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Anthropologie de la santé

Publié le 28/05/2012

Extrait du document

 

 

 

« Penser le corps et la santé au sein de la mondialisation «

 

Corps et santé : les sociétés amérindiennes

 

Relation particulière du corps avec son environnement et sa culture.

La modernité entre de force dans les cultures amérindienne et les oblige à revoir leur propre valeurs et pratique.

 

3.Les sociétés amérindiennes

 

Comprendre le corps dans ces sociétés. Déconstruire nos propres paramètre pour mieux s'immiscer dans leur culture.

 

Chamanisme :

 

Distinction entre chamanisme et néo-chamanisme.

 

Néo-chamanisme : toute les forme d’expression que le chamanisme induit dans la planète. Les 2 sont des objets t'études, d’intérêt scientifique mais les 2 ne relève pas de la même logique.

L'explosion en terme d'imaginaire de la part de l'occident est bien la. Le chamanisme relève d'autre logique. Les amérindien trouve le sens utile de la vie intellectuel et collective dans le passé. En occident, on a tendance à récupérer que ce qui nous semble utile dans ces cultures. On a une tendance résiduelle.

 

En fait plus on s rapproche de ces cultures, plus elle nous paraisse abstraite.

 

Le chamanisme a un caractère universel (Russie asiatique, Tibet, Népal Chine, Corée, Inde, Japon Afrique, Australie). Donc il y a diffusion sur l'ensemble des continents.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Etiologie médicale

 

Dans le documentaire on voit que cette culture conçoit les valeurs dans une dimension multiple.

IL y a les maladies des blancs que seuls les médecins occidentaux peuvent prendre en charge. C?est pourquoi elles sont accepté dans cette culture.

Mais, ils peuvent pas guérir les causes, mais seulement les symptôme et les effets.

Ils peuvent pas remonter en cause en dans un point de vive biomédicale.

Donc si la vision du monde d'une culture n'est plus en équilibre, elle s'exprime par certaine maladie.

Donc il voit pas soigner la conséquence de ce déréglage, mais la cause de celui-ci. Donc on accepte la médecine occidentale, mais c'est le monde des esprits qui est la source de toutes les maladie tels que les société se les représentes.

 

Un jeune Huichol se retrouve à l'uni en linguistique et contribue de manière prépondérance à traduire la langage oral des Huchiol à un langage écrit. Donc, de plus en plus de monde de cette culture s’inscrit de plus en plus dans la modernité, donc effet de la mondialisation.

 

Il dit « Mon grand-père me dit que je peux m'habiller comme un teiwari, (un blanc) que cela n'est pas dangereux ; le danger serait que je prenne l'habitude de penser comme eux «

Donc, les modlités intrinséque qui donne valeur à cette culture ne doit pas changer.

 

Rappel : Conquête par l'occident vécu comme un traumatisme et un choc. Donc dans une perspective historique nous permet de mieux nous situer dans la contemporainéité.

Nous sommes le prolongement de ce que nos prédécesseur ont produit au niveau scientifique

 

Les Huchols

 

Les premiers écrit par un ethnographe, Lumholtz : Expédition conséquente, beucoup d'homme de bête et longue (2 ans). Une de ces première analyse est « le profond sentiment religieux de cette population «. Donc il a été frappé par le sacré, fortement présente dans cette culture. (Chamanise ajourd'hui : appréhender le monde mais aussi vivre le monde «)

 

Un autre gars analyse surtout les plantes ect. Et pense que les substances psychotropique dont légitimié dans cette culture.

 

Entre 1910 et 1930, il n'y a plus trop d'enquête (à cause de la révolution au Mexique).

 

1940, on sait que les Huchols était armé.

Dans les années 50, les enquêtes reprennent et elles sont ethnolinguistique.

Pour la science, les Huchols sont à une famille de langue. Ils sont les cousins des aztèques. Le grands changement dans l'approche des Huchols a lieu dans les années 60. Deux anthropologue ont l'occasion de participer à un pèlerinage de peyotl avec les amérindiens. On commence à comprendre ce qu'il y a derrière l’absorption de psychotrope. Ils publie des livres qui commence à circuler. Et la se passe une chose ardu : Ramon Medina le chaman avec qui ils ont eu contact a été trouvé mort pret de sa maison à coup de machette, ceci liés à une dispute de territoire soit disant. Mais en fait c'est car qu'il a partagé avec l'homme occidental des informations sur sa culture. A partir de la les anthropologue ont une relation difficile avec les amérindiens.

 

Donc tous les relations entre les occidentaux et le Huchols ont été caractérisé par une logique de dépossession. La relation était plus utiles pour les occidentaux que pour les locaux.  Donc quels sont les enjeux éthique ? C'est ce que le prof s'est amené à se poser comme question.

Kilani met l'accent sur une anthropo qui n'a plus cours aujourd’hui. On ne tient pas compte de l'impacte qu'a notre présence sur l'objets scientifique observé. Cela n'est plus possible. IL faut valoriser d’avantage l'expérience pratique. Donc pour lui, il faut reconstituer le socle de l'anthropologie à savoir l'expérience pratique. Dépasser le dualisme entre savoir scientifique objetcif et pratique locale.

 

Pour le prof, comment on peut justifier d'un point de vue épistémologique notre présence chez le local. Pour lui ce qui comptait, c'était de réfléchir de manière à respecter une éthique par rapport à tout les enjeux à viser instituante. Donc pas l'accent sur l'objet en tant que tel, mais surtout ce ce que la pratique permettait de comprendre. La pratique est donc indispensable.

 

Toutes les enquêtes ne se valent pas.

Donc expérience du prof :

 

Il a été accepté dans la tribue mais à certaine condition :

 

Faire la nomade a sein de la communauté sans s'arrêter fixement dans une famille.

Il ne doit pas poser de question.

Pas d'enregistrement, pas de photo.

Tu ne fréquente pas les femmes.

 

Il arrive au départ dans la saison sêche, début des rituesl. Il apprend l'agriculture et spécialiste de la récolte de merde d'ane. Ils dors difficilement et mange tout le temps la même chose. Il décide de se casser. Mais eux lui disent c'est bon t'as les portes ouvertes. IL peut désormais aller partout avec eux et tout mais toujours sans question. Dans cette société toute décision relève du collective et non pas individuelle. Donc ça sert à rien d'essayer d'entretenir des relations interpersonnel. Donc il essaie de répretorier quand comment et pourquoi la communauté lui distillait des infos. Donc plutôt que de se consacrer si un objet institué, il opte pour une épistémologie dialogique et réflexive qui lui permettait de valoriser des relations avec la communauté qui sont instituante.

Quand on fait une enquête de terrains, il faut immergée, observé.. Mais la deuxième part du trvail, c'est comment traiter l'ensemble des données, mais surtout comment les réintroduire dans un champ scientifique préalable auquel on doit se confronter. Donc comment récupéré l'expérience pratique pour la restituer. Après une année de vie la bas, il lui a fallu une année pour se décentré, comprendre ect. Donc en reprenant les éléments vécu, comment il les restitue d'n point de vu interprétatif.

 

Donc pour lui il y a une prérogative culturel très forte chez eux, c'est l'accomplissement chamanique. C'est le faite que chaque année, le rythme cosmologique se répéte. Un cycle qui se répète. L’accomplissement chamanique, c'est accomplir chaque année, répéter et inaugurer ce que les mythe relate, ce que les ancêtre on dit. C'est une norme social et culturelle. C'est e nera ayatu.

A concepts qui revenait tout le temps, c'est le « Yari. ?? « Dans l'accomplissement chamanique, il disait qui fallait chaque année renouveler le langue. Pour eux la langue, c'est parler la langue que les transmette les anciens de génération en génération. C'est qui relève aussi du savoir et pas seulement du parler. Ce language était impensable sans une activité passé. (une prérogative de la culture de l'oral c'est qu'on peut pas comprendre les chose sans passer par l'expérience des choses)

Donc il s'agir de faire une expérience individuelle et collectifs lors de la période de 6 mois de la saison sêche : un savoir ne peut pas être réelle sans passer par l'expérience pratique.

Le « chemin du coeur « ce sont des pratiques des anciens que l'on doit appliquer. Un cheminement

« La chair qui a du coeur « c'est le corps. C'est l'inscription de ce savoir mythologique.

 

Donc pour les comprendre, il faut faire l'expérience avec son propre corps.

Le paradigme qui sort, c'est le concept de coeur.

