COMMENTAIRE COMPOSE: "Le Chant de la petite hypertrophique, Jules Laforgue, le sanglot de la Terre

CORPUS corrigé Texte A: "Le Chant de la petite hypertrophique" LAPHORGUE Jules, le sanglot de la Terre, 1901. Texte B: «Notre vie ..., Paul Eluard, Le Temps déborde, 1947. Texte C: "Chaque nuit, Louis Aragon, roman inachevé, 1956. Devoirs n ° 1 objet d'étude: la poésie CORPUS Texte A: "Le Chant de la petite hypertrophique" LAPHORGUE Jules, le sanglot de la Terre, 1901. Texte B: «Notre vie ..., Paul Eluard, Le Temps déborde, 1947. Texte C: "Chaque nuit, Louis Aragon, roman inachevé, 1956. QUESTION DE CORPUS Le corpus que nous étudions se compose de trois poèmes qui traitent de tous les thèmes de la perte d'un être cher. Le premier provient d'une collection de Jules Laforgue, le sanglot de la terre écrit en 1901 intitulé «Le Chant de la petite hypertrophique. C'est l'histoire d'un enfant avec la maladie de l'hypertrophie qui raconte son malheur et le désir de trouver sa mère morte . Le second est un extrait du livre Le Temps déborde Paul Eluard publié en 1947. Le poème "Notre vie est basée sur les expériences de l'auteur, la mort de sa petite amie Nush. Il est donc la description de ce qu'il ressent depuis le jour de cette perte. Le dernier, "Toute la nuit" est tirée du livre Le roman inachevé de Paul Eluard, écrite en 1947. L'auteur se souvient de la terrible nuit, en 1938, il a passé assurer sa compagne et son inspiration Elsa Triolet, gravement malade. Ces poèmes traitent avec les trois de la mort d'un être cher. C'est la mère du narrateur dans "Le Chant de la petite hypertrophique« et de son compagnon dans "Notre vie ..." et "Une nuit entière." En outre, les trois histoires sont des événements réels. En effet, la mère de Laforgue meurt d'une pneumonie quand il avait dix-sept ans et Eluard et d'Aragon ont respectivement perdu leur compagnon. La vision n'est donc pas le même puisque c'est le point de vue d'un enfant dans le premier poème. Ce qui distingue les poèmes d'Eluard et d'Aragon celle de Laforgue est certainement l'âge auquel cette tragédie est survenue et le point de vue qu'ils ont écrit. Ainsi, ces deux premiers ont vécu dans un temps assez matures et d'exprimer ce qu'ils ont ressenti leur douleur et plus particulièrement: "Chaque soir, je pensais que mon âme était mort" d'environ 9 dans le poème "A toute la nuit«, «Dead Nush invisible visible et visible que la soif et la faim dans mon corps épuisé «dans le poème« Notre vie .... " Au contraire, la poésie de Laforgue a été écrit du point de vue d'un adolescent qui a perdu sa mère. C'est pourquoi la douleur se fait sentir au moins. En fait, je narrateur exprime le désir de voir sa mère, les disparus: "Je veux y aller ...." dodo z'avec-il juste ' Mais la condition du narrateur n'est pas le même que celui de l'auteur car il ne souffre pas de la maladie de l'hypertrophie et que sa mère mourut d'une pneumonie. Ces textes portent sur les apparences des mêmes thèmes, mais des vues différentes. L'effet recherché n'est pas la même et donc les sentiments du joueur diffère. COMMENTAIRE COMPOSE: "Le Chant de la petite hypertrophique, Jules Laforgue, le sanglot de la Terre L'écriture a souvent été un remède pour les auteurs. Formulaire de l'autobiographie comme Tanguy Michel Del Castillo est apparu en 1996, décrivant leurs conditions de vie dans les camps de concentration ou au moyen de la collection de poésie publié en 1834 Les Contemplations, écrit par Victor Hugo après la mort de sa fille Léopoldine. Ainsi, Jules Laforgue en 1901 a publié le livre La Terre Sanglot dans ce qui est "Le Chant de la petite hypertrophique. Ainsi, partager ce poème de l'auteur a été en mesure d'extérioriser ce qu'il ressentait quand il a perdu sa mère. Le poème est l'histoire d'un malade enfant qui a perdu sa mère et nous raconte les difficultés de la vie et la maladie. Laforgue comment il aborde la suite de la mort et la maladie à un enfant? travers la lecture de versets, le lecteur se rend compte que cet enfant grandit malade et qui entoure la maladie double . L'objectif principal de l'auteur parle à un enfant. Cela est évident dans le titre du poème «Le Chant de la petite hypertrophique. Même sans le titre, il n'est pas difficile pour le lecteur de remarquer que ce ne sera pas sous la forme du poème. Cet enfant est naïf et n'est pas . exprimé d'une manière classique Ainsi, le vocabulaire est familier et vous inscrire très enfantin "dodo" et les tournures de phrases: "(...) C'est stupide. Mais le soleil, je ne sais pas (...) «. L'absence de sa mère depuis sa mort est constamment cité. Il partage avec nous la perte de la toute première phrase de la première strophe: ".. Il s'agit d'un mort« Quelle est la maladie cardiaque (...) ma pauvre mère Certains liens mentionnés ne sont pas exacts et sont souvent réalisés par de jeunes