Une théorie de Brunetière et les œuvres du XIXe siècle.
Publié le 25/03/2011
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Matière. — « Dans une œuvre littéraire, poème, drame ou roman, nous trouvons d'abord ce que nous apportons de nous-mêmes, ce que nous mettons de notre fond ; et, en ce sens, comme on l'a dit, nous en faisons la beauté. Les uns s'aiment mieux dans Candide, et d'autres se préfèrent dans Paul et Virginie. « Vous commenterez et discuterez au besoin cette théorie de Brunetière. Puis vous direz en quelle œuvre du XIXe siècle vous vous aimez mieux.
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- Fénelon écrit dans la« Lettre à l'Académie » :« Le bon historien n’est d’aucun temps ni d'aucun pays. Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. L’historien français doit se rendre neutre entre la France et l’Angleterre.... » Expliquer et discuter cette théorie. Par ce que vous connaissez des historiens du XIXe siècle, vous direz si elle vous semble avoir été appliquée par eux et dans quelle mesure.
- Paul Valéry, décelant en Baudelaire l'âme d'un classique, écrivait en 1924 (Variété II, Gallimard) : «Classique est l'écrivain qui porte un critique en soi-même et qui l'associe intimement à ses travaux... qu'était-ce après tout que de choisir dans le romantisme et que de discerner en lui un bien et un mal, un faux et un vrai, des faiblesses et des vertus, sinon faire à l'égard des auteurs de la première moitié du XIXe siècle ce que les hommes du temps de Louis XIV ont fait à l'égard d
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