SI on veut traduire ces données empirique, on peut dire que le langage Huichol est un langage qui a une langage performative, qui invite à l'action. Il n'a pas de sens en soit, mais assume son sens à l’épreuve de l’expérience pratique en elle même. C'est un langage d'action. Toute ce qui relève de la mythologie présuppose l'action. La chamanisme pousse a faire l'expérience avec son propre corps. La corps et le lieu d'action de la parole. Le mythe ne retrouve pas sa réalité dans la structure (discours au dessus, symbole et sens)  mais dans un pragmatisme du corps. Donc il faut l'analyse par le filtre de ce qu'est le corps. Donc parler la langage des ancêtre, c'est pas un discours qu'on interprète, c'est faire vivre au corps certaine réalité.

 

Donc tout ça c'est l'iyàari. Nous sommes confronté une une perception du corps confronté à un microcosme et un macrocosme. Donc l'iyari c'est le feu inscrit dans le corps humain. Donc l’accomplissement chamanique c'est régénérer la puissance du feu chaque année.

C'est aussi le dépassement de la dualité entre vie et la mort. Pour eux la vie éternelle n'existe pas (comme chez les chérient). Il existe une vie après la mort mais elle des condamné à s'épuiser avec le temps. C'est la survie du feu dans le corps. Donc quand la chaire s'en va, le feu reste. Donc raviver le feu année après année, c'est aussi dans la perspective de garder ce feu pour vivre après la mort.

Donc après la mort physique,le feu est la.

L'iyàari relie donc être humain et nature cosmos et vie et mort pas la nature du même élément.

L'iyàri c'est une énergie vital qui permet de rester en vie, c'est « le souffle de vie doné par le feu au corps «. Par exemple, le cerveau envoi à l'idée de la réunion de toutes les eaux:c'est le capuri.

 

Tout ça c'est le sens primaire du terme.

 

Le pèlerinage est sous forme de marche dans une nature.

Quels type de pratique on met en scène suivant les différents lieu ?

La traduction de la iyaàri est en fait beaucoup plus complexe. Cela signifie en même temps coeur, sentiments, émotion, puissance force résistance volonté mémoire concentration et chaleur. En réalité pour ces amérindiens, tout ça n'est pas éclaté mais unifié. Donc dans le cadre de cette culture, ils ont une conception unifié du corps qui est porteur de tout ça. Donc au fond yaàri est un concepts qui a une influence sur notre corps somatique et notre corps psychique et mental. Les deux ne sont pas trop dissocié. Donc une représentation unicité du corps. Donc comment expérimenter de concept dans ce renouvellement ? Toute une série de pratique est relié au sens de la régénération de la yyarie. Exemple, le jeune intervenait régulièrement. Sur 2 ou 3 jours, les gens buvais seulement de l'eau sans manger. Donc quant on parle de jeune, on parle d'une expérience empirique. En occident, le jeune signifie que notre corps n'est plus capté pas les digestion donc au bout de 3 ou 4 jours on pète la forme mentalement et physiquement. Donc dans le rituel, on veut renouveler la yaari et donc c'est renouveler le feu interne du corps par l'expérience du corps. Les indication mythologique par bien de ces pratiques. La quête des limites est l'objectif prioritaire car on connait notre corps et on avance. (limite mentale physique, volonté ect.) Donc connaissance et maitrise de soi que t'aurais une posture pour communiquer avec les puissances de la nature qui sont la.

 

L'absorption de psychotrope est révélateur de l'accomplissement chamanique et constituer l’apogée du pèlerinage.

Il y a pas absorption de psychotrope si il y a pas un préalable donc être en harmonie avec la nature et préparation individuelle et collective qui est un travail sur le corps. Ce travail empirique corporel spécifique amène chacun à chercher ses propres connaissance du corps et ses limites. Une fois pret, le corps peut absorber le peyotl. On se prépare pendant des mois et l’absorption de cette substance multiplie par 10 ou 20 ce qu'on a fait sur notre corps en préparation. Donc par exemple, si pendant tout se travail rituel, on se considère par comme prêt, l’absorption on va la vivre mal. SI on a pas les prédisposition corporel et mental, on va faire un bad trip. On va commencer à vomir etc etc.

 

Un groupe communautaire se met en marge pendant une longue période et retrouve sa société d'origine en étant transformer. On se sépare d'un contexte, on vit une situation particulière et on se réinjecte différemment. L’expérience psychotrope fais parti de ces micro processus qui constitue le rituel de passage.

L'absorption du psychotropique est la déstructuration d'un état corporel ordinaire et c'est une restructuration à la suite de cette expérience. Ce rite de passage qui active l'accomplissement chamanique par l'expérience psychotrope. Comment aborder ça au niveau de la science ?

Dans la littérature anthropo, il y a 2 tenadance pour lire ce type d'expérience

Les naturalistes : bio médical

Et culturaliste : on se concentre sur le sens et la cohérence de tel pratique.

 

Quand on parle d'intoxication naturelle on parle de quelque chose d’universel : elle provoque une série de dérèglement corporel (on est déphasé) qui obsession à une logique d'universalité. C?est une lecture psychologique psychiatrie et médicale.

 

Pour les culturaliste, ils expliquent l'expérience de la pratique dans un contexte particulier. Donc du relativisme culturel. Donc en anthropologie il y avait vraiment les deux courants.

 

Le prof veut relier les deux. C'est indéniable qu'il y a de l'intoxication corporel. Mais es-ce à avoir avec la culture ? Les deux sont elles en relation ?

 

Dans une optique phénoménologique il a essayé d'analyser ça. La question était la suviante : si on est occidental et qu'on prend le peyotl, on fait le même chose d'amérindien ?

 

Dans cette culture il y a aussi d'autre substances comme le kieri, plante puissance pas utilisé comme le peyotl.  Le peyotl est la seule substance légitimé par l’entièreté du groupe.

Comment mettre en perspective cette approche phénoménologique ?

 

Il s'intéresse d'abord niveau biologique. L'absorption de la mescaline provoque une augmentation spéctaculaire des connexion neuro cérébrale et font communiquer les partie de notre cerveau très rapidement. Notre cerveau dans l’hémisphère droite, on a inscrit l'innée, perception des couleurs ect. Dans le gauche on inscrit les activités conditionner par l'acquis, le contexte, on réagit quotidiennement en utilisant l'acquis et l'innée. Dans un feu rouge, le gauche inscrit la norme comportemental du fait de s’arrêter et dans le droite, on voit le rouge comme couleur.

Donc on réagit entre l'inné et l'acquis.

Donc quant on prends ça pour se faire un trip avec cette substance, l'amérindien a une lecture a priori de ce qu'il va vivre. Alors que nous on peut faire une analyse de ce qu'on a pris seulement a posteriori. Nous on va parler de subconscient des trucs propres à notre langage. Le yaari c'est différent. On récupère l'analyse à travers une lecture qui est celle de l'effacement de l'ego dans le monde qui permet le surgissement d'une intelligence corporel qui nous faire découvrir à un nouveau monde. Donc indéniablement, cette drogue amène a considérer qu'on est amené à un déconditionnement culturel. On se libère de sa culture pour entrer dans un monde psychédélique.

 

Donc un occidental ne vivra jamais ce qu'un amérindien vit. Car dans le corps acquis et inné nous sommes tout a fait différent.

Donc d'un point de vue phénoménologique, ce sont deux choses différentes. Le filtre qui nous permet de redonner sens à ce qu'on a vécu est complètement différents : l'effet est le même c'est le sens qui varie.

 

Donc la prise de cette substance vient confirmer la présence des Dieux, des esprits.

 

La véritable vision chamanique : dans les mois de préparation on mobilise une énergie corporel qui atteint son apogée avec la prise du pleyotl. Tout le vécu corporel garantie la transmission d'un savoir. Et une logique de mémoire. Le cycle de termine par le renouvellement du feu. Donc l'absoprtion de psychotrope est une condition social, une maitrise du mental poussé par la culture et que l'inscription dans le corps et nécessaire et maitrisable. On renouvelle la mémoire d'un cultrue expérimenté le savoir de cette culture et son niveau de cohésion social.

 

Conclusion

 

Donc ce concept de yaari maitrisable empiriquement constituer le pilier de la représentation de ce qu'est le cors humain et la santé dans cette culture.

 

Un premier constat : ce qui est valoriser dans cette culture, c'est pas la dégénérescence programmé des tissus des muscles au niveau biologique (on devient vieux, quand on est jeune on est funky) auquel  nous sommes condamné en tant qu'humain, mais inversement c'est la valorisation de la yaari. C'est la la linéarité de la croissance et la décadent, mais c'est la monter en puissance avec le temps qui passe et qui est cyclique du concept de yaari. C'est le concept qui permet de garantir un centre à l'existence qui permet d'être en harmonie avec soi et le monde.

