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Sens et connaissance

Publié le 23/12/2010

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L'univers est un ensemble parfait. Il semble être constitué de la manière la plus précise, la plus juste. Et il contient des acteurs qui font de cet ensemble une entité : ce sont les êtres humains, les animaux et la nature. Or ces trois éléments ont une caractéristique commune - la sensibilité. Cette dernière est leur rapport au monde le plus rudimentaire, le plus précoce, le plus primaire. Elle est présente dès la création aussi bien de l'être humain que de l'animal. C'est par les sens que ces deux êtres font leurs premières expériences de ce que les entoure. Or cette expérience est dite sensible, elle est caractère par ses aspects de passivité et de réceptivité. Mais ce qui est particulier chez l'être humain c'est sa capacité de « connaitre « qui engendre en lui une « connaissance «. Une question se pose alors : est ce que les sens sont suffisants pour lui fournir toutes ses connaissances? Ne relève-t-ils pas d'autres capacités de l'esprit dans l'action de connaître tel que l'entendement, la raison, l'intelligence? Est-elle l'acteur majeur de l'acquisition de nos connaissances? Dans quelles conditions les sens apportent des connaissances?  En effet la « connaissance « est avant tout un élément de notre langage. En l'entendant différentes images nous apparaissent dans l'esprit. Par le mot connaissance nous comprenons ce dont nous « avons connaissance «, ce dont nous avons un savoir quelconque. Et là la manière avec laquelle on a connu une chose n'est pas tellement importante. D'autre part le mot « sens « renvoie directement à la « sensibilité « qui est une des plus évidentes capacités de l'Homme. De sa part cette sensibilité a de divers aspects.  En fait on a cinq sens essentiels - la vue, l'odorat, le toucher, l'ouïe et le goût. Par ces sens certes nous acquérons des connaissances, principalement par le « ouï-dire «, c'est à dire par la culture, l'éducation, l'enseignement et la conversation. Ce que concerne les connaissances reçues à travers cette voie on peut dire qu'on les a reçu d'une manière qui nous a dispensé d'un contact directe avec les objets de connaissance. De plus ces connaissances sont appelées « rapides «. Comme exemple on peut citer l'enseignement. Or quel est le sens du verbe « enseigner «, Ce verbe provient du latin et signifie faire apprendre, instruire par des signes, qu'ils soient langagiers ou des représentations graphiques. À cette étape même de notre analyse nous pouvons se représenter une situation précise qui est l'enseignement primaire. En fait pour démontrer aux enfants que un plus un égale à deux l'enseignant utilise des images. Certes cette méthode non seulement facilite la voie d'enseignement mais aussi la rend plus vite.  Cet exemple nous rappelle aussi du fait comment on a reçu notre première formation. N'est ce pas par contact et immersion dans la société? En fait dès notre naissance on vit en contact avec tout ce qui nous entoure - la nature, les autres hommes, la société. Cette dernière joue un rôle primordiale dans notre éducation culturelle et traditionnel. En effet par la participation à cette dernière que nous commencons à imiter certaines actions. Et là il n'y a pas seulement nos cinq sens qui sont en jeu, mais aussi notre affection. Parce que c'est elle qui nous guide par exemple vers le bon comportement et le mauvais. Dans ces conditions nos connaissances semblent venir par les sens, passer par les sens et être fournies par les sens. Mais on remarque que pour arriver à connaître il faut procéder par une analyse par les sens de l'objet de nos connaissance. Cette analyse peut être nommée expérience sensible. Alors comment le discours nous fournit-il des connaissances?  Or pour nous une expérience sensible c'est une expérience déjà vécue. Dans le cas que nous discutons c'est l'expérience qu'on vit en s'intégrant, en participant à la vie sociale. On peut souligner que cette expérience ne cherche pas à fournir avant tout une connaissance objective, elle vise en effet le savoir-faire, le savoir-vivre. Donc elle est susceptible d'être l'objet de l'affectivité, de l'illusion du sujet connaissant, c'est à dire d'être subjective. Certainement ces connaissances peuvent être objective, mais dans son origine elles sont centrées sur le sujet connaissant et non pas sur l'humanité entière, donc ces connaissances ne sont pas universelles. Et pour qu'une connaissance soit objective il faut qu'elle soit universelle mais aussi fiable, ce qui ne peut être toujours le cas dans ce type de connaissance.  