger dans les années
à venir[5]. Aujourd'hui, la Chine est la deuxième puissance économique mondiale en terme de PIB, derrière les Etats-Unis[6]. Cette position est a nuancer car il faut noter que le PIB n'indique pas la répartition de la richesse à l'intérieur du pays, et la majeure partie de la population chinoise garde un pouvoir d'achat peu élevé, la Chine se classant seulement 126ème si on regarde les chiffres du PIB en parité de pouvoir d'achat (PPA)[7], avec en moyenne 7.400 $ par habitant et par an. En comparaison, les Etats-Unis ont un PIB PPA par habitant moyen de 47.400 $, ce qui est plus de six fois supérieur, alors que ces deux puissances ne sont séparées que d'une place au classement du PIB au taux de change. Nous pouvons maintenant nous intéresser plus précisément aux facteurs liés à la croissance de l'économie chinoise de ces quarante dernières années dans la partie suivante.   3. Analyse technique Dans cette seconde partie, nous préciserons deux facteurs importants liés à la croissance de la Chine, le travail et le capital, ainsi que leurs importances au niveau économique, et essaierons de faire correspondre ces facteurs au modèle de Solow. Puis nous sortirons du cadre du modèle théorique pour expliquer en quoi ce modèle reste une idée très simplifiée de la réalité. Avant toute chose, introduisons le modèle de Solow. Robert Solow est un économiste américain né le 23 août 1924 et auquel fut décerné le prix Nobel d’économie en 1987[8]. Dans ce modèle optimiste, le fonctionnement de l’économie est résumé par une fonction de production. Il y a deux facteurs : le travail
et le capital. L’économie est par hypothèse fermée, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de contact avec d’autres pays, donc pas d’importations ni d’exportations. Le travail, la technologie et le taux d’épargne sont considéré comme constants, et la productivité marginale des deux facteurs (travail et capital) est positive. Les rendements factoriels sont décroissants, ce qui signifie que plus on a de facteurs, moins la production augmente rapidement pour une même augmentation de capital. Ce modèle montre que plus le capital de départ est faible, plus la croissance économique est rapide. Ceci est dû au fait que les rendements factoriels sont « moins décroissants « quand le capital de départ est plus faible. Il y a donc un phénomène de rattrapage des régions en voie de développement car leur croissance est plus rapide. Les pays convergent vers un état stationnaire où la croissance est nulle. Nous pouvons désormais analyser les deux facteurs principaux du modèle de Solow plus précisément. Nous commencerons par le travail. La Chine est le pays qui possède la population la plus importante au monde, avec environ 1.336 milliard d'habitants[9], soit approximativement un cinquième de la population mondiale. Un premier facteur important auquel on peut penser devant ce chiffre est la force de travail chinoise. En effet, étant donné que la Chine possède la population la plus importante au monde, on peut se demander si cela lui confère un avantage par rapport aux autres pays au niveau de sa croissance. Analysons d'abord l'aspect quantitatif. La part de la population qui nous intéresse ici pour
notre analyse est la population active, c'est-à-dire la population employée et la population à la recherche d'un emplois. Pour qu'une forte population soit un avantage à la croissance, il faut que la part de la population active soit importante. C'est effectivement le cas en Chine. En 2000, elle représentait   environ 58,38% de la population totale[10]. En comparaison, la population active en Belgique représente 48,27% de la population[11]. Cependant, la Chine risque de perdre cet avantage d'ici quelques années, car on assiste à un vieillissement important de la population. En effet une population active conséquente confère un avantage sur le plan économique, mais l'effet va très certainement s'inverser dans le cas de la Chine, car maintenant que la population va commencer à vieillir, non seulement la population active va diminuer, mais elle devra de plus supporter une population vieillissante[12]. D'ici à 2050, la population chinoise âgées de 60 ans ou plus aura triplé et les seniors représenterons alors plus de 440 millions de personnes[13]. Ceci implique des dépenses importantes pour les retraites et les soins de santé qui devront se faire aux dépends d'investissements dans l'industrie, pouvant alors ralentir la croissance. L'importante population qui a été jusqu'à aujourd'hui un avantage pour la croissance économique chinoise risque bien d'avoir un effet pervers   entrainant une diminution de la population active, causant alors un ralentissement de la croissance. On estime que la population active chinoise aura diminué de 17% en 2050 par rapport à 2000[14]. Il faut cependant