enfants: "( ...) Fair 'dodo z'avec il. "En outre, le terme« maman «qui est toujours le premier nom par lequel les enfants très jeunes parlent de leur mère, se retrouvent toutes les fins de strophes:« Maman m'appelle. "La ponctuation est aussi très marquée depuis les points d'exclamation sont régulières. Par ailleurs, le poème est fait sous la forme d'une chanson comme le suggère le titre ce qui pourrait être pensé aux gémissements des enfants à leur guise. Tout au long du texte, l'enfant grandit. Le lecteur pourrait penser que la première partie de ce poème est en fait seulement sentir lorsque l'auteur a perdu sa mère quand il était enfant et la deuxième partie de ce qu'il a compris quand ils sont mûrs. Au début de la chanson, l'enfant est sûr de trouver sa mère à l'utilisation de l'avenir dans les versets 6 et 7: "(...) Et je vais là-bas, Fair 'dodo z'avec il ensuite.. vers le milieu du poème, l'enfant commence à réfléchir à force d'attendre pour rejoindre sa mère et de la métaphore: «Mais le soleil, je sais, un coeur coulant M'semble! "Made il clair pour le lecteur commence à douter. Le mot« ruissellement «fait référence au sang et donc la souffrance. Qu'est-ce qu'il se sent partie de cette perte. Et un enfant voit le soleil comme quelque chose qui ne meurt jamais et ne meurt jamais. Cela signifie donc que il souffre de la même façon que le soleil ne meurent jamais Parce qu'il ne peut pas trouver sa mère est dans la dernière phrase que l'enfant comprend qu'il ne sera certainement pas trouver une mère:.. «Hé, Maman, tu m'appelles? . Il s'agit d'un enfant grandit. En plus de cette prise de conscience, le jeune patient comprend que tout est contre lui. Ce monde n'est pas pour lui et il est inconcevable pour un enfant. Tout enfant peut normalement s'inscrire dans un monde tel qu'il est conçu pour cela. Il est plus difficile pour un enfant de connaître la mort d'un parent quand il est malade et la mort de son parent en raison de la même maladie que lui. Little est atteint double maladie hypertrophique. Il souffre tant, puis deux fois plus intense. Sa douleur est d'abord physique et les premiers symptômes sont des palpitations, ils n'arrêtent pas de dire que son coeur bat. Cela semble inhabituel que tous les coeurs battent sans que cela soit nécessaire de le mentionner. En outre, il est clair que les temps de répéter plusieurs signifie qu'il a un mal être. En outre, il ne supporte pas l'effort parce que nous voyons que lors de la marche dans les rues il ne se sent pas bien: «Je ne peux pas respirer, je chancelle, il ne chauffe pas, car cela signifie que le soleil est toujours le coeur battant que c'est!. à-dire que ses palpitations lui reprendre. L'élargissement signifie également une croissance excessive d'un sentiment, qui est le cas de notre jeune personnage car en plus de la douleur physique, il se sent un malaise psychologique. La maladie est héréditaire, mais une hypertrophie ce débordement de sentiment de manque est également due à la perte de sa mère. Ce dernier lui a légué doublement de la maladie. Il est seul. Les gens se moquent de lui parce qu'il fait des grimaces et la moquerie est très difficile à vivre, mais aussi difficile de concevoir un enfant. Beaucoup ne se rendent pas compte lorsque nous moquer d'eux. Ce problème d'intégration est également expérimenté dans un communiqué. La jeune fille qu'il aime ne l'aime pas et il établit une comparaison, montre au lecteur qu'il est très mal à l'aise: «Je suis jaune et triste, hélas, il est ros 'et belle Il n'est jamais assez bon pour ce qui!. l'entoure est aussi pour l', il ne rentre pas dans son environnement. Encore une fois le coeur battant, mais pas parce qu'il est amoureux, mais parce qu'il souffre de sa différence et le rejet des autres. Qu'est-ce qu'il ressent, c'est-à-dire l'absence d'une mère morte, le rejet de l'autre, ce qui conduit à la douleur physique de quitter ce monde, il ne se sentent pas acceptés à sa place et retrouver sa mère. En d'autres termes, il veut mourir. Dans ce verset: "Ma soeur bat, bat, bat, bat ..." est une fantaisie ou de son coeur battait si elle s'arrête de battre et il mourut. Le désir d'un enfant qui meurt est une preuve de sa souffrance et la misère mentale. La prise de conscience de la mort vient avec la maturité, même si la douleur ne s'arrête jamais. Elles sont présentées par la maladie et la mauvaise intégration de l'enfant. Maladie héréditaire est considérée comme quelque chose d'irréparable que la mort d'un être cher feuilles chez les individus. Le choix de l'auteur d'avoir réfléchi sur les sentiments d'un enfant qui a perdu un parent était volontaire. Cela montre que la prise de maturité ne permet pas toujours de guérir cette perte. Mais on peut se poser la question: Est-il possible de guérir de la mort d'un être cher ou d'un enfant ou un adulte?