Maintenant nous allons voir le cas des choses qu'on connait par le discours, dit autrement d'une manière discursive. Le discours contient plusieurs mots, paroles. En grec ce terme est dit « logos « qui signifie faire voir. Or on sait que le discours est une des façons de faire apprendre, d'instruire. De plus il a ses propre pouvoirs : le pouvoir de décrire, d'analyser, de comparer, de relier et de distinguer. Ce dernier verbes a aussi une signification bien déterminée - apercevoir la chose-même, séparer par l'analyse une chose de ce qu'elle n'est pas. Dit d'une autre manière l'enseignement par le discours a pour but de nous apprendre qu'est ce que l'on voit.  En fait l'expérience sensible telle qu'on l'a expliqué est ce qui nous permet de concevoir une connaissance objective. Elle nous met en contact direct avec l'objet de connaissance. Pourtant il y a une autre fonction qui nous différencie des animaux, c'est la fonction de penser. Nous pouvons se demander alors de ces deux capacités-connaître et penser.  Le philosophe allemand Leibniz dans son ½uvre « Nouveaux Essais « décrit longuement ce qu'est l'expérience sensible. Selon lui le possible est ce qui n'est pas contradictoire pourtant ce qui existe réellement, ce qui est réel peut et fait l'objet d'une expérience sensible. De sa part l'empiriste Kant va plus loin dans l'analyse de la connaissance. Il définit qu'est ce penser et connaître. Pour lui penser est une activité de l'esprit qui raisonne le plus rigoureusement au but d'enchainer les représentations de manière qu'elles ne se contredisent plus. De même connaître c'est l'activité qui raisonne et qui pense, en se fondant sur l'expérience sensible dont l 'homme fait d'un objet extérieur à lui.  De même Kant renvoie à la métaphysique. Il y analyse la connaissance qu'elle apporte. Le philosophe définit la métaphysique en tant qu'une pensée ou bien en tant que quelque chose qui est seulement pensable, qui ne fait pas partie du réel mais du possible. En réunifiant les propos de Leibniz et de Kant, nous pouvons déduire que la métaphysique n'est pas une connaissance parce qu'on ne peu pas en faire une expérience sensible qu'est une condition nécessaire pour connaître. Ce n'est qu'une pensée puisqu'elle fait partie du possible et n'est pas une réalité objective. Mais n'y a t il pas des connaissances que l'expérience sensible n'est pas capable de fournir seule? Or quelle est la nature de la connaissance objective scientifique?  L'exemple le plus marquant de la connaissance scientifique est la connaissance mathématique. En effet les mathématiques pour élaborer une certaine connaissance procèdent par une voie de démonstration. Or cette dernière est réalisée à partir des axiomes et de définitions au but de démontrer l'objet de connaissance. Or ce dernier est défini est construit par notre esprit d'une façon rationnelle. Certainement ce n'est pas un objet réel puisqu'on ne peut pas en faire l'expérience sensible, mais c'est un objet appartenant au possible, qui à son tour grâce à l'expérience sensible devient réel.  Donc l'expérience sensible est une condition nécessaire pour qu'une connaissance soit objective. Mais est cela une condition suffisantes? Qu'est ce qu'on peut dire à propos de la connaissance scientifique objective qui n'appartient pas au domaine des mathématiques?  En effet comme on a souvent l'expérience dans notre vie quotidienne nous pouvons remarquer que nos sens sont sujet à des illusion. Dès fois on a l'impression d'avoir entendu ou vu quelque chose mais en vérifiant ceci nous sommes contraint de reconnaître que nos sens ont eu une illusion et on a failli se tromper. Dès lors on peut se poser la question est ce que les sens sont capable de nous fournir des connaissances à qui on peut se fier, qui portent en eux un degré de fiabilité?  