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Etre au 7e ciel

Publié le 23/09/2013

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Les anciens, et même nos ancêtres du Moyen Âge,

ignoraient la réalité de la voûte céleste et imaginaient ce

qu'ils ne pouvaient expliquer. Pour eux, il y avait trois

ciels : le zodiaque avec 12 constellations, la partie septentrionale

qui en comptait 21 et la méridionale 27.

« médiaires.

Sans doute la béatitude va-t-elle croissant au fur et à mesure que nous nous élevons.

Cependant, le choix de 7 n'est probablement pas for­ tuit.

Nous savons que le chiffre 7 connaît un caractère sa­ cré chez les Juifs, le sabbat revenant le septième jour.

Nous le retrouvons dans de nombreux exemples: le chandelier à 7 branches, il y avait 7 anges, 7 semaines sé­ parent Pâques de Pentecôte, il y a 7 péchés capitaux, etc.

7, chiffre religieux, fut aussi privilégié par les païens sans doute à cause des 7 planètes.

Rome est la ville aux 7 collines, les immolations se faisaient par 7, les autels étaient élevés au nombre de 7, la jachère durait 7 ans, il y avait 7 merveilles dans le monde, etc.

L'expression «être au 7e ciel» est aussi utilisée, bien que plus rarement, dans le sens de «maximum» ou « summum» pour caractériser l'orgueil d'un homme.. »

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