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Comment fabrique-t-on les ogm ?

Publié le 05/09/2018

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Seules quelques cellules insérerons les transgènes dans leur génome, mais l'intégration de ces gènes ne se fait pas automatiquement par le noyau, il faut donc attendre une quinzaine de jours pour vérifier que les gènes ont bien été assimilés.
Cette méthode est très efficace, elle permet d'injecter simplement et rapidement de l'ADN dans les cellules. De plus, elle ne nécessite pas que la cellule soit sous forme de protoplaste (ce qui est encore mal maitrisée pour certaines especes) et peut être réalisée sur un tissu encore rattaché a l'organe d'origine.


On trouve deux techniques différentes pour effectuer un transfert indirect : la transfection biologique et la lipotransfection.

La transfection biologique : Cette méthode prend appui sur les propriétés des bactéries, elle est la plus naturelle de toute les méthodes observées.

La premiere étapes de cette transfection consiste à implanter le gene d'interet dans un plasmide. Le plasmide obtenu est donc génétiquement modifié. 
Ensuite, on introduit ce plasmide dans une bactérie 

http://www.ogm.org/pages/show.php?cat=11&idcomm=95
http://bio1-ogm.e-monsite.com/rubrique,i-qu-est-ce-qu-un-ogm,120204.html
http://www.chimie-sup.fr/OGM.htm

« Du fait des chocs électriques, des pores se forment dans la membrane plasmique, On les appellent aussi « électropores ».

Elles permettent alors à l'ADN de pénétrer a l'intérieur de la cellule. En effet, les prosoplastes baignent dans les plasmides qui passent très facilement dans la cellule. Si le choc n'a pas été trop violent, les électropores se refermeront d'elles -mêmes et la membrane reprendra sont état initial.

On pourra alors dire que le cellule a été génétiquement modifiée. étapes de l'électroporation 1) mélange de protoplaste et d'ADN. 2) choc électrique. 3) Des pores se forment dans la membrane plasmique, et l'ADN entre dans la cellule via ces pores. 4) Les pores fermées emprisonnent l'ADN dans la cellule qui va alors dans le noyau. Plus tard, la cellule se régénérera et intégrera complètement le nouvel ADN. La micro-injection : elle se pratique sur des protoplastes et consiste a injecter directement le gène étranger dans la cellule a modifier grâce à un micromanipulateur monté à un microscope. Le protoplasme a transformer est immobilisé a l'aide d'une micro-aiguille, puis on introduit le gène (accompagné de son complexe promoteur-terminateur dans le noyau à l'aide d'une micro-pipette. Un promoteur est une séquence d'ADN qui se trouve en amont du gène et qui est nécessaire a sa transcription, c'est a dire a la formation de l'ARN (Acide RiboNucléique) : copie d'un brin d'ADN capable de sortie du noyau.

Un terminateur est une séquence d'ADN présente en aval au niveau de laquelle l'élongation de l'ARN prend fin, c'est a dire que que la transcription s'arrête. On peut alors dire que la cellule est génétiquement modifiée.

Après l'injection, on libère le protoplaste pour ensuite le mettre en culture dans un milieu approprié. Cette technique est largement plus difficile que la précédente, en effet, elle ne s'applique que dans peu de cas, de plus, pour que la cellule accepte cet ADN étranger, il faut faire des centaines d'injections du gène ce qui se révèle complexe. Schéma d'une micro-injection micromanipulateur La biolistique : c'est la méthode la plus courante, qui consiste a propulser le transgène dans les cellules végétales. Pour cela, on utilise des micro-billes en or ou en tungstène enrobées d'ADN que l'on projette sur les cellules que. »

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