Donc la proté préventive de la pensé chamanique, c'est la yaari. Qui dit gestion de la yarri, c'est gestion de soi même par son propre corps, et sois même avec la collectivité. Donc la santé d'u individu doit correspondre avec la santé du collectif.

 

Donc la yyari est le pilier d'un savoir corporel dans une optique soignante (histoire de la rougeole (enfant mort car déséquilibre en femme et hommes, (sacrifice trop grand pour le feu dans les divinités)

 

La santé : modalité culturellement acquise pour se préparer au mieux à mourir. Antithèse de la perception occidental de la santé qui valorise la perspective biologique.

Chamanisme : préparer au mieux sa mort : si on arrive avec une gestion otpimal de yaari on va mourir dans une condition optimal. Donc gérer la seule certitude qu'ils sont : mourir un jour.

 

(Donc quand on parle de santé international, sans l'apport de savoir comment on récupère la culture, il y a litige.)

 

Donc dans cette culture on valorise pas l’approche curative mais plutôt préventive, et garantisse de leurs point de vue, des prédisposition pour ne pas tomber malade.

 

 

 

Corps inné, cors acquis, corps ans une perspective social et culturel.

Mondialisation, savoir et pratique. Mutilisation, comment une pratique locale se globalise sous l'influence de la culture de la mobilité des personnes. Confrontation entre deux contexte faire surgire une nouvelle réalité ? Oui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEUXIEME PARTIE

 

 

Tupac Katari, leader Aymara. Avant de mourir, il a sorti une phrase emblématique : « je reviendrai et alors serai des millions «

 

L'empire Inca est passé de quelque millions de personne à quelque millier. Mais pour lui, les sociétés ne mourront jamais et reviendrons au max de personne. Bolivie : première démocratie amérindienne. (Morales)

Aujourd'hui les population amérindienne reprennent de l’essor.

Donc renouveau démographique important.

 

La mondialisation est un processus qui entre dans l'intimité de chaque culture et l'expose au regard planétaire. Doc dès qu'on pale de mondialisation, on doit penser se concepte à travers plusieurs dimension : du local au global, de la socitété au politique.

Comment la mondialisation modifie la substance dans ces cultures ?

Les Huichols aujourd'hui prennent position.

 

Savoir médicaux antagoniste :

 

Les grandes université se sont intéressé à enregistrer et dérober les connaissance des communauté indigène comme si ces connaissance leur appartenait de plein gré. Ccci est une prise de position Huichols. Au fond ils disent qu'ils souffrent de pression international du à la mondialisation. C'est de la biopiraterie par rapport à leur connaissance. Des grandes industrie pharmaceutique et les université exproprie ce savoir traditionnel pour le transformer dans la production de médicament qui sont ensuite soumis au marché international. Donc exploitation local pour favoriser une marchandisation globale. Phénomène international qu'on retrouve un peu partout et qui assume des enjeux sensible par rapport au Huichols.

Non seulement ils sont confrontés à l’intrusion mais aussi elle font un effort pour comprendre les mécanisme qui amène de grands industriel à exproprier leur connaissance. Il se profile très clairement d'un point de vue politique. Les enjeux du savoir traditionnel aujourd'hui s'inscriven dans un débat politique international aujourd'hui.

 

Doc. La logique du néolibéralisme prétende que les connaissance des communauté puisse se transformer en simple marchandise qui produisent des gains connaissance au grandes industrie.

Les ressources et les réseaux des sociétés amérindienne vont dans le sens de faire reconnaitre le patrimoine culturel de ces sociétés. « Les plantes ne nous appartiennent pas, mais appartiennent à la mère terre «.

 

Le gouvernement signale sans aucun fondement que les plantes utilisé par les huichols contienne des substance qui cause de grands débat à la santé. Donc manifeste clairement une dépréciation envers le savoir traditionnel. Bien que nous médecin connaissent l'utilisation des plantes médicinal. Donc ceci fait partie de la loi mexicaine qui interdisait l'utilisation de certains plantes.

 

Contre cette posture gouvernemental, les huichols font une déclaration pro active et intervienne sur le débat de la scène politique.  Cette déclaration est très importante. Comme peuple et communauté indigène, nous déclarons l'autonomie de nous communauté pour continuer d'exercer une médecine qui nous appartient dans prohibition des l'état mexicain et pharmaceutique. Donc il affiche clairement de la politique. « nous exigeons de gouvernement qu'il arrête tout ça «

« Nous exigeons aussi la délégation immédiate du décret qui interdit, nous appelons à l'unité des sociétés indigène et tout le secteur de la société civil qui pourrait nous aider «

Donc déclenchement d'une mise en réseau d'une force politique.

 

Donc montée en puissance d'une prise de conscience politique qui a trouvé un terrain terriblement fertile ces dernières années grâce au lien que les sociétés amérindienne entretienne avec des ONG.

Si ces communauté n'ont pas de prise politique au niveau national, ils l'ont au niveau international. Donc il s'efforce de tisser des liens des organisme internationaux pour u'elle puissent ensuite mettre la pression sur ces gouvernement. Donc le Mexique a du revoir sur ces potions à cause de l'ONU et l?unesco.

 

Donc relation entre communauté autochtone avec les grands forums internationaux. Ceux-ci reconnaissent les demandes des population indigène et  ont permis l’émergence de nouvelles forme de vie politique (coopérations, réseau, formation)

Il ont induit des stratégies pour la création d’organisme spécifique d'organisation, de mouvement, de conseil. Aujourd'hui en Amérique Latine, pour comprendre tout réalisé local, on ne peut plus faire l’économique de l'inscrire dans ce réseautage politique international. Donc ces communauté amérindienne se profil comme des politiques qui lutte contre la mondialisation.

 

Voir dia sur les ONG comme l'UNESCO ect.

 

Au Mexique, tout le monde de la consommation illicite et fortement pénalisé. Mais à l’intérieur des ces références juridique, il y a des exception en relation au communauté amérindienne. Donc inscription progressive dans la modernité.

 

Le SALIC est un centre pour les droit des populations indigène d’Amérique qui fait converger tout les demandes et les enjeux de toutes les communauté amérindienne.

 

Problématique de la religion païenne et polythéiste :

 

Nous assistons à l'émergence en Amérique latine et en afrique de nouvelle forme religieuse issut de forme chrétienne et évangélique d'Amérique du Nord. Nous assistions à l'introduction progressive de mouvement évangéliste qui vient faire du prosélytisme au sein des communauté amérindienne et qui veut l’adhésion de ces communauté. Elle véhicule quantité d'argent. Les gens dépourvu de ressource économique en sont sensible donc. Cette religion leur assure la survie. L'introduction de ces différent filière évangélique provoque l'éclatement des cohésion communautaire dans ces sociétés. Le religion catholique est en décroissance importante. Cette décroissance favorise l’émergence d'un pluralisme religieux au niveau des l'état mexicain et aussi dans les société amérindienne. 

Donc la reigion vient modifier ces cultures.

 

 

Tourisme

 

Au Mexique, toutes les formes de tourismes basé sur les peuples indigènes devront se restreindre à des activités qui auront l’approbation des pueblos et communauté impliqués, et qui soient conduites sous leur supervision et contrôle.

Donc les Huichols contrôlent en délimitant des périodes sur l'années dans lequel les touriste peuvent fréquenter la sierra. Donc il sont prêts à recevoir des gens. Et la semaine sainte, la présence de la sierra est fortement monnayé, pour voir le rituel, il faut payer cher. Avec l'argent, il se paye les bête pour le sacrifice des animaux pour permettes au rituel de continuer. Donc ouverture des portes tout en permettant de la perpétuation de cycle.

 

 

 

La mobilité

 

Elle implique que les amérindienne circule de manière importante en amérique latine, au USA et en Europe pour certains.

La plupart travaille en dehors de la sierra, dans les maquis (fabrique de sous traitement issus des grands capitaux USA, pour produire à un coups moindre, fabrique à la chaîne)

Plusieurs Huichols prenne acte de l'importance de l'argent pour aller de l'avant. Donc responsabilise les membres de la familles pour se faire de la tunes dans les maquis (travail pénible et aliénant)

Donc aujourd'hui, une bonne partie de Huichols sont des prolétaires qui travaille beaucoup pour gagner peu et font partie de toute les dérive d'un type d'industrie qu'on connait en Europe. Ces usines de sous traitance sont confronté au dérive d l’économie mondialisé.