nuancer cette forte population active en Chine. Comme énoncé plus haut, la population active comprend les personnes employées et les chômeurs. Dans le cas de la Chine, le taux de chômage s'élevait en septembre 2010 à 22% de la population active[15]. En comparaison, le taux de chômage en Belgique était de 8,5% en 2010[16]. Si on regarde la population strictement employée, on obtient alors 39,77% d'employés en Belgique contre 36,38 % d'employés en Chine. La Chine emploie donc une partie plus faible de sa population, mais la population totale restant la plus importante au monde, elle conserve un avantage à ce niveau. Nous avons analysé l'aspect quantitatif de la force de travail chinoise. Il faut maintenant analyser l'aspect qualitatif. Une population active importante ne suffit pas, encore faut-il qu'elle soit qualifiée. Deux pays ayant une population employée similaire pourront toujours se différencier au niveau de la qualité de leur main d'œuvre. Elle dépend principalement du niveau d'enseignement. La qualité de la main d'œuvre est de plus en plus importante pour se distinguer dans la concurrence entre des pays à niveau technologique similaires. C'est le cas des pays d'Europe occidentale, mais ce n'est pas le cas de la Chine, ou du moins pas encore. En effet, la majeure partie de la force de travail chinoise est peu qualifiée. L'économie chinoise est principalement basée sur la production et l'exportation de produits industriels bas de gamme dans des secteurs tel quel l'électronique ou le textile. Cette spécialisation dans ces secteurs est due au rapide développement de l'industrie
chinoise, qui n'a pas laissé le temps au développement social et qualitatif de suivre. Cela signifie que les salaires sont restés à des niveau très bas faute d'une réelle lutte sociale. Ceci est surtout dû au fait que l'Etat chinois est resté fort et exerce un contrôle strict des syndicats. Il n'existe qu'un seul syndicat officiellement reconnu en Chine, qui est de plus affilié aux pouvoirs économiques et politiques[17]. Par conséquent, les travailleurs ne peuvent réellement revendiquer leurs droits, et sont bien souvent soumis à des horaires de travail qui ne pourraient se faire en Europe. Comme elle est spécialisée dans les secteurs industriels bas de gamme, qui ne nécessitent pas une maîtrise technologique, la production chinoise peut se contenter de fabriquer et d'assembler des pièces conçues dans les centres de commandement mondiaux situés dans les pays du centre. Il en a résulté de ce faible développement social que la Chine est devenu "l'atelier du monde", où beaucoup de firme de pays du centre économique mondial (comme des pays d'Europe occidentale ou les Etats-Unis) délocalisent leur production. Cependant si la Chine veut poursuivre une croissance soutenue à l'avenir, elle sera obligée de remonter les filières technologiques et devra donc pour cela améliorer la part de main d'œuvre qualifiée au sein de la population totale, ainsi que la hauteur moyenne de qualification des travailleurs. Retenons donc deux éléments importants dans le facteur travail: la Chine va devoir faire face à une diminution de sa population active, et le niveau de qualification de sa