De plus il existe dans ce monde des réalités qui en un certain moment ne peuvent pas être accessible aux sens. C'est le cas des idées de l'infiniment grand et de l'infiniment petit. Or pour être plus claire on peut citer comme s'exprime Leibniz les « corpuscules insensible «. Dit d'une autre manière chaque entité qu'on perçois est constituées des éléments plus petits qui sont en fait ces « corpuscules insensibles «. On ne peut pas percevoir ces derniers sans la médiation d'élaboration méthodique et instrumentale. Par exemple pour percevoir les cellules qui font notre corps on a besoin de mettre en ½uvre un microscope puisque nos cinq sens ne sons pas capables d'apercevoir ces corpuscule. De plus on sait, qu'il existe effectivement des particules encore plus petites. D'autre par on a l'idée du monde. Surement nous pouvons connaître les différentes parties du monde, mais on ne peut pas connaître le monde entier. Parce nos sens encore une fois ne sont pas assez développer. Ce qui nous rappelle notre condition dans le monde. Mais sans les particules qu'on n'arrive pas à connaître sans la technique le monde nous semblera manquer de continuité. Là on franchit la zone consciente de notre esprit et on se lance dans l'inconscience. Puisqu'on est en état de conscience claire que si on peut faire l'expérience sensible de la réalité donnée. Or par ces exemples qu'on rencontre à chaque instant de notre existence nous pouvons déduire que l'expérience sensible a ses limites, et d'où on peut dire que les sens ne suffisent pas à eux seuls de fournir toutes les connaissances possible, et que pour pouvoir accéder à toutes les connaissances il faut procéder par des élaborations méthodologiques.  Le sens qui nous porte le plus de connassance sur la réalité du monde est notre vue. Or on peut voir une chose qui n'est pas transparente, cette chose si elle n'est pas transparente cache une certaine partie d'elle même. Pour percevoir ces parties cachées il faut que nous allons toujours à la recherche de ces dernières. Ça veut dire que pour accéder à une connaissance par la perception il faut mettre en place une méthode qui élaborera des moyens qui permettront à notre vue de percevoir ce que la réalité cache. Ceci nous rappelle une démarche scientifique et technique qui relèvent une expérience scientifique qu'est en fait un raisonnement complexe. Or pour effectuer une telle expérience il faut supposer une hypothèse qu'on va démontrer pour que la connaissance qu'on retrouvera soit objective. Or c'est cette preuve qui doit être inventée par nous mémé. En conclusion - pour rendre une réalité imperceptible une connaissance objective il faut procéder à des inventions intellectuelles et technique et ces inventions sont nées à partir de la réalité que nous percevons. Mais une question apparaît alors quelles sont les conditions intellectuelles de cette connaissance objective?  On a vu que pour connaître une réalité objectivement il faut procéder par une élaboration méthodique, par une démarche intellectuelle, par une élaboration instrumentale. Mais « connaitre « signifie aussi bien être capable de reconnaître, c'est à dire pouvoir distinguer l'objet des autres. Or cela veut dire que la connaissance dois contenir une certaine généralité pour que notre esprit puisse l'analyser et puis l'identifier. Cette activité suggère aussi le fait qu'on doit connaître les raisons de l'objet de connaissance ou bien ses causes et ses traits caractéristiques. On peut donc déduire que l'activité de l'esprit de connaître implique aussi la présence d'autres capacités intellectuelles comme la mémoire, l'imagination, le jugement, le raisonnement. Ce qui se pose alors comme problématique c'est d'où proviennent elles ses représentations?  Dans le domaine de la connaissance l'histoire de la philosophie connait de grands mouvements qui ne cessent pas d'analyser et de s'en approfondir. Le conflit le plus large est celui entre les rationalistes et les empiristes. Selon l'un des plus marquant empiristes Johne Locke, la raison est objet à une certaine genèse psychologique. Selon lui l'usage des sens permet à l'esprit de l'homme de s'enrichir progressivement en rationalité. C'est aussi dire que nos sens nous fournissent toutes nos connaissances. Or penser veut ainsi dire chercher une élaboration pour trouver la manière dont on doit penser une chose, la façon dont on dois se la représenter, comment la dire. Ainsi les empiristes prétende que note connaissance ne provient pas seulement de l'expérience qu'on effectue actuellement mais aussi d'expériences précédentes qui ont laisser une trace dans notre esprit. C'est à dire que si une expérience se répète plusieurs fois on accède à une généralisation qu'est en fait l'une des conditions de la connaissance objective. Cette thèse a été longtemps critiquée par Leibniz qui se veut un rationaliste.  