Donc les questions de revendication ne concerne pas que des problématiques qui concerne la sauvegarde de leur propre culture, mais des problématique fortement politique, transnational, issue de la mondialisation.

Donc choc qui va bien au dela de leur culture. Le Mexique fait parti d'un marché commun avec les USA et le Canada.

Donc les Huichols qui s'exporte pour travailler dans ces maquis, il y a la question du retour. Les expériences que les personnes vive dans ces franges industriel sont importé dans la socitété amérindienne. Comment on les traite à l'extérieur, ect. Donc véhicule de réflexion et de prise de position relativement important.

 

Ce sont des migrations plus ou moins volontaire, por active, décision familiale. On s'exporte de la sierra pour gagner du cash et en ramener à l'intérieur de la famille. Mais il y a aussi la migrtion forcée. Les gens se déplacent pour survivre. Il y a des conflits conséquent et des guerres civiles. Donc les gens de déplacent à cause de la guerre civil au Guatemala, donc ce déplacement à causer un tas de problème entre communauté amérindienne. Conflit d’intérêt, rapport de tension. Donc déracinement.

 

Conséquence :

 

La mobilités spatiale et ses impacts...voir dia

Donc le déplacement du lieux d'origine vers un autre territoire, vient reconfigurer les modalités de vie, la perception de l'espace ect. Ces communauté définit comme enracinement d'un groupe dans un espace géographique déterminer vive des choses de ouf du fait qu'elle migre.

 

Donc la question politique est au coeur du changement des sociétés amérindienne. Sna sune vision politique de ce qui se passe, on peut pas appréhender le renouvellement incessante des ces communauté. Le politique reste le domaine à partir duquel les amérindienne peuvent se penser à travers leur inscriptions ans la modernité.

Donc moyen qu'une communauté se donne pour sauvegarder leur existence collectif. Mais la mondialisation vient réactivité les pensé sur qui nous sommes et les enjeux dune inscription dans la mondialisation qui les déborde largement.

 

Les Kuna, depuis l' émancipation « du panama vis à vis de la Colombie, se sont fortement profiler d'un point de vue politique pour être reconnu. Lutte politique concrétisé dans la prise de conscience de autogérée dans le renouvellement interne de la culture. Ils ont ouvert un organe non gouvernemental automne plitico administratif. Une deuxième partie du congres s'intéresse la question de la culture Kuna. Donc à l'issus de ces 2 congrès, a été crées un institut, une université autochtone qui promeut la recherche scientifique dans tout les domaines possible. Donc ce qui compte pour les Kuna, c'est favoriser l'émergence d'une élite pour qu'il soit les pilotes de ce changement.

Donc prise de conscience politique qui assure à travers des institutions, le monitorage du passage de la culture local par rapport au enjeux globaux. (allé-retour)

Donc si on s’intéresse au Kuna, on doit passer par ces institua de recherche. Cela implique des problème car main mise sur la production sur ces cultures. Science orienté et dirigé.

 

Autre exemple, l'avancer du Zapatiste à partir du 1er janvier 1994. Le marché entre Canada Mexique et Usa devenait opérationnel.

Emergence d’un mouvement de guérilla amérindien sur la base de revendication politique et culturelle importante. Cette guerilla a transformé les sociétés concernées

On appelle Zapatisme à cause d'Emiliano Zapata. Première révolution qui a destitué un pouvoir casi féodal et qui a rendu l'état mexicain en tant qu'état laique. Donc Zapata est une figure de référence. IL a travaillier pour libérer les communauté amérindienne. L'ambition de ce mouvement a été de renouvellement les portée de la révolution mexicaine pour permettre de sauvegarder se libérer du joug colonial et étatique les société amérindienne.

 

Le mouvement Zapatiste s'est construit à travers la rencontre en un groupe d'intellectuels mexicains, proche de mouvement des guérilla avec les communautés indigène. C'est la rencontre en une idéologie guérilla  latino-américain et des communautés indigènes confrontées à une mondialisation qui menace leur survie matérielle et culturelle.

 

Ce groupe d'intellectuel ont essaie de vivre avec les communautés amérindienne pour construire ensemble une stratégie de sauvegarde de sociétés amérindienne. Donc rencontre .

 

VOIR DIA ZAPATISME

 

Toute ce qui s'est passé au chapas concernait les réalités locale mais s'inscrivier dans le but de faire émerger la révolution local au niveau international. La zapatisme a été une des cause de la relaton entre société amérindienne et organisme planétaire.

 

Apogée de la révolution zapatiste : marche du sud du Mexique jusqu'à Mexico city. Elle a réuni 3 millions de personne. Il débarque  et constitué par l'ensemble des communautés amérindienne. Elle voulait le changement de la constituions mexicaine pour y introduire le faire que le Mexique se réfère à un pluralisme culturel. Car dans le règlement mon parle que de la race sans évoquer les amérindien. Cette marche qui a eu une force de frappe médiatique impressionnante en ce qui concerne la zapatiste. Elle n'a pas pus atteindre son principal objectif qui était que le les peuples indigènes soient reconnus par le congrès mexicain comme sujets collectifs de droit. La constitution du Mexique ne reconnait pas l'indien.

 

On sait d'ou on vient, mais on sait que le monde connu d'hier, isolé de la modernité, doit relever le défi de introduction de la modernité dans la mondialisation.

 

Donc, constitution d'un mouvement panindien et réseaux alter-mondialiste. Permets à ces communauté de survivre sans renier le passé.

 

 

 

Question de la mobilité amérindienne au niveau international :

 

Emergence d'un néo-chamanisme globalisé au niveau planétaire.

 

 

 

 

 

Documentaire sur marchandisation !!

 

Neo-chamanisee : c'est un peu un forme de développement personnel, qui donne à chacun à travers des moyens très variés de trouver des réponses.

Aussi, marchandisation du savoir chamanique. Il y a des enjeux économique majeurs, ouverture d'école, stage ect.

 

IL y a un enjeux éconmique donc, mais aussi thérapeutique.

 

Genèse du neo-chamanisme

 

Contre culture USA, mouvance New Age

Priorité donné à l'action sur la discussion, au concret à l'abstrait, au pratique sur le théorique.

 

Vague migratoire au USA

 

Mythe de la conqete de l'oUest ect VOIR DIA

 

 

Donc il y a des centres d'études, Ecoles et Stage. Donc la logique de l'offre et de la demande transforme le neo-chamanisme en une veritable marchandise, une machine économique dont la logique est utilitariste qui est une récupéraiton du chamanisme.

 

Voir dans l'application de certaine technique traditionnel l'expression même du chamanisme qui serait 10 fois plus compelxe. C'est de la merde. Car c'est de l'anthropologie résiduel. On réduit à la mesure de ce que nous sommes la complexité de l'altérité. C'est pas possible de faire ça. C'est utilisé l'autre pour des besoin qui nous appartiennent.

 

Ces techniques nous amène à dire que le neo-chamanisme dévoile une culture particulière qui dans notre société de consommation relise l’altérité culturelle en les instrumentalisant pour dire ce que l'autre est en fonction de nos besoin.

 

Mais quand même des gens vont de l'avant avec le néo-chamanisme. Il se sort de la galère c'est bénéfique pour eux.

Mais l’analogie avec la question du développement personnel est pertinent. Dey psychothérapie vont dans le sens de la transformation qui concerne la valorisation de l'individu, la valorisation du sujet.

 

 

Conférence sur l'Afrique.

 

Planification familiale. 500 millions de femmes meurent par années dans le monde. Les 2/3 sont des femmes de l'Afrique Subsaharienne.

Aujourd'hui, on a dans l’Afrique subsaharienne 850 millions d'habitant. Dans les années 2020, cette population va surement doubler. On aura peut-être un développement globale (richesse) mais pas au niveau individuel.

L'enjeux global du développement de la population peut être envisager sous plusieurs angle : santé, réforme agraire, éducation.

Qu'es-ce qui cause la mortalité maternelle ? Elle meurt d’hémorragie, d'hypertension, d'affection, de différentes choses liés à l’accouchement (bassin plus étroit que l'enfant)

Il pose la question se savoir donc comment cette mort maternelle se déroule à l'intérieur des services de santé ? (exemple du fumeur)

 

Il s’aperçoit qu'il y a un ensemble de disposition qui construit la monde maternelle.

Le premier est éthique : il n'y a pas de « système expert «  c'est à dire on poste un lettre sans connaitre le postier et elle arrive dans la majorité des cas. A l’hôpital c'est la même chose. On arrive pour se faire opérer, on se fait opérer, on nous met un plâtre et bye bye.