main d'œuvre va devoir augmenter. Dans les deux cas, le développement de sa structure sociale sera déterminant pour pouvoir poursuivre la croissance. Analysons ce que dit le modèle de Solow concernant le travail. Quantitativement d'abord, selon le modèle, le taux de croissance de la main d'œuvre n'influence pas l'économie. Si cela est vrai à court terme, il en va différemment si on regarde à long terme. En effet nous avons vu que la population chinoise est entrain de connaître un vieillissement accéléré et que la population active est entrain de diminuer. Nous pourrions alors nous attendre à un ralentissement de la croissance comme première conséquence de la diminution de la population active. Comme une part moins importante de la population sera employée, le facteur travail risque d'avoir une influence plus faible dans le processus de croissance. Cependant, on est en droit de se demander si la diminution de la population active sera un réel frein à la croissance chinoise. Si l'on prend l'exemple du Japon, qui est le pays à la plus forte part de population âgée de plus de 65 ans au monde (22,9% de la population[18]), ce pays se classait pourtant en troisième position des économies mondiales en terme de PIB[19] en 2010. La différence est que le Japon est avant tout une économie tertiaire plus que secondaire au contraire de la Chine, la croissance chinoise devrait donc souffrir de cette baisse de la population active. Qualitativement, si la main d'œuvre chinoise est de plus en plus qualifiée grâce notamment à des investissements plus poussés de la part de l'Etat dans l'éducation,
cela pourrait compenser la diminution de la population active, mais cela reste peu probable car il faudrait des développements énormes à ce niveau. Analysons maintenant l'autre facteur essentiel du modèle de Solow: le capital. Ce facteur est essentiel à la croissance. Pour croître, une économie doit accumuler du capital, et cette accumulation provient avant tout des investissements. Comme expliqué plus haut, la Chine est une économie basée sur l'exportation. Il faut donc se demander si, dans les secteurs de l'électronique et du textile principalement, les investissements sont d'abord utiles à la croissance, et également suffisamment important pour générer des bénéfices qui seront ensuite réinvestis et qui génèreront une croissance économique. Qualitativement, les investissements doivent être placés dans les secteurs où ils rapportent le plus, c'est-à-dire dans les secteurs où l'effet multiplicateur sera le plus fort possible, permettant ainsi de générer d'importants profits, qui pourront ensuite être réinvestis pour générer de la croissance. Les secteurs où ces investissements peuvent générer le plus de profits en Chine sont les secteurs de l'industrie de haute technologie. Géographiquement, cela signifie des investissements dans les zones urbaines, où il existe un important marché de consommation et des réseaux d'entreprises. Effectivement, il ne sera pas rentable de développer une croissance sur une industrie d'assemblage comme c'est le cas actuellement, car la Chine atteindrait un stade où il ne lui serait plus possible de croître car elle serait dans une situation
de dépendance aux pays technologiquement plus avancés (c'est le cas actuellement). Le développement technologique est donc obligatoire pour poursuivre la croissance: la Chine doit posséder le contrôle technologique. Les échanges chinois dans les industries de haute technologie n'ont cessés d'augmenter ces dernières années[20], et il en va de même pour la compétitivité commerciale chinoise dans les produits de haute technologie[21]. La Chine semble donc bien partie pour une croissance basée sur une production plus technologique. Pour aider à son développement technologique, elle fait appel à des investisseurs étrangers pour prendre part d'une partie du capital de sociétés chinoises, et pour construire des centres de recherche et développement[22]. Un problème d'ordre social risque cependant de se poser. Comme la majeure partie des investissements se font dans les endroits où les effets multiplicateurs sont les plus forts, c'est-à-dire dans les centres urbains, les régions rurales, qui comptent pas moins de 53% de la population chinoise[23], ne vont pas pouvoir se développer. Il risque alors d'apparaitre des tensions sociales. On en revient donc au fait que la structure sociale de la chine devra indéniablement se développer pour poursuivre la croissance économique. Des aides publiques seront nécessaires pour les parties rurales de la Chine, mais elles ne seront surement pas suffisantes pour compenser les écarts de développement entre le monde rural et le monde urbain chinois, et on assistera donc à une croissance des inégalités. Du côté qualitatif, la Chine semble bien partie pour
