L'interview de Baudelaire

« J'étais pr édestin é à des  études de droits que je n'ai pas suivi, pour pouvoir me lancer dans   quelques chose que j'affectionnais beaucoups plus, l' écriture. 6/ Ces  études vous ont­elles conduit  à un m étier, une carri ère ? A la suite de ces  études, je me suis lancer dans une carri ère de critique d'art et de   journaliste. 7/ Vous acc édez  à la majorit é le 9 avril 1842. A partir de ce moment, quelle est votre   principale source de revenu ? Ma principale source de revenu  était l'h éritage que mon p ère ma laissais. 8/ Dans La Fanfarlo, une nouvelle publi ée en 1847, vous  écrivez  : " Quel triste et   lamentable sort que celui d'un g énie harcel é par un million de dettes ! ". Avez­vous   rencontr é de si nombreux probl èmes d'argent au cours de votre existence ? Oui, j'ai eu de nombreux probl ème financier parce­que je n'ai pas pu toucher toute la   fortune de mon p ère. 9/ On a souvent  écrit  à votre propos que vous  étiez un " dandy ". C'est un terme que vous   employez vous­m ême, et dont avez propos é, ici et l à, plusieurs d éfinitions. En quelques   mots, qu'appelle­t­on un " dandy " ? Un " dandy " comme vous d îtes, est un homme tr ès élégant et raffin é, se r éclamant du   dandysme, courant de mode et de soci été venant de l'Angleterre de la fin du XVIII si ècle,   mais aussi d'une affection de l'esprit et de l'impertinence. 10/ Nous savons que trois femmes ont compt é dans votre vie d'homme et de po ète.

  Pourriez­vous nous en r évéler l'identit é ?. »