En Afrique, ce système expert n'existe pas, on ne peut pas faire confiance de manière anonyme à la structure. Donc il faut connaitre du monde. Le mec est passé devant toue le monde car il avait des connexion quant il s'est cassé la jambe. Alors au lieu de débarquer, de façon anonyme et attendre comme tout le monde, en mode système expert « en Afrique on fait fonctionner son réseau. J'ai un cousin qui est médecin, je l'appelle pour soigner ma femme. Sinon on peut dire je suis riche je paye et ce la marche. Si j'ai pas d'argent, je ruse. J'arrive à l’hôpital, je m'habille comme un riche et ça peut passer. Sinon on joue sur les parenté à plaisanterie. Donc jeux de nom par alliance. Toi t'es un esclave l'autre dit non c'est toi ect, Un lien d'amitié se créer et donc on est plus totalement anonyme. Plus dans un registre étatique mais quelque chose qui va pouvoir se joeur sur les même code (moi je suis un diarra tu es mon esclave ect.) Donc système assez tendre pas genre t'arrive à la douane t'as pas tes papiers tu rentres chez toi.

 

Quand on est une femme est qu'on arrive en urgence, soit on est connu avant, (recommandé par quelqu'un, on la connait elle est riche ect) on s'occupe d'elle. Sinon elle a pas construit se réseau, et dans bien des cas elle vas rester dans son coin, on ne va pas s'occuper d'elle. Donc laisser une femme accoucher seul, en train de gémir. Donc des femmes décède faut d'avoir été reconnu préalablement dans la structure. Donc problème lié à la reconnaissance. Dans dans ce système, l’éthique est relative : on peut pas tout faire pour tout le monde, alors on fait tout pour certains et rien pour d'autre. Quand c'est ses amis, on fait tout, sinon on se blinde on ne ressent plus rien pour qui sont en dehors sur cercle d'appartenance.

 

Donc quand on est dans l'état, l'éthique est relative en Afrique. (exemple je connais un clochard c'est mon pote je lui donne 1 francs, mais le prochain clochard je le connais pas donc rien car je peux pas donner à tout le monde : éthique relative)

 

Dysfonctionnement de précarité.

 

Un geste n'a pas de sens en soit, mais il du sens à l'intérieur d'un contexte (soupe de Primo Levy).

 

En dehors des objets cognitive, c'est le savoir qui disparait : thermomètre pour prendre la température, on sait s'il y a une infection si la température monte, si on a pas ça, tout le reste du savoir est obsolète. Les objets qui font partit du cadrage médical perdre la signification dans la précarité.

 

Aussi, il n'y a pas de pensée d'un ensemble. Le segment administratif fonctionne tous en fonction de leur propre intérêt et non pas en fonction problème à résoudre.

On a une banque de sang pour pouvoir faire des transfusion si jamais. Si on femme accouche et fait une hémorragie, on va à la banque de sang pour le prendre. Si la femme meurt, on peut pas récupérer le sang. Donc on bout d'un moment il se dise qu'il faut d'abord amener du sang sinon on fait rien.

 

Donc on a 3 points, reconnaissance de l'autre, la précarité et la pensé de sont pont de vue et non pas de l’ensemble. Ceci question anthropologique, des objets technique à l'intérieur la pensée, c'est de anthropologie cognitiviste.

Donc comment améliorer cette situation.

On reconstruit de la personne la ou il n'y a que des diagnostique : exmemple ; arrivé à 14 prisen charge à 15, le médecin n'avait pas de tensiomètre on l'a fait attendre encore 2 heure, les gars n’était toujours pas la et la miss est mort car personne n'en s'est occupé. Donc elle est morte d'un dispositif (qqchose qui est n'importe quoi, c'est à dire par exemple dans les prisons pour comprendre les dispositif carcéral, c'est les barreaux de prison, l’architecture de la prison ect, c'est l'ensemble hétérogène, tout ça c'est le dispositif, un assemblage)

 

Donc assemblage de variable hétérogène, un monde de connaissance, de thermomètre, un arrête de travail non justifié ect, tout ça construit le dispositif de la mort maternelle.

 

L’épidémiologie imagine des causes (ça peut être ceci ou cela), ensuite on construit un questionnaire, on travers le réel avec cette grille et on confirme ou infirme ces choses. Ex : pauvre ou riche meurt ? On remarque que les pauvres meurt plus donc la variable de la richesse est importante. On prends un variable et on la confirme ou infirme par des données statistiques.

 

Mais en anthropo, il y a des variables discontinue : on reconnait qqun dans la structure de santé, on peut pas les imaginer nous même, il faut aller les cherche nous même. ON part par des variables pour aller faire des stats, on va d'abord sur le terrain, on regarde ce qu'on voit, on confirme, on va avoir des dispositif qui ne sont pas prédictible.

 

Donc, il y a tout un ensemble d'auteurs (Foucault dispositif, Satrte ce sont des situations, Ellias société des court) montre comment qqun a une époque est l'addition de qqchose, plus un autre plus un autre. Donc agencement, configuration ect.

 

Donc le coeur de la discipline ce sont pas les petit calcules statistique, mais l'analyse de micro dispositif qui ne sont pas prédictible et qui résiste à l'illusion statistique.

 

Penser le corps et la santé au sein de la mondialisation : Corps et santé : les sociétés africaines :

 

 

Intro :

 

Question de la possession en nous intéressant à des secteur de la société sénégalaise encore rattaché à une religion polythéiste et païenne.

Les rituels de possession relève des problématique de genre. Le monde masculin adhère à la religion musulmane et les femmes restes souvent ancré dans des religions polythéiste qui trouve leurs origine dans les cultures matriarcales. Donc avec l’avènement de l'islam, le pouvoir s'est décentré pour se recentrer sur la genre masculin.

 

Yannick Jaffré nous a beaucoup parlé de mortalité ect.

 

Aujourd'hui, on va faire une réflexion sur la question des santés mentales.

 

En Afrique, chaque fois qu'on est confronté à une étiologie de la possession. L'esprit habite entièrement la personne et comment la soigner ? Nous interroger sur les conduites humaine par rapport à ça.

 

Faire dialoguer des savoirs scientifiquement fondée sur la psychiatrie et des savoir qui vienne d’Afrique. Donc émergence d'une discipline qui est l'ethnopsychiatrie : partir d'une posture occidentale, de redonner un sens à certaine culture. Donc donner un espace d'un médiation possible entre la diversité culturelle et l'approche occidentale (à peu près)

 

 

Étiologies et système de santé :

 

Documentaire : une jeune femme accouche et n'arrive pas à s'occuper de son enfant.

Elle a un rêve qui la renvoie à sa culture d’origine qui déplace le symptôme à caractère psychique vers la possession.

On verra que les mêmes symptômes peuvent être interprété de manière très différente selon la posture qu'on adopte.

On est confronté donc à

 

1)      l'expression des symptômes comme processus culturellement exprimé, déterminé et interprété.

2)      Comment on arrive à faire dialoguer les 2 univers en tensions, mais qui traite de la même problématique : comment la perspective des psychiatre occidentaux fait que leurs attitute pragmatique qui conduit à l'ethnopsychiatrie :

3)      Il y a un résultat concret de traitement par la  possession : donc efficacité symbolique de la thérapie et l'effet placebo :

 

IL y a imbrication entre la problématique de soin et les question qui relève de la religion et de la sipirtualité. (soin pas dissociable de la relgion chez les Huichols).

La on est dans le cas ou la place du sacré et des cultes des ancêtres dans les rituels de guérison est centrale.

 

Il y a une médiation traditionnelle dans le traitement des maladie biologique et mentale. Donc perspective occidental qui aide à traiter ces maladies.

Nous sommes confronté à une double interaction dans ces rituel. Un guérisseur pratique une médecine divine. C'est pas lui qui soigne mais l'esprit qui l'habite qui soigne les personnes. Sa compétence lui est donner par son esprits, des esprits ancestraux qui intervienne dans des situations humaine et terrestre.

 

Etiologie

 

La notion d'étiologie, de la quête de la cause d'un problème, est universelle. « Nul ne doute que la causalité est le plus vieux thème et le plus épais dossier de l'anthropologie de la maladie «. Zempleni

 

La référence à une cause serait donc constitutive de la réalité social de la notion même de maladie.

 

Difficile de comprendre un soin s'il on  l'inscrit pas dans un contexte plus large sociale et culturelle dans lequel cette recherche de causalité s’installe.