continuer sa croissance économique. Quantitativement, les investissement doivent être fort pour que l'accumulation de capital se fasse rapidement, et que la croissance suive. On constate que les investissements directs étrangers (IDE) prennent ont un rôle très important dans la croissance de l'économie chinoise[24]. En effet il représentaient en 2006 10% de la valeur totale mondiale des IDE et se faisaient principalement dans la manufacture, plutôt que dans le tertiaire[25]. De plus, les dépenses des entreprises ayant un rapport à la technologie n'ont cessé de croitre ces dernières années[26]. Du côté quantitatif, la Chine est également bien placée pour poursuivre une croissance soutenue. Analysons maintenant ce que dit le modèle de Solow concernant le capital. Selon Solow, le capital est le facteur le plus important pour la croissance. C'est l'accumulation de capital grâce aux investissements qui permet à une économie de croître. Effectivement, après notre analyse, on peut affirmer que les investissements permettent à la Chine une croissance économique, car ils permettent un développement de la technologie et de l'industrie. Cependant, dans la réalité, la Chine n'est pas une économie fermée, on sort donc du cadre du modèle. On peut donc adresser certaines critiques au modèle de Solow. Tout d’abord, une hypothèse du modèle est que l’économie est fermée, ce qui a deux implications. Dans un premier temps, Solow suppose qu'il ne peut arriver dans le pays en question du capital étranger, et dans un second temps qu'il n'existe pas de commerce international. Ceci n’existe
pas dans la réalité, car il est évident qu'il existe des flux importants d'investissements en provenance de pays étrangers. Pour la Chine, cela signifierait une croissance bien moindre car la majeure partie des investissements viennent de l'étranger. De plus, il existe un commerce international, et selon la théorie des avantage comparatifs de David Ricardo, il est même plus rentable pour un pays de se spécialiser dans ce qu’il peut produire plus facilement et d’échanger ce produit contre d’autres bien qu’il ne peut produire, ou pour lesquels il est moins efficace dans la production. Dans notre cas, la Chine étant un pays qui a basé sa croissance sur l'exportation, il est peut probable qu'elle ait pu croître sans pouvoir exporter sa production. Une autre hypothèse de ce modèle est que la technologie est constante dans le temps. De nos jours, les pays développé consacrent une part importante de leur investissement dans la recherche et le développement. C'est le cas pour la Chine, comme nous l'avons vu plus haut, une part de plus en plus importante de son industrie monte en gamme technologique. Le nombre de travailleurs sur le marché varie constamment, et le taux d’épargne qui est considéré comme constant est différent selon la classe sociale, les personnes moins aisées n’épargnent pas la même quantité de leurs revenus que les personnes plus aisées, car elles ont une propension marginale à consommer supérieure. Il faut donc bien garder à l’esprit que ceci n’est qu’un modèle qui aide à comprendre certain mécanismes mais n’est en aucun cas une représentation fidèle de la réalité.
  4. Conclusion Nous avons analysé dans ce travail les deux facteurs importants du modèle de Solow, à savoir le travail et le capital. Nous avons vu que pour le facteur travail, la Chine va devoir faire face à une diminution de sa population active, et le niveau de qualification de sa main d'œuvre va devoir augmenter si elle veut poursuivre sa croissance. Il faudra donc une amélioration qualitative importante pour compenser la diminution quantitative qui va se produire dans les prochaines décennies. En ce qui concerne le facteur capital, la Chine devra augmenter la qualité de son industrie pour grimper les gammes technologiques, ce qui devra se faire par l'afflux d'investissement étranger, le capital chinois étant à lui seul insuffisant pour pouvoir tirer l'industrie chinoise vers la haute technologie. Le développement et la croissance engendrée seront bien évidemment fonction de la quantité de ces afflux de capitaux étrangers. Le gouvernement chinois l'a déjà compris, et incite par le biais d'avantages fiscaux les investisseurs étrangers à placer leur capital en Chine. Finalement, on peut dire le modèle de Solow est une représentation simplifiée du schéma de croissance des pays, car elle dépend de bien d'autres facteurs tels que le commerce extérieur et les capitaux étrangers, surtout dans le cas de la Chine qui a choisi de baser son développement sur le marché mondial des exportations.   5. Bibliographie         a. Livres : MEON, Pierre-Guillaume ; Introduction à la macroéconomie ; Syllabus de cours ; Presses Universitaires de Bruxelles OCDE ; "La Chine dans
