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L'évolution de la poésie au XIXe siècle

Publié le 22/04/2022

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« L’évolution de la poésie au XIXe siècle La poésie est le genre littéraire dont le but est l'expression artistique de la beauté, à travers l'utilisation des mots.

C'est un art littéraire qui s'écrit en vers avec différentes rimes et dont le contenu fait allusion aux sentiments des poètes.

Le XIXe siècle est un siècle de bouleversement et de changement pour la poésie, elle devient progressivement comme l'essentiel de la parole.

Une rencontre simultanée entre le poète et son public se déroule, au cours des années, avec de moins en moins de fréquence : la poésie n'est plus l'expression de la cohérence d'un groupe.

Elle connaîtra une crise décisive ; Les anciennes structures métriques seront brisées, la rime tombera en désuétude, la poésie survivra au vers et, elle glissera dans la prose pour créer un nouveau genre, le poème en prose, qui combine la brièveté de la forme avec l'abandon de la versification.

Le poète, seul et incompris, se réfugiera dans la langue, pour ne pas perdre la raison.

Cependant, la poésie est considérée comme le genre le plus noble de la littérature parce qu’elle s’oppose à l’égard du propos quotidien.

En quoi les textes 3 à 10 et les textes 12 à 15 du fascicule sont-ils représentatifs de l’évolution de la poésie au XIXe siècle ? pour répondre à notre problématique, nous allons dans un premier temps commencer par situer le genre de la poésie et la fonction du poète.

Ensuite, nous verrons les grands mouvements marquants de cette période. Tout d’abord, le XIXe siècle est traversé par de nombreuse fortes esthétiques ; La poésie romantique existe depuis la fin du XVIIIe siècle.

De la même manière, le mouvement romantique n’a pas été alterné par le mouvement parnassien, comme a succédé avec le symbolisme.

La majorité de ces mouvements sont dérivés d’une brutal réaction contre le courant précédent, ils se chevauchent mutuellement.

Baudelaire avec « Les fleurs du Mal » il parcours le mouvement romantique révolté et dévoré par l’idéal et le spleen, parlé de ce que « l’art pour l’art » peut fournir de meilleur.

Un idéal qu’on retrouve chez Baudelaire dans Le spleen à Paris dédié à Arsène Houssaye ou « La chevelure, Les fleurs du Mal » ce texte, une sorte d’affirmation des liens qui mettent associent l’invisible avec le visible en fait de lui le père spirituel des symbolistes ; c’est avec lui, tournant vers la mort, créateur de petits poèmes en prose que la poésie moderne naît.

Rimbaud lui aussi, considéré comme le chef de file de mouvement symboliste achève une véritable révolution dans l’univers poétique notamment aperçu dans « du voyant » lettre à Paul Demeny, notamment au vers « le poète se fait voyant… » : une perception renouvelée voir le monde comme il n’a jamais été, il crée des correspondances entre les sens comme évoque plus haut chez Baudelaire.

Quant a Victor Hugo c’est tout l’inverse, lui qui a parcouru quasiment tout le siècle, il n’appartient à aucun mouvement si ce n’est pas un genre romantique qui apparait et disparait avec lui.. »

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