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Grand oral du bac : Règne végétal LA POLLINISATION

Publié le 06/02/2019

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La pollinisation par l’eau ou hydrophilie est le type de fécondation végétale le moins répandu, mais il est primordial pour l’ensemble des plantes aquatiques à fleurs, telle la zostère qui forme de vastes prairies sous-marines.

 

Ces plantes possèdent des grains de pollen filamenteux dont la pesanteur est spécifiquement adaptée à l’eau de mer. Les grains peuvent ainsi circuler aisément à toute profondeur, en attendant d’être capturés ou de se poser sur un stigmate plumeux.

parfumées. Les petites fleurs sont parfois regroupées en grappes ou peuvent être entourées de feuilles colorées, les bractées, qui attirent les insectes vers les vraies fleurs insignifiantes, comme chez le poinsettia.

 

Le pollen des fleurs entomophiles est habituellement plus rugueux que celui des plantes ané-mophiles; il est même parfois collant et se fixe ainsi facilement sur l’insecte.

 

C’est parmi les plantes entomophiles que l’on trouve les adaptations les plus fascinantes, avec des dispositifs ingénieux pour attirer les insectes. Les plantes à fleurs en coupelle, tels les boutons d’or et les marguerites, peuvent quasiment tirer avantage de tous les visiteurs: abeilles, coléoptères et fourmis, voire des petits animaux qui viennent se frotter aux fleurs. Sous l’effet des secousses, le pollen se détache des anthères (parties terminales des étamines contenant les grains de pollen) et atterrit sur un stigmate réceptif, ou bien est transporté par l’insecte sur une fleur voisine.

 

D’autres plantes ne peuvent être pollinisées que par un type particulier d’insecte. Ainsi, chez le lupin, le pois de senteur et d’autres membres de la famille des pois, l’insecte doit peser de tout son poids pour abaisser les pétales de la fleur, dévoilant les étamines et les stigmates contre lesquels il se frotte.

 

Certaines fleurs «exigent» la visite d’insectes à longue trompe, comme les papillons et certaines mouches. Chez l’ortie blanche, par exemple, l’insecte plonge tête la première dans la fleur pour atteindre les nectaires (glandes produisant le nectar) situés dans le fond. Les anthères ou stigmates logés dans les pétales supérieurs sont ainsi plaqués contre le dos de l’insecte. Bien que l’ento-

mophilie constitue la méthode de base chez les plantes à fleurs, la pollinisation par les oiseaux est largement répandue sous les tropiques et dans les régions chaudes d’Australie et d’Amérique latine.

 

Les oiseaux, essentiellement les colibris (ou oiseaux-mouches, grands amateurs de miel) ne sont guère plus gros qu’un bourdon. Ils aspirent le nectar par leur long bec fermé, actionnant leur langue comme un piston. Parmi les animaux pollinisa-teurs, on peut citer également les chauvessouris, les limaces ou les escargots. N’oublions pas non plus que l’homme pratique la pollinisation artificielle chez certaines espèces comme le dattier.

« La pollinisation parfumées.

Les petites fleurs sont parfois regrou­ pées en grappes ou peuvent être entourées de feuilles colorées, les bractées, qui attirent les insectes vers les vraies fleurs insignifiantes, comme chez le poinsettia.

Le pollen des fleurs entomophiles est habituel­ lement plus rugueux que celui des plantes ané­ mophiles; il est même parfois collant et se fixe ainsi facilement sur l'insecte.

C'est parmi les plantes entomophiles que l'on trouve les adaptations les plus fascinantes, avec des dispositifs ingénieux pour attirer les insectes.

Les plantes à fleurs en coupelle, tels les boutons d'or et les marguerites, peuvent quasiment tirer avantage de tous les visite urs: abeilles, coléoptères et fourmis, voire des petits animaux qui viennent se frotter aux fleurs.

Sous l'effet des secousses, le pollen se détache des anthères (parties terminales des étamines contenant les grains de pollen) et � atterrit sur un stigmate réceptif, ou bien est trans- � porté par l'insecte sur une fleur voisine.

8 D'autres plantes ne peuvent être pollinisées � que par un type particulier d'insecte.

Ainsi, chez � le lupin, le pois de senteur et d'autres membres de la famille des pois, l'insecte doit peser de tout son poids pour abaisser les pétales de la fleur , dévoilant les étamines et les stigmates contre les­ quels il se frotte.

Certaines fleurs «exigent>> la visite d'insectes à longue trompe, comme les papillons et certaines mouches.

Chez l'ortie blanche, par exemple, l'in­ secte plonge tête la première dans la fleur pour atteindre les nectaires (glandes produisant le nec­ tar) situés dans le fond.

Les anthères ou stigmates logés dans les pétales supérieurs sont ainsi pla­ qués contre le dos de l'insecte.

Bien que l'enter ' Les fleurs sont pourvues de couleurs vives pour attirer les insectes qui assureront la pollinisation croisée entre des plantes d'une même espèce.

Pendant qu'une abeille se nourrit de nectar, le pollen des anthères se dépose sur son dos.

Il est alors transféré sur le stigmate d'une autre plante.

mophilie constitue la méthode de base chez les plantes à fleurs, la pollinisation par les oiseaux est largement répandue sous les tropiques et dans les régions chaudes d'Australie et d'Amérique latine.

Les oiseaux, essentiellement les colibris (ou oi­ seaux-mouches, grands amateurs de miel) ne sont guère plus gros qu'un bourdon.

Ils aspirent le nec­ tar par leur long bec fermé, actionnant leur langue comme un piston.

Parmi les animaux pollinisa­ teurs, on peut citer également les chauves-souris, les limaces ou les escargots.

N'oublions pas non plus que l'homme pratique la pollinisation artifi­ cielle chez certaines espèces comme le dattier.

� //arrive que le pollen n 'atteigne jamais sa destination.

Ainsi, celui de ces sapins est totalement à la merci des vents et peut finir sa course dans l'eau.

Toute reproduction devient alors Impossible.

On distingue ......

nettement LA POLLINISATION PAR UNE ABEILLE les grains de pollen à la surface de ce stigmate grossi environ 500 fois.

! De nombreux a arbres portent des fleurs en épi chargées de pollen, appelées chatons.

� Le pissenlit est polllnisé par les Insectes, puis le vent sème les graines.

La pollinisation par l'eau La pollinisation par l'eau ou hydrophilie est le type de fécondation végétale le moins répandu, mais il est primordial pour l'ensemble des plantes aquatiques à fleurs, telle la zostère qui forme de vastes prairies sous-marines.

Ces plantes possèdent des grains de pollen fila­ menteux dont la pesanteur est spécifiquement adaptée à l'eau de mer.

Les grains peuvent ainsi circuler aisément à toute profondeur , en atten­ dant d'être capturés ou de se poser sur un stig­ mate plumeux.. »

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