l'économie mondiale: les enjeux de politique économique intérieure", pages 309-311. [Note à propos de cette source: l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) est une organisation qui travaille avec les gouvernements afin de comprendre quel est le moteur du changement économique, social et environnemental de manière à améliorer le bien-être économique et social.] VANDERMOTTEN, Christian, MARISSAL, Pierre et VAN HAMME, Gilles ; "La production des espaces économiques: la formation du système monde", tome 1, page 356. [Note à propos de cette source: Christian Vandermotten, docteur en géographie et licencié en urbanisme, est professeur honoraire à l’Université libre de Bruxelles. Pierre Marissal et Gilles Van Hamme sont chercheurs à l'Institut de Gestion de l'Environnement et d'Aménagement du Territoire (IGEAT).]         b. Articles scientifiques : ATTANE, Isabelle ; "Quand la démographie fait l'économie: la Chine au pied du mur" ; Géopolitique ; trimestriel novembre 2010 ; p 25. [Note à propos de cette source: Géopolitique est la revue officielle de l'Institut International de Géopolitique. Isabelle Attané est démographe et sinologue à l'Institut national des études démographiques, Paris.] PONCET, Sandra ; "Les investissements directs en Chine" ; http://team.univ-paris1.fr [Note à propos de cette source: Sandra Poncet est professeure en science économique à l'université Paris 11, et également chargé de recherche au CEPII, le principal centre français d'étude et de recherche en économie internationale.]         c. Articles de journaux
et sites Internet : Chine Nouvelle ; "La Chine encourage les investissements étrangers dans ses industries de haute technologie" ; 5/03/2011 ; www.chine-informations.com ; consulté le 15/05/2011 [Note à propos de cette source : Chine Nouvelle est l'agence officielle du gouvernement de la République populaire de Chine, et l'une des deux agences de presse de ce pays.] CIA ; "The World Factbook" ; consulté le 15/05/2011     • "GDP (official exchange rate)"   ; www.cia.gov     • "Country comparison: GDP (purchasing power parity)" ; www.cia.gov     • "Country comparison: population" ; www.cia.gov     • Belgium ; "Unemployment rate" ; www.cia.gov     • Japan ; "Age structure: 65 years and over" ; www.cia.gov     • "GDP (official exchange rate)" ; www.cia.gov     • China ; "Urbanization: urban population" ; www.cia.gov [Note à propos de cette source : www.cia.gov est le site officiel de l'agence centrale de renseignement des États-Unis. Il regroupe de nombreuses informations précises sur tous les pays du monde.] "Croissance et développement" ; http://supercdi.free.fr/ ; consulté le 15/05/2011[Note à propos de cette source : http://supercdi.free.fr/   est un site de soutient scolaire comprenant de nombreux documents.] GUIVELLIC Benoît ; "En Chine, le syndicat officiel bientôt (un peu plus) indépendant" ; 23/08/2010 ; http://chine.aujourdhuilemonde.com ; consulté le 15/05/2011 [Note à propos de cette source : Benoît Guivellic est journaliste à "Aujourd'hui la Chine", site d'informations sur l'actualité culturelle, sociale et économique chinoise.] Le Point