En effet selon le philosophe allemand la connaissance a deux conditions qu'elle doit impérativement suivre. C'est la nécessité et l'universalité. Or ce sont deux conditions qui caractérisent ce qui ne peut ne pas être, ce qui ne dépend pas des cas, ce qui vaut pour la totalité. De plus ce n'est qu'une observation répétée plusieurs fois qui peut accomplir ces deux conditions. Cette répétition nous donne un sentiment de confiance envers ce de quoi on fait l'expérience, elle nous donne aussi la causalité des événements. Donc elle nous aide à attribuer une certaine universalité à la connaissance. Pour ce qui concerne la nécessité on peut dire qu'elle fait objet d'une démonstration rationnelle et non pas d'une expérience sensible.  De plus Leibniz développe le thème sur la psychologie de la connaissance. Ils suggère l'existence des idées surnommées par lui « idées innées «. Ainsi il donne leur définition - ce sont des habitudes naturelles en nous qui sont à être recherchées et sont présentes dans l'entendement qu'est une de nos capacités intellectuelles. Selon Leibniz nous devons aller chercher ces « idées innées « par la réflexion. C'est à dire que ce sont des connaissance que nous portons, des connaissances qui nous aident à rendre par l'aperception ces connaissances qui sont virtuelles et implicite, expresses et actuelles. Mais en les rendant des connaissances expresses et actuelles sont elles aussi objectives?  En fait pour atteindre le vrai l'esprit doit mettre en place des principes intellectuelles et conceptuelles qui ne peuvent pas provenir de l'expérience sensible. Ce sont des principes avec lesquels on nait. Et pour les activer nous devons avant tout les découvrir par un effort de l'attention, la réflexion et du raisonnement. Donc on peut dire que notre esprit connait une genèse psychologique.  Et pourtant Leibniz a aussi démontré les enjeux de sa thèse dans le domaine de la morale et de la politique. En effet il met sa thèse à la base du l'autoritarisme, voire même du despotisme. Or ce qui sont au pouvoir veulent présenter les idées innées comme des principes qu'il ne faut pas négliger et il faut suivre impeccablement. Mais n'est ce pas qu'à partir de cette interprétation des idées innées que proviennent la paresse, l'autoritarisme intellectuel, social et politique? Ces idées sont nées avec notre esprit, c'est-à-dire avec nous même. Et à leur tour elles nous disposent à des activités spontanées caractérisées par une passivité et réceptivité. C'est en fait de cette manière qu'elles participent à la genèse de notre esprit.      L'analyse qui nous venons de faire démontre que les sens ne sont pas capable de nous fournir toutes nos connaissances. En fait l'être humain est un ensemble de différents élément, même si les sens sont son premier rapport avec le monde qui l'entoure, ils cache toujours quelque chose. Et pour trouver cette chose l'homme est obligé à chaque fois d'aller à la recherche d'élaborations intellectuelles, conceptuelles, instrumentales pour accéder aux connaissances, mais pas aux simples connaissances mais aux connaissances vraies et objectives. Or on a vu que pour arriver à ces connaissances il faut mettre en ½uvre plusieurs procédés. Pourtant il ne faut pas négliger le rôle des sens dans notre capacité de connaître. Puisque sans eux nous ne pourrions pas effectuer une expérience sensible de la réalité de laquelle on est susceptible tirer une connaissance. Et cette expérience est la condition majeure de la connaissance objective. De même il y a des domaines où les sens n'ont pas un accès. L'exemple le plus clair est celui des mathématiques. En fait dans cet science tout est basé seulement sur la rationalité de notre esprit.   