 

 

Thérapie : Etymologie : celle ci ne fait que renforcer l'indétermination du terme. Elle renvoie à l'action de prendre soin. Servir, honorer, et cela aussi bien des dieux que des hommes des animaux ou des champs agricole. Acte qui honore l'existence de tout le cosmos. Donc plus un acte ratacché en posture humaine qu'en finalité elle même.

Cette polysémie n'est vraisemblablement pas l'effet d'une confusion mais le reflet d'une réalité culturelle et psychologique ( si les humains vont mal, c'est que l'autre monde (dieux, esprit va mal), réalité pour laquelle les désordres affectant les humains ne peuvent trouver un sens qu'en référance aux ordre d'un monde autres. )

 

 

En aanthropo, on a souvent séparé chamanisme et possession : chamanisme : quête volontaire des humaines pour accéder un à niveau autres. Donc logique pro-active.

Possession : l'humain subit la possession qui a emprise sur lui.

 

Depuis 1999, Berrtand Hell a réussi à déconstruit la généalogie qui a peu déterminé ces 3 choses comme différente. Or, il propose une lecture différente : médiation entre être humain et esprits, sous des formes plurielles. Ce qui compte c'est la perméabilité des mondes.

 

Dans le documentaire, il y a pas mal la perspective de transe : Selon Bastide, la possession c'est briser la résistance du corps pour le rendre cheval docile à la volonté du cavalier divin «

 

Donc la maitrise que peut avoir un être humain sur son propre corps est totalement annulé.

L'être humain n'est que l'opérateur de la manifestation de cette esprit.

 

Dans l'optique locale, c'est un corps qui baisse toute sa résistance et laisse surgir l'esprit (selon nous c'est des possédés.

 

Dans la culture wolof ou je sais pas quoi, on socialiste le corps.Le cors n'est pas du tout biologique. On parle pas du corps mais de la personnalité d'une personne qui se composte de différents référentiel

 

Une force vital, par un esprit ancestral, le respect pudique, une mesure de ce qui est faisable ou pas faisable qui règle la tolérance et la honte, la tempérance..

 

Donc dans ce contexte culturelle, le corps s'exprime par des balance qui s'exprime culturellement. Chaque problème du corps et interprété à travers ça.

 

La perception de ce qui est un être humain est impensable sans penser à son double (le rab). Si une personne en tant qu'être humain appartient a une généalogie d'être humain (mère ect), le rab obéisse au même mécanisme. Histoire de famille d'esprit qui s'incarne dans les 'e^tre humain. Donc généalogie parallèle à celle des être humain (voir DIA)

 

L'intérêt est rattaché à une expression potentielle de l'être humain.

Selon Le Breton, il n'y a ni vérité, ni erreur mais seulement des univers symbolique.en équation (VOIR DIA IMPORTANT) Liens social, la guérison lie toute la communauté.

 

Documentaire :

 

La maladie mentel provient de l’extérieur . Le sujet est agressé par un autre être humain.

Le malade peut être aussi agressé pas par un être humain mais par un esprit. (rab qu'est l'esprit des ancestre. IL se fâche est appairait peut après la maladie mentale. (RAB : système d'interprétation culturelle)

 

Phase ou le rab est reconnu. On le nomme et on le classe.

Ensuite on fait déscendre le rab du coprs du sujet jusque dans la terre pour l'y fixer.

Ensuite face du sacrifice, mort symolique de patient, mort réelle de l'animal sacrfié et donc passage de l'esprit du malade à l'animal

Ensuite fixation du rab dans un lieu donner ou lui sera donné des sacrifices ultérieurment.

Le odub est une thérapie de groupe. C'est un rituelle bénéfician à toute un tissue social

On  chasse pas l'esprit, mais on ele fait venir pour qu'il fasse part de ses exigence.

 

ON identifie le rab. Cela sert à le socialisé, savoir d'ou il vient à qui il est marié o uje sais pas quoi.

 

C'est un rituel initiatique d'une efficacité symbolique (on couvre la femme, c'est sa mort, après on la réintègre, c'est une visé thérapeutique, la femme renait symboliquement après le chant ) Le rab passe du corps de la malade aux animaux du sacriice. Elle enjambe les animaux et parès on sacrifie les animaux.

 

Le guérisseur dialogue avec son rab pendant son sommeil.

C'est le rab qui guérit et non pas le guérisseur.

 

Un malade guéri, donne la preuve de sa force, contrairement en occident.

 

Le rab appartient uniquement au système matrilinéaire.

 

Prof :

 

Il y a des symptôme culturellement interprété. Possession par un rab alors qu'en occident problème psychologique.

 

Toute la thérapeutique vise à traiter la potentialité de l'action du rab. Un crachat de lait caillier est le fait de donner de la nourriture au rab,avant qu'il se nourrisse du sang de ses règles afin de le rendre moins agressif.

Quel est la méthode diagnostique de nommer le rab ? Ce sont les rythme, la musique. On a de l'ethno musicologie. C'est pas seulement la question de faire bouger les corps, mais un outils clinique pour repérer le type de rab. A quelle type de rythme musical le rab réagit. A travers un rythme particulier, on sait à qui on a affaire, à qui on doit s'adresser pour résoudre le problème de la personne. La musique comme outil thérapeutique, elle est un outil de soin. Elle est présente tout le long du rituel.

 

IL y a aussi un rapport entre un individu qui souffre et la communauté. La famille élargie est appelé à participer au rituel. La question de concerne pas que l'individu mais la famille. Elle montre la nécessite de travailler avec l'individu. Cela notamment à travers le coup financier qui est conséquent. L'investissement délibéré et volontaire de la famille se traduit par les ressource économique qui permettra le déroulement du rituel. Achat des animaux pour nourrir la famille pendant une semaine (50 personnes dans la famille élargie , la paye de guérisseur. Ect.

Ici il n'y a pas le même mécanisme. La bas, un seul personne va mal et il faut soigner entièreté du groupe familiale élargie. En occident, quand un malade souffre (mentalement), on s’intéresse à la singularité de la personne et on se concentre exclusivement sur cette personne la.

En Afrique, il y a une déresponsabilisation de la personne qui soufre. La cause n'est pas intrinsèque à elle même mais relève d'une volonté traduit en action des esprits, et à la famille.

En occident, quand on a problème psychologique, on travail sur l'histoire de la personne. En Afrique, la personne directement concerné est totalement déresponsabilisé dans la logique du rituel. On s'intéresse sur le groupe et sur l'esprit.,

Le sang est le médiateur entre le monde des humains et le monde des esprits. C'est un catalyseur de la liaison avec l'esprit. La construction de l’hôtel dans lequel va siéger le rab. Lieu d'un lien imprévisible et continue entre la personne et son esprit.

 

Le reve appartient au corps humain. C'est une expérience universelle. Ce qui diffère, c'est l'interprétation que l'on en fait. Toute les perception que nous avons introduit de manière inconscient dans notre esprit et notre corps. Le rêve dans une perspective psychanalytique et le frottement de perception conscient et inconscient. En occident, c'est une expérience singulière de individu. Dans le contexte africain, interprétation du rêve le transforme dans un canal de médiation avec le monde des esprits, le rab qui constitue notre double.

Renvi au corps inné et corps acquis.

 

Impacte d'un rituel pareil :

 

Toute la semaine, la personne soignée est constamment avec des gens, elle a une expérience sensitive continue, donc une expérience du corps.

 

L'effet placebo : variable parasitaire de la rigueur méthodologique. Quand on valide un médicament, on agit par groupe de contrôle. On constitue un échantillon de personne qui ont le même problème, on les sépare en groupe. A un groupe on donne le médicament et on dit qu'il agit ainsi, et l'autre on leur dit qu'on donne leur dit la même chose au autres sauf qu'on leur donne un médicament innéficasse. La croyance au soin du médicament agit beaucoup plus que le médicament lui même. Car le groupe à qui on a donner un truc inoffensif guérit mieux que le groupe auquel on est donner le vrai médicament. C'est comme ça qu'on valide un médicament.

 

La problématique de la croyance est donc centrale. Si on croit que quelque chose peut nous faire du bien, ça déclenche un processus d'auto guérison.

Dans les sociétés africain ou amérindienne, la croyance constitue le socle de guérison. On construit la dessus pour donne rune réponse à une problème thérapeutique donné.

Donc la croyance en une guérison fait de l'autoguérison. C'est de l’efficacité symbolique. Il a été crée à la fin des années 50 quand on parlait de l'idée qu'il y a une relation entre les phénomènes mentaux et les réponses a niveau du corps pour dénouer des problèmes du pathologique. Donc suivant le contexte dans lequel on est inscrit, cela nous aide à trouver des problèmes.