; "Chômage de masse en Chine: 22% de la population active sans emploi" ; 10/09/2010 ; www.lepoint.fr ; consulté le 15/05/2011 [Note à propos de cette source : www.lepoint.fr est le site du journal LePoint, journal d'actualité politique et économique en France et dans le monde.] The Nobel Foundation ; "Robert M. Solow - Autobiography" ; Nobelprize.org ; consulté le 15/05/2011[Note à propos de cette source :   Nobelprize.org est le site officiel de la fondation Nobel, notamment connue pour attribuer des prix aux chercheurs jugés comme les plus productifs dans leur secteur.] Wikipédia ; François Perroux ; http://fr.wikipedia.org ; consulté le 15/05/2011 [Note à propos de cette source : Wikipédia est une encyclopédie gratuite comprenant de nombreux articles sur des sujets variés créés et édités par des contributeurs anonymes.] Annexe 1 : Les échanges chinois dans les industries de haute technologie (en milliards de dollars américains): Source : Bureau national des statistiques et ministère de la Science et de la Technologie (éd.), China Statistical Yearbook on Science and Technology 2003, Pékin, China Statistics Press, 2003. Annexe 2 : Evolution de la population chinoise par grands groupes d'âges (en %) et âge médian, 1950-2050: Source: Géopolitique, revue de l'Institut International de Géopolitique, trimestriel novembre 2010, p. 24. Annexe 3 : Compétitivité commerciale chinoise dans les produits de haute technologie: Sources : Bureau national des statistiques et ministère de la Science et de la Technologie (éd.), China Statistical Yearbook on Science
and Technology 2003, op. cit., et National Science Board, Science and Engineering Indicators 2002, Arlington, VA, National Science Foundation, 2002. Annexe 4 : Flux d'IDE vers la Chine: 1983-2006: Source: China Statistical Yearbook (2006) Annexe 5 : Les dépenses des entreprises chinoises afférentes à la technologie (en centaine de millions de yuan): Source : Bureau national des statistiques et ministère de la Science et de la Technologie (éd.), China Statistical Yearbook on Science and Technology, Pékin, China Statistics Press, différentes années. ----------------------- [1] Wikipédia ; François Perroux ; http://fr.wikipedia.org [2] "Croissance et développement" ; http://supercdi.free.fr/ [3] VANDERMOTTEN, Christian, MARISSAL, Pierre et VAN HAMME, Gilles ; "La production des espaces économiques: la formation du système monde", tome 1, page 356. [4] OCDE ; "La Chine dans l'économie mondiale: les enjeux de politique économique intérieure", pages 309-311. [5] Voir annexe 1: Les échanges chinois dans les industries de haute technologie. [6] CIA ; "The World Factbook": "GDP (official exchange rate)"   ; www.cia.gov [7] CIA ; "The World Factbook" ; "Country comparison: GDP (purchasing power parity)" ; www.cia.gov [8] The Nobel Foundation ; "Robert M. Solow - Autobiography" ; Nobelprize.org [9] CIA ; "The World Factbook": "Country comparison: population" ; www.cia.gov [10] Chiffres calculés sur base de données recueillies sur: CIA ; "The World Factbook": China ; www.cia.gov [11] Chiffres calculés sur base de données
recueillies sur: CIA ; "The World Factbook": Belgium ; www.cia.gov [12] Voir annexe 2: Evolution de la population chinoise par grand groupe d'âges et âge médian. [13] ATTANE, Isabelle ; "Quand la démographie fait l'économie: la Chine au pied du mur" ; Géopolitique ; trimestriel novembre 2010 ; p 25. [14] ATTANE, Isabelle ; "Quand la démographie fait l'économie: la Chine au pied du mur" ; Géopolitique ; trimestriel novembre 2010 ; p 25. [15] Le Point ; "Chômage de masse en Chine: 22% de la population active sans emploi" ; 10/09/2010 ; www.lepoint.fr [16] CIA ; "The World Factbook": Belgium ; "Unemployment rate" ; www.cia.gov [17] GUIVELLIC Benoît ; "En Chine, le syndicat officiel bientôt (un peu plus) indépendant" ; 23/08/2010 ; http://chine.aujourdhuilemonde.com [18] CIA ; "The World Factbook": Japan ; "Age structure: 65 years and over" ; www.cia.gov [19] CIA ; "The World Factbook": "GDP (official exchange rate)" ; www.cia.gov [20] Voir annexe 1: Les échanges chinois dans les industries de haute technologie. [21] Voir annexe 3: Compétitivité commerciale chinoise dans les produits de haute technologie. [22] Chine Nouvelle ; "La Chine encourage les investissements étrangers dans ses industries de haute technologie" ; 5/03/2011 ; www.chine-informations.com [23] CIA ; "The World Factbook": China ; "Urbanization: urban population" ; www.cia.gov [24] Voir annexe 4: Flux d'IDE vers la Chine: 1983-2006 [25] PONCET, Sandra ; "Les investissements directs en Chine" ; http://team.univ-paris1.fr [26] Voir annexe 5: Les dépenses des entreprises chinoises afférentes à la technolog

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