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SKI : Matériel et technique

Publié le 04/11/2011

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De même, la technique d'utilisation des skis a été modifiée presque du tout au tout depuis son introduction dans les Alpes et son utilisation comme moyen de descente de plus en plus rapide et de plus en plus manoeuvrier. Les querelles entre différentes « écoles « ne sont pas près de s'éteindre, mais sauf quelques exception comme moyen de descente de plus en plus ne peuvent guère passionner que les initiés.

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« BOIS 1 Dessus plastique 2 Renfort azobé 3 Arête supérieure 4 Frêne sélectionné 5 Champ plastifié 6 Carre en acier supérieur 7 Semelle en Cipski 13f10• BSR 1 Protections phénolite 2 Arête su périe ure 3 Ame en bois sélectionné de 14 pièces 4 Fibre de verre stratifiée avec des résines Epoxy 5 Carre cachée d'une seule longueur 6 Semelle en Polyéthylène de 22/10• Coupe de Skie.

Les skis bois et métal Les skis bois, encore très nombreux, sont faits en « contre-collé », c'est-à-dire avec des baguet­ tes de diverses essences assemblées et collées à contre-fil, ce qui leur donne à la fois plus de solidité et de durée.

Inventés dans les années 1940,.ils restent les moins chers, et les meilleurs d'entre eux conviennent encore à une grande quantité de skieurs, sauf sur les pentes glacées.

La technique du contre-collé est d'ailleurs encore employée pour le noyau de nombreux skis « sandwichs » vendus sous le nom de skis métalliques ou skis plastiques.

Les premiers skis métalliques sont apparus dès 1935, mais ils ont mis longtemps à s'imposer.

C'est la résistance et la durée de vie du métal (un alliage d'aluminium de qualité aviation) qui a donné l'idée de l'utiliser à la place du bois.

De plus, la possibilité de fabriquer des skis minces, virant plus facilement en neige pro­ fonde, très rigides en torsion, a été à l'origine des premiers succ ès des skis métalliques.

La grande gloire de ces skis date de Squaw Valley (Etats-Unis), où eurent lieu les Jeux Olympiques de 1960, lorsque Jean Vuarnet rem­ porta la victoire, équipé de skis métalliques .

Pourtant la firme américaine Head en fabriquait d'excellents depuis dix ans.

A quelques exceptions près, en forme de pou­ tre creuse, qui n'ont pas fait la preuve de leur supériorité, les skis métalliques modernes sont, soit des « sandwichs », soit des combinés mé­ tallo-plastiques.

Depuis qu'on a, pour amélio­ rer les collages et amortir les vibrations aux grandes vitesses, ajouté des bandes de néoprène ou de caoutchouc sous le métal, les skis métal­ liques ont atteint le maximum de leurs qualités.

Les skis • plastiques • Les skis plastiques connaissent la grande gloire depuis 1968, avec les Jeux Olympiques de Grenoble.

C'est sur des skis « plastiques » Coupe d'un ekl entièrement plaetlque partiel profilées pressées en flbree de verre époxl, conetructlon en und­ wich, couchee porteuaee supérieure et Inférieure en verre synthétique, enveloppe de plutlque.

(Blizzard).

que Killy a gagné ses trois médailles d'or.

En fait, ce terme banal n'est pas bon, et il vaudrait mieux désigner ces skis sous le nom de « stra­ tifié-fibre de verre », le stratifié étant le résultat de la polymérisation d'une résine, polyester ou, de plus en plus fréquemment, époxy, enrobant de la fibre de verre.

Les vertus de ce stratifié sont : la légèreté, la souplesse, l'élasticité (voir les cannes à pêche ou les perches de saut), et par conséquent la résistance à la casse, la nervosité.

Un ski « verre­ résine » vibre moins, aux grandes vitesses et sur terrain accidenté, qu'un ski métallique.

En outre, la technique des plastiques a fait.

au cours des vingt dernières années des progrès convaincants, et elle s'adapte particulièrement à la fabrication industrielle.. »

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