 

Voir dia le breton et Lévi-Strauss sur la capacité symbolique.

 

Jaffré, on s’intéresse sur ce qui se passe à l'hopital.

 

Aujourd'hui on a fait santé mentale. Semaine prochaine : panorama plus complets sur ce qu'on peut mettre dans la logique d'offre et de demande.

 

06.12.2011

 

Aujourd'hui on va voir comment la médecine traditionnel utilise des révérenciel scientifique pour légitimer leur propre travail.

En Afrique, on forme pas de professionnel de la santé pour répondre à ces problématique.

La problématique de la santé en Afrique est systémique des enjeux de la santé en Europe.

L'Europe de l'est fait appel à des médecins d'Afrique ce qui vide le pays de leur professionnel.

Bon les occidentaux vise interdiction de la migration des professionnel.

 

Bref, en Afrique existe très peur de ressource dans le domaine de la médecine scientifique. Peu de médecin , peu d'infirmier. (1 médecins pour 40000 habitants).

Densité très très faible.

Aussi, il y a un manque de ressource économique. Bien qu'elle existe, elle n'on pas la bonne direction politique. Dans la santé on investit très peu. Donc enjeux économique de santé paradoxaux..

 

Aussi la question de l’épidémiologie qui vise à montrer clairement comment la problématique de maladie infectieuse est la prioritaire dans le domaine de la santé publique.

La Tuberculose et le paludisme font 2 millions de mort par années en Afrique. Le sida en tue encore plus.

La présence des maladies est aussi un enjeux de société et politique majeur. Donc les questions de santé on des répercussion sur les stratégies politique pour la gouvernance.

Il y a aussi des grandes épidémie et l'émergence de pathologie gravissime dans la planète et qui touche l’Afrique. En Afrique de l'ouest il y a des fièvres foudroyante qui provoque la mort en 48h.

L'Afrique constitue aujourd'hui une précocupation majeur dans le cadre d'une politique sanitaire international de l'oMS.

L'enjeux contemporain est la mobilité. N'oublions pas la mobilité des pathologie, comme le phénomène d'internationalisation de la maladie. En Afrique il y a des foyer majeur de maladie qui préoccupe la communauté internationale.

 

Donc aujourd'hui il y a un déséquilibre immense entre le nord et le sud en terme de foyer pathologique..La semaine passé, on a vu comment des rituels mettent processus  thérapeutique qui soigne la personne. Mais c'était un exemple ciblé (dans le domaine de la santé mentale).

Les rituels ne peuvent pas répondre de manière approprié à toute la pathologique aujourd'hui en Afrique.

Or, la santé en Afrique doit répondre à d'autre type de défit que nous venons d'énumérer.

Ce qui est probant à l'heure actuelle, c'est les systèmes institué en Afrique et sur à l'ouest de l’Afrique sont loin d'être capable d'assurer les défis sanitaire que ce continent véhicule. Manque d'accès générale aux soins (contrairement à l'occident). Très peu de médecin en Afrique veulent travailler dans les milieux ruraux. Jaffré a fait des enquêtes dans les milieux urbain, les grandes villes. Aujourd'hui on va voir ce qui se passe dans le milieu rurale. Très peu de médecin décide d'aller y travailler.

IL y a aussi un manque de soutient des politiciens en Afrique. Les élites politiques ne s'occupe pas des problème de santé et délègue ça aux ONG qui sont appeler à intervenir sur le terrain. Preuve en est que le combat du VIH en Afrique est géré pas un fondation nord-américaine, et notamment Billes Gates et sa femmes qui investisse les milliard de dollar dans la prise en charge des 3 grandes pathologies (malaria, tuberculose, sida).

 

Olivier de sSrdan : La santé des une des grandes victimes des années de l'ajustement structurel enAfrique (période de transition qui leur on permis de se libérer du joug colonial pour devenir des états nations autonome capable de s'auto gouverner)

 

L'Afrique a payer très cher cette ajustement. Car la santé avait été construite par les grandes nations (belgique et France) sur le système occidentaux. On a essayer un peu de cloner le système occidentale. OR dans la configuration Africaine, la santé a perdu énormément. Il y a 2 grands facteurs explicatif qui vienne argumenter ce crash de la santé. Économique et culturel.

L'insuffisante des moyens humaine, la pénurie du manque de structure pour l'économique.

D'autre part, la culturel local fortement incriminé, qui véhicule des représentation et pratiques populaire, des habitudes qui dissuader le malade de se rendre dans les structures de santé.

La perception de la bio médecine est revu à la baisse. La bio médecine représente aux yeux de plusieurs africain un héritage propre au colonialisme occidental.e Donc La médecine n'est pas un instrument, mais un lien  rattaché à l’acculturation. Donc ressenti comme héritage de l'occident qui ne fait pas partie intégrante de la réalité africaine.

Certains africaine prenne acte de la pertinence de la légitimé de la médecine occidental, il y a des institut de recherche est de médecin en Afrique. Mais de manière général, ils considère ça comme un processus historique qui leurs a permis de s’affranchir du jour occidental pour chercher l'autonomie politique et culturel.

 

 

La question des système d'expertise occidentaux (indépendamment de qui on est, on es pris en charge par les professionnel et prends tout et chacun de la même manière alors qu'en Afrique, ce sont les liens, la personne qu'on est, notre réseau, fait partie de manière structurel de la réalité locale.

On voit émerger une problématique majeurs, celui de la culture du copinage, de la fraternité, de la corruption qui sont valable en Afrique. SI on additionne tout ça, nous sommes confronté à de grands problème.

 

ODS insiste sur le constat qui il y a les comportement inappropriés 'dune grand partie des personnel de santé, leur manquements à la déontologie, leur mépris des malade VOIR DIA ABSOUMENT

 La médecine tel que nous la vivons dans le contexte occidentale, nous la retrouvons pas en Afrique.

 

L'OMS dans un rapport, vise a promouvoir des réformes autour de la couverture universel avec que les structures de santé permette l'accès au soin. Aussi, les prestations de services (comment changer la mentalité des médecins). Aussi pour lutter des maladies, il faut tenir comte de ce que sont les ressource locale. Elle veut assurer des services de soin primaire en articulant la stratégie de la médecine traditionnel ou local. Donc elle veut tenir compte de comment vive les gens, leurs révérenciel. Donc forte idéologie qui vise à combiner de la manière la plus cohérente des compétences médicale variable entre elles qui sont appelé à dialoguer et à se concerter en vue de répondre au problématique locale.

Mais depuis quand l'OMS s'intéresse aux médecines traditionnelles.

 

1978, L'oms prends acte de la propagation de la médecine scientifique partout dans le monde n'est pas possible. La médecine scientifique coute cher. Il y a aussi de la résistance culture, et plus que ça, c'est la relation entre une vison du monde, de la société avec l’introduction progressive qui véhicule une vison de la vie particulière (médecine laïque, rationnel, technologisé, sujet plus important que la collectivité qu'on ne peut pas valider universellement partout dans le monde)..           

 

Donc définition de la médecine traditionnel de l'OMS (VOIR DIA) Banerman

On considère les médecines traditionnelles comme facteur incomplet de la perception scientifique (jugement de valeur) 1983

 

2002 nouvelle définition VOIR DIA !! ON reconnait les pertinence de système médicaux à part entière. Donc il n'y pas une seul société ou la médecine scientifique n'est pas présente.Mais les médecines autres sont bien présente dans les tissus sociale et l'offre et la demande thérapeutique.

 

L'OMS essaie de faciliter la médecine traditionnel au système de soin scientifique. Elle publie les directive concernant la création de produit issus des médecines traditionnel. Elle valorise la recherche afin de comprendre la porté. et la pertinence de toute la médecine traditionnelle qui ne relève pas de la science. Elle crée un bipolarité entre les stratégies promu par science et le camp des médecine traditionnel.

 

Mais elle a poser des limites clairs sur la pertinence de l’efficacité de certaine médecine traditionnel. Donc on défends ces médecines à condition qu'elle on pas une impacte négative sur la santé, qu'elle soigne efficacement. Donc sélection interne au sein de ce champ multiple.

SI les médecine traditionnel se plie à ça, l'oms est pret à augmenté la faisabilité de ces système de santé traditionnel. Elle vise à l'utilisation rationnel de ces médecine trad.

 

 

Ou en sommes nous en Afrique de l'ouest alors avec ces médecines trad ? Par la mobilité sont elle en train de fairr émerger de nouvelle logique de quête de légitimité, de pratique ?