« métaphysique en tant qu'une pensée ou bien en tant que quelque chose qui est seulement pensable, qui ne fait paspartie du réel mais du possible.

En réunifiant les propos de Leibniz et de Kant, nous pouvons déduire que lamétaphysique n'est pas une connaissance parce qu'on ne peu pas en faire une expérience sensible qu'est unecondition nécessaire pour connaître.

Ce n'est qu'une pensée puisqu'elle fait partie du possible et n'est pas uneréalité objective.

Mais n'y a t il pas des connaissances que l'expérience sensible n'est pas capable de fournir seule?Or quelle est la nature de la connaissance objective scientifique?L'exemple le plus marquant de la connaissance scientifique est la connaissance mathématique.

En effet lesmathématiques pour élaborer une certaine connaissance procèdent par une voie de démonstration.

Or cettedernière est réalisée à partir des axiomes et de définitions au but de démontrer l'objet de connaissance.

Or cedernier est défini est construit par notre esprit d'une façon rationnelle.

Certainement ce n'est pas un objet réelpuisqu'on ne peut pas en faire l'expérience sensible, mais c'est un objet appartenant au possible, qui à son tourgrâce à l'expérience sensible devient réel.Donc l'expérience sensible est une condition nécessaire pour qu'une connaissance soit objective.

Mais est cela unecondition suffisantes? Qu'est ce qu'on peut dire à propos de la connaissance scientifique objective qui n'appartientpas au domaine des mathématiques?En effet comme on a souvent l'expérience dans notre vie quotidienne nous pouvons remarquer que nos sens sontsujet à des illusion.

Dès fois on a l'impression d'avoir entendu ou vu quelque chose mais en vérifiant ceci noussommes contraint de reconnaître que nos sens ont eu une illusion et on a failli se tromper.

Dès lors on peut se poserla question est ce que les sens sont capable de nous fournir des connaissances à qui on peut se fier, qui portent eneux un degré de fiabilité?De plus il existe dans ce monde des réalités qui en un certain moment ne peuvent pas être accessible aux sens.C'est le cas des idées de l'infiniment grand et de l'infiniment petit.

Or pour être plus claire on peut citer commes'exprime Leibniz les « corpuscules insensible ».

Dit d'une autre manière chaque entité qu'on perçois est constituéesdes éléments plus petits qui sont en fait ces « corpuscules insensibles ».

On ne peut pas percevoir ces dernierssans la médiation d'élaboration méthodique et instrumentale.

Par exemple pour percevoir les cellules qui font notrecorps on a besoin de mettre en ½uvre un microscope puisque nos cinq sens ne sons pas capables d'apercevoir cescorpuscule.

De plus on sait, qu'il existe effectivement des particules encore plus petites.

D'autre par on a l'idée dumonde.

Surement nous pouvons connaître les différentes parties du monde, mais on ne peut pas connaître le mondeentier.

Parce nos sens encore une fois ne sont pas assez développer.

Ce qui nous rappelle notre condition dans lemonde.

Mais sans les particules qu'on n'arrive pas à connaître sans la technique le monde nous semblera manquer decontinuité.

Là on franchit la zone consciente de notre esprit et on se lance dans l'inconscience.

Puisqu'on est enétat de conscience claire que si on peut faire l'expérience sensible de la réalité donnée.