 

ON a voir l'exemple de 2 médicament.

Le premier fortement promu aux Sénégal répond plus à des enjeux politique, puissance politique de certaine perspective thérapeutique.

 

On a reconnu cette plante comme un remède scientifique (plante éreide ou je sais pas quoi).

 

Histoire de cette plante :

 

Un guérisseur « banal «, local/gobal, un médecin qui a prône l'ouverture de cette plante au niveau globale.

Cette plante est particulière. Condition spécial de cueillette (temps, moment, saison).

Donc Mamadou pense que c'est un remède polyvalent pour combattre cancer, sida, folie, impuissance, tout ça tout ça. Donc beaucoup de maladie qui touche l’Afrique.

La conviction pour cette homme que cette plante lave le sang.

 

Quels sont les stratégie qui ont amené à considérer cette plante comme un remède ?

 

Expérimentation animal (comme en occident), il a soigné un mouton, il a fait une expérimentation personnel avec la plante. On reporte la guérison spectaculaire d'homme et femme grâce à sa plante sans que cela soit documenté.

Donc il veut faire connaitre au monde cette plante (pour ganger du cash notamment). Mais il lui manque encore la validation scientifique s'il veut globaliser cette plante. Donc une découverte locale ne peut assumer une légitimé dans une reconnaissance global qui passe la un resautage qui légitimie progressivement cette plante.

 

Bertrand Taverne a essayer de restituer le parcours de Mamadou.

Etude bidon des l’hôpital du sud de Dakar qui a dit qu'elle était bonne pour la santé.

Ensuite médiatisation, témoignage de patient, qui ont légitimer la plante comme ressource sénégalaise qui sert à combattre les fléaux sénégalais. Donc ancrage culturel africain et d'une revendication politique. La science (prolongement du colonialisme) ne peut que valider cette plante.

Donc le guérisseur sénégalais d'aujourd'hui n'est pas le même que celui de la tradition ancestral (vu dans le documentaire l'autre jour). (culture de la mobilité)

(mais en fait la plante de sert à rien (apparemment), et la procédure que Mamadou a adopté est analogie avec( sans la rigueur scientifique) est en analogie avec la procédure scientifique. Donc réseau d'influence qui légitime un produit au niveau national. Tous les acteurs africain convergent vers tel produit comme on fait en occident quand on veut légitimer un médicament (enfin je crois).

 

 

PROMETRA (VOIR DIA)

 

Le dodu qu'on a vu la semaine passé surfe sur la vague de Collomb : faire dialoguer savoir scientifique et savoir traditionnel.

Donc deux formes de soins qui cohabite dans l'espace social. Prometra devient une ONG en 1996.

Elle va déborder la réalité sénégalaise pour avoir une impacte mondiale.

Voir définition dans la diapositif.

 

L’occident a ses compétences médicale et l’Afrique ses médecines traditionnel et endogène. Donc renouveau de la dignité africaine dans le domaine de santé promu par cette ONG.

ON promouvoir ça à travers la recherche scientifique dans les systèmes médicaux traditionnel.

La science médical doit être capable de légitimer ces systèmes traditionnel. Ils veulent concilier inconciliable par l’éducation, la formation, l'échange scientifique, spirituel.

 

Le promoteur de prometra est  Eric Gbodossou.

Il a une légitimité traditionnel (initié vaudou, guérisseur béninois ect) et scientifique (études médicale à Dakar, professeur, gynécologue et psychiatre).

Il a aussi un cabinet de médecin généraliste.

Il promeut un contestation de l'ordre biomédicale dans les problématique de santé.

Ces deux légitimité deviennent une est seul comme président de promettra.

 

Militer pour la légalisation des médecines traditionnels (reconnu au niveau de l'état).

Stratégie fédératrice de labélisation qui fait qu'elle est présente dans 24 pays en Afrique, contact avec tous les systèmes médicaux non scientifique partout dans le monde (amérindien, asiatique ect.)

Elle se présente comme un instance très légitime su les question de médecine traditionnelle.

Elle a des stratégie de communication médiatique impressionnante qui font qu'elle peut compter sur un resau de journaliste spécialisé, aussi sur le net, des films, des articles.

 

En Europe, grands succès. Faire valoir d'un humaniste et révolte anticoloniale au sein des altermondialiste.

 

Pour le prof, ONG qui et afro centriste. Véhicule des idéologie particulière. Beaceau de l'humanité, elle a été vidé par les colons. Donc il faut faire valoir la dignité et la compétence africain.

Donc reprise en main de leur histoire par les africain (donc la science de l'occident s'introduit dans leur culture). Renaissance africain sur une idéologie millénariste. Ect.

 

Donc ces exemple nous montre que les réaliser local s'articule avec des enjeux globaux, que la problématique science et tradition faire parti de la vison africaine.

Le terme traditionnel doit être substitué par savoir local voir savoir local globaliser (VOIR DIA)

L'utilité d'une tradition et de fournir aux présent une caution pour ce qu'elle « ON l'utilise pur gérer les enjeux de la contemporanéité.

Donc déconstruire tout ça. La tradition est toujours inventée. Valoriser l'identité panafricaine. Donc al santé devient un enjeux majeur pour répondre au question de santé, mais aussi lié à la culture.

 

En Afrique on assiste à l'introduction progressive des chinois (soutient technique, ingénierie, santé gouvernance publique). Ils veulent introduire en africain tout ce qui relève de leur propre médecine traditionnel chinoise.

 

Doc :

 

Comme partout, l'espace clinique est un espace social. La médecine s'inscrit toujours dans une société. Les normes, valeurs, comportement et communication fait partie intégrante ce qu'est une pratique médicale. Médecine africaine (rapport de genre, agressivité)

 

Toutes une série de problème médicaux dont la médecine occidental est la plus pertinente à répondre (bras cassé, accouchement).

L'oeuvre d'un médecin n'est pas seulement la consultation mais aussi l'oeuvre d0une société toute entière (prévention sida lors des fête maliennes, le médecin qui va au puits au marché pour dire que l'eau est pollué, donc le médecin est un acteur social importante)

 

L'articulation entre les ressources locales en compétence médical et la médecine scientifique.

Vente de médicaments clandestin, on les prends en fonction des couleurs.

Aussi qui décide quand on doit s'adresser au médecin formel (père qui dècide que la miss qui a une jambe malade doit se soigner avec la médecine traditionnel du père)

 

Ces professionnels reçoivent une paye minimal par moi et reçoivent une paye en fonction du nombre de personne qu'il soigent. Mais avant d’être un médecin, c'est un acteur de cette société.

Coopérative communautaire par les pouvoirs politique des cette zone qui permet la création d'un centre et son operationalisation.

La médecine traditionnelle n'est pas apte à répondre à toutes les problématique.

Il y a une frange entre ce que fait la médecine et les ressource locale. Des gars utilises quand même des médicaments.

Mais bon le doc dans le documentaire intervient dans la médecine traditionnelle seulement lorsqu'il reconnait ces limites de ces médecines traditionnelles.

Comment articuler les programme de politiques d'aides par rapport à la rélité locale. C'est l'enjeux.

Comment mobiliser la société civile contre le VIH par exemple. En Amrique latine, on part des réalités locales à travers la démocratie participative pour entreprendre des réformes.

 

Conclusion sur le panorama de la santé international en Afrique

 

En Afrique on forme des médecins. Mais il y a pénurie car lsa santé est devenu un marché globalisé et la statu de médecin ne sont pas en Afrique.

Plus de 50 % des médecins en GB sont originaire de l'étrangers par exemple.

Toues les ressources qu'on forme en Afrique vont donc servir les systèmes occidentaux (dans leur majorité.)

Donc exploration progressive des compétences médicale et soignante africaine vers d'autres pays.

 

Voir dia des pourcentage afrianne qui s'exporte

 

Des pays ont plus de 50 % de leur médecin qui s'exporte ailleurs. (pays dérisoire, condition de taf ect). Le marché européen les attires alors que l’Afrique en a fortement besoin.

Les ONG ont pris de ces flux migratoire et on dicté des règles déontologique pour que les professionnel de l’Afrique reste taffer dans leurs pays. Mais es-ce juste de leur imposer de rester dans leurs pays car l’Afrique des des problèmes de santé, notamment lié à la politique ?

Donc situation qui doit être vu de manière plus globale. Car liberté individuelle au sein de la mondialisation qui pose cette question. En Afrique, la bonne conscience de l'occident va primer sur les libertés individuelles des médecins locaux.

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