Or par ces exemples qu'onrencontre à chaque instant de notre existence nous pouvons déduire que l'expérience sensible a ses limites, et d'oùon peut dire que les sens ne suffisent pas à eux seuls de fournir toutes les connaissances possible, et que pourpouvoir accéder à toutes les connaissances il faut procéder par des élaborations méthodologiques.Le sens qui nous porte le plus de connassance sur la réalité du monde est notre vue.

Or on peut voir une chose quin'est pas transparente, cette chose si elle n'est pas transparente cache une certaine partie d'elle même.

Pourpercevoir ces parties cachées il faut que nous allons toujours à la recherche de ces dernières.

Ça veut dire que pouraccéder à une connaissance par la perception il faut mettre en place une méthode qui élaborera des moyens quipermettront à notre vue de percevoir ce que la réalité cache.

Ceci nous rappelle une démarche scientifique ettechnique qui relèvent une expérience scientifique qu'est en fait un raisonnement complexe.

Or pour effectuer unetelle expérience il faut supposer une hypothèse qu'on va démontrer pour que la connaissance qu'on retrouvera soitobjective.

Or c'est cette preuve qui doit être inventée par nous mémé.

En conclusion - pour rendre une réalitéimperceptible une connaissance objective il faut procéder à des inventions intellectuelles et technique et cesinventions sont nées à partir de la réalité que nous percevons.

Mais une question apparaît alors quelles sont lesconditions intellectuelles de cette connaissance objective?On a vu que pour connaître une réalité objectivement il faut procéder par une élaboration méthodique, par unedémarche intellectuelle, par une élaboration instrumentale.

Mais « connaitre » signifie aussi bien être capable dereconnaître, c'est à dire pouvoir distinguer l'objet des autres.

Or cela veut dire que la connaissance dois contenirune certaine généralité pour que notre esprit puisse l'analyser et puis l'identifier.

Cette activité suggère aussi le faitqu'on doit connaître les raisons de l'objet de connaissance ou bien ses causes et ses traits caractéristiques.

Onpeut donc déduire que l'activité de l'esprit de connaître implique aussi la présence d'autres capacités intellectuellescomme la mémoire, l'imagination, le jugement, le raisonnement.

Ce qui se pose alors comme problématique c'est d'oùproviennent elles ses représentations?Dans le domaine de la connaissance l'histoire de la philosophie connait de grands mouvements qui ne cessent pasd'analyser et de s'en approfondir.

Le conflit le plus large est celui entre les rationalistes et les empiristes.

Selon l'undes plus marquant empiristes Johne Locke, la raison est objet à une certaine genèse psychologique.

Selon lui l'usagedes sens permet à l'esprit de l'homme de s'enrichir progressivement en rationalité.

C'est aussi dire que nos sens nousfournissent toutes nos connaissances.

Or penser veut ainsi dire chercher une élaboration pour trouver la manièredont on doit penser une chose, la façon dont on dois se la représenter, comment la dire.

Ainsi les empiristesprétende que note connaissance ne provient pas seulement de l'expérience qu'on effectue actuellement mais aussid'expériences précédentes qui ont laisser une trace dans notre esprit.

C'est à dire que si une expérience se répèteplusieurs fois on accède à une généralisation qu'est en fait l'une des conditions de la connaissance objective.

Cettethèse a été longtemps critiquée par Leibniz qui se veut un rationaliste.En effet selon le philosophe allemand la connaissance a deux conditions qu'elle doit impérativement suivre.

C'est lanécessité et l'universalité.

Or ce sont deux conditions qui caractérisent ce qui ne peut ne pas être, ce qui nedépend pas des cas, ce qui vaut pour la totalité.

De plus ce n'est qu'une observation répétée plusieurs fois qui peutaccomplir ces deux conditions.

Cette répétition nous donne un sentiment de confiance envers ce de quoi on faitl'expérience, elle nous donne aussi la causalité des événements.

Donc elle nous aide à attribuer